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rire

  • La théorie et la pratique: rire (jaune)

    Cette maxime pratiquement théorique s'applique en règle générale.

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    En ce moment elle concerne quelque peu  l'hexagone qui tente de se réformer (énarques à la manoeuvre compliquée!).

    Notamment pour les retraites...Difficile quand les bénéficiaires des régimes spéciaux structurellement déficitaires, qui partent à la retraite à 52 ans avec 3000 euros en moyenne et billets gratuits pour la famille élargie (SNCF) prennent en otage un pays.

    RATP, gaziers, EDF et autres dont les régimes EXHORBITANTS ne survivent que par l'impôt général.

    Celui payé par les autres dont les commerçants, artisans à la retraite légère, légère...

    Rires jaunes d'une injustice évidente. Inadmissible prise en otage de tous ceux qui voyagent, se déplacent pour aller travailler, faire leurs courses, se réunir. Otages de secteurs particuliers avantagés dont les syndicats lancent leurs  menaces et langages de guerre (civile) devant les médias. Stop aux régimes spéciaux et à cette ambiance délétère de combat.

    L'Elysée par le bras droit de E Macron (Patrick Strzoda) insulte un sénateur (J P Sueur) .

    Atmosphère électrique, de la théorie à la pratique.

                                                         Sylvie Neidinger

     

  • François le Petit par Patrick Rambaud

    François Hollande décapé, lessivé.patrick rambaud,rubrique lire,francois le petit,francois hollande,pastiche,littérature caricaturielle,caricature littéraire,rire

    Patrick Rambaud, académicien Goncourt poursuit voire invente un genre: la littérature caricaturielle ?

    L'expression "Littérature caricaturale" peut prêter à confusion.

    Ou bien tout simplement : la caricature littéraire.

    Certes, son esprit de satire réaliste et de contrepèterie ne sort pas de nulle part...

    La France présente  une tradition ancrée  de moquerie publiée, de Rabelais à Daumier.

    Avec tous les canards, charlie et compagnie: du fin et du très grossier.

    Les Mémoires de Saint-Simon en référence directe.

    Cela remonte à plus haut encore, à ce merveilleux moyen-âge qui avait l'intelligence de ne jamais censurer les bouffons.

    Une tradition évidemment  médiévale  que la Chronique de règne apologétique (poésie de Cour) et son inversion immédiate: les satires des Grands par le  Roman de Renard, cette invention du roman moderne ou autres contes.

                              CHRONIQUE D'UNE EXASPERATION

     

    Sain, salutaire, respiration: du pur  oxygène intellectuel.

    Mais dur et  triste en même temps car quand la dérision devient l'ultime combat politique pour ...respirer, cela signifie que la situation politique n'est pas saine.

    En même temps, la façon très personnelle qu'à Rambaud de croquer la vie politique contemporaine vaut tous les traités de sciences politiques, tous les  sondages et livres d'historiens.

    Curieusement, ses flèches font mouche et décrivent la vie politique hexagonale- c'est paradoxal- mieux que par toutes autres voies !

     Ne pas oublier que l'auteur vient du journalisme: le magazine Actuel. Cela se ressent dans cette velléité qu'il a de témoigner du réel. Mais par l'humour, en s'agaçant du règne de Sarkozy, de son comportement improbable. Puis de son successeur au comportement tout aussi improbable.

    Il rend compte de la gestion de N Sarkozy ou F Hollande par du court, du brillant, du percutant.

    La France, on le sait, est en grave dichotomie: elle se dit démocratique mais fonctionne en monarchie républicaine, avec larges pouvoirs donnés au N°1.

               CES  POLITICIENS DE METIER, PARVENUS,  EXASPERENT

     

    Enervé, Rambaud  rédige des croquis littéraires acides, humoristiques et pétillants de verve. De la référence bouffonne, gargantuesque par les sobriquets si facile à décoder avec Nicolas le piaffant, François-le-flou, Valls, duc d'Evry toujours énervé, sans oublier  Mademoiselle Julie et la Pompatweet !

    Son premier essai du genre est incertain au départ. Signe que Rambaud met bien  au point  un genre !

    Car entre Saint-Simon et lui, Hara kiri et compagnie sont bien passés par là! La BD, l'animation. Le XIXème et le XXème siècle, quoi !

    Il en parle à ses amis, son éditeur.

    Oui, pourquoi pas, à voir. Essaie mon gars, on verra ensuite...

    Il suit son idée et ..bling bling..les livres se vendent bien avec la première "Chronique du règne de Nicolas 1er" chez  Grasset en 2008.

    Métronome, il rédigera cinq Chroniques: une  chaque année. Puis passera à la transition avec "Tombeau de Nicolas 1er et avènement de François IV" rapidement baptisé "François le Petit", le  titre du dernier opus.

    Patrick Rambaud s'énerve fort  contre les us d'une certaine caste politique française " Ces parvenus qui avaient ennuyé le peuple, ils l'avaient trompé, maintenant ils l'exaspéraient"écrit-il.

    On adore que cet écrivain s'énerve longtemps encore !

    Nota Le "blog Neidinger" apprécie tout esprit frondeur, caustique, acerbe. Il n'a pas les actifs littéraires de l'auteur de François le Petit. Mais ne peut s'empêcher de chercher le rire à sa manière:

    rubrique caricatures

    http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/archive/2016/01/22/sire-kozy-1er-pour-la-vie-273531.html

    Rire et toujours rire de ces Grands -ou Petits-Grands !- qui règnent et régentent les misérables petites vies des peuples...

                                                Sylvie Neidinger

     

    *François le Petit, chronique d'un règne Editions Grasset déc 2015

    *Patrick Rambaud étrille Francois-le-petit

     

  • Humour de blog non désactivé !

    Découverte d'une conversation surréaliste et  finalement humoristique  au hasard du web-surfing, lors de la  lecture anecdotique d'un blog  qui ne publie plus depuis 2012.

    Titre de l'article : désactivation des blogs, site du blogueur M.Vahlé. Son texte:

     "Désactivation des blogs inactifs

    Cela fait un certain temps que je n'ai pas publié de note sur mon blog.

     En effet, comme Pierre Dac, je pense qu'il vaut mieux se taire que de ne rien dire.

     La Tribune de Genève nous signale que les blogs inactifs depuis un an seront prochainement désactivés et que pour conserver notre compte, il suffit de publier régulièrement une note.

     Dans la mesure où, dans l'immédiat, je n'ai pas d'information pertinente à communiquer, afin de me permettre de conserver mon blog actif en vue de la publication ultérieure d'informations susceptibles d'intéresser les lecteurs, je publie la présente note bien que je soit conscient que - hormis le but indiqué ci-dessus - son intérêt est tout relatif.

     Merci de votre indulgence."

    La réponse fuse par un commentaire si drôle d'un certain Plouf:

    "Commentaires

    C'est avec beaucoup de désintérêt que j'ai pris connaissance de la note que vous avez jugé bon de publier aujourd'hui. Son principal avantage est qu'il ne lui faut pas beaucoup de mots pour ne pas dire grand chose. Dans la mesure où votre intervention ne contient aucun élément qui soit susceptible de se révéler utile dans l'avenir, je vais y donner suite en m'abstenant de toute réaction. La vacuité du commentaire que je rédige en ce moment n'ayant au surplus d'égal que mon absence d'inspiration, vous conviendrez qu'il n'est pas nécessaire que je donne davantage de précisions. C'est dès lors avec la certitude que vous n'accorderez aucune attention à des remarques que je n'ai pas formulées que j'ai l'honneur de conclure ce paragraphe.é

    Écrit par : Plouf | 03/07/2012


    Autant de mots pour ne ...rien dire. Rire.LOL           SN