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G-Genève-Barbara #Polla

  • 8 mars 2021 avec Barbara Polla et ses 25 os+1: l'astragale. Sans Meghan.

    Pas voulu en ce 8 mars 2021, Journée internationale de la Femme, trop commenter la mégalomanie, le narcissisme, le circus de l'interview planétaire des Sussex qui crachent dans la soupe. Duo hypocrite censé quitter la "Firme" pour leur ...intimité (rire).

    A savoir Meghan Markle a volontairement choisi cette date pour récupérer à bon compte la cause "Femme" qu'elle entend  associer à son image pour "pas un cent ni un penny". La privilégiée qui eut un mariage mondial  dénigre désormais  le système royal. Par un show au psychologisme de supermarché.

    La monarchie  nourrissait directement les Sussex. Elle les nourrit encore, certes. Indirectement désormais avec  les accords financiers mercantiles passés chez Netflix, Spotify par le couple dont le fait d'arme professionnel consiste juste à être  petit-fils de la Reine et son épouse. Il reste donc "bankable" par ce lien avant tout et non par sa propre action. 

    D'ailleurs Meghan Markle tient beaucoup au titre de Duke& Duchess dont elle se gargarise sur le site web Sussex Royal, sur  l'acte de naissance de son fils. Elle  se décrit comme  carrément "supérieure", terme employé dans un communiqué.

    Elle joue même  à  s'approprier de façon malsaine l'image publique de sa belle-mère Diana (interview larmoyante, yeux soulignés de khol, bijoux, évocation du suicide putatif, se présenter comme martyr...) Harry aussi convoque facilement le fantôme de sa mère dans un mode show à l'américaine...

    Pour intégrer la famille royale, l'actrice divorcée s'était  forcément  engagée à en respecter le protocole, l'éducation et les règles du jeu. Au lieu de quoi, celle qui fut surnommé "la duchesse difficile" harcèle ses collaborateurs ! (selon les témoignages) Le racisme subi ? Aucun nom. Aucune preuve: facile. 

    Les jérémiades des "pauvres petits riches et gâtés " sont juste inaudibles.

    Harry qui nage dans le luxe, achète facilement une demeure à 10 millions $, ose lui, évoquer ses...problèmes d'argent. A savoir, les Sussex, pathétiques  réclamaient beaucoup à la Couronne après leur départ. Charles devant payer le train de vie du couple, les habits onéreux, la sécurité etc.  Cette interview  rapporte beaucoup d'ailleurs. A CBS, à eux-mêmes.            Couple indécent, pathétique, immature qui accuse les autres de sa propre INCAPACITE...   Passons.

    *********

    J'ai donc décidé de lire en  ce 8 mars 2021  l'ouvrage de Barbara Polla "25  os + l'astragale": Edité chez Art et Vision à Genève.  Le bon jour pour prendre en main ce livre (paru en 2016) par la genevoise qui a réfléchi au Nouveau féminisme. post Weinstein (2019)

    Le pied. Semblant compliqué au départ- avec tous  les auteurs cités en nombre- le petit ouvrage de 110 pages est en fait un puzzle hyper intéressant à reconstituer. Merci Barbara.

    Commentaire de lecture à venir.

                                                                               Sylvie Neidinger

  • Barbara fait entrer Champ-Dollon à Penthes

     Barbara Polla est en état de récidive !penthes,barbara #polla,champ-dollon,prisons,art
    Commissaire d'expo, elle commet "La prison exposée: Champ-Dollon à Penthes"A voir jusqu'au 31 octobre.
     
    Cette démarche genevoise s'inscrit dans un parcours intellectuel suivi.
     
    Après  sa conférence  Art et Prison  invitée par Art Jonction en octobre 2014...
     
    Après son expo aux Adhémar (Montélimar) et une journée conférence autour de La belle échappée, le jeudi 4 décembre 2014...
     
    Désormais Genève.
     
     Autour de son action en direction d'une jonction entre l'univers carcéral et l'Art, je la laisse s'exprimer en toute... LIBERTE :
    "Cette nouvelle exposition sur un thème qui m’est cher — Art & Prison, une manière pour moi d’aborder la question de la liberté — est tout à fait particulière dans la mesure où elle a été réalisée en étroite collaboration avec une prison — celle de Champ-Dollon. 

    Comme l'écrit le Président de la Fondation pour l'Histoire des Suisses dans le Monde, c'est à l'occasion des 40 ans de Champ-Dollon en 2017 et des 40 ans de présence de la Fondation pour l'Histoire des Suisses dans le Monde au Château de Penthes en 2018, que Penthes et Champ-Dollon s'unissent pour présenter cette exposition, "qui traite de la question des droits humains, essentielle au centre de la Genève internationale, et qui nous concerne tous, Suisses ici et dans le Monde ou étrangers en Suisse. Respect de l'autre et acceptation des différences sont au cœur de cette exposition. L'univers carcéral reçoit à travers le regard des sept artistes impliqués et des détenus eux-mêmes un éclairage nouveau."
     
                                                                                                  
                                                                                 Sylvie Neidinger
     
     
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                                                  RUBRIQUE BARBARA POLLA             

  • WEBSTORY: que de chemin parcouru par Helena Zanelli depuis 2012

    Héléna Zanelli présente ses poulains -qui vont participer au  prochain Salon du Livre de Genève 2017.(cette semaine)salon du livre de geneve,geneve,webstory,barbara polla,helena zanelli

    Je l'avais rencontrée au Salon du livre de Genève de 2012, alors devant un petit bureau, dans un coin mais forte de son web-projet.

    Elle  a mené à bien ses concours littéraires sur Webstory.

    Le projet prend forme, Barbara Polla la soutient.

    Elle est désormais inscrite dans le paysage littéraire helvétique et romand bien évidemment

                                                     Sylvie Neidinger

     

     

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                                dont la  RUBRIQUE BARBARA #POLLA

  • L’australien Shaun GLADWELL chez Analix Forever

     Shaun Gladwell expose pour la première fois en Suisse  chez Barbara Polla.analix forever,shaun gladwell,geneve,barbara polla,buchman shaun gladwell,australie,artiste,skateboard

     Il était présent au  vernissage, en ce jeudi 1er septembre. Et   de fort bonne  humeur:"le soleil !" me dit –il.

    L’artiste qui vit à Londres retrouvait avec joie  une température digne de sa terre natale...

     Australien, il l’est jusqu’au bout des baskets. Connu pour avoir exposé  une vidéo sur les …kangourous à la biennale de Venise en 2009 au  Pavillon Australien.

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    L’artiste est   un vrai  bushman mais version trottoir urbain.

    A Genève, tout en discussion intense avec les invités,  il réussissait  à couver son SKATE fétiche du pied … Juste pour le protéger ? Se rassurer de sa présence ?analix forever,shaun gladwell,geneve,barbara polla,buchman shaun gladwell,australie,artiste,skateboard

     L’« objet skate », sa  Vedette,  devient  chez lui    support d’art.

    Une  planche Totem, en fait.

     

     Bushman jusqu’au bout des roues je vous dis !

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                                      LE CASQUE ET L’EQUILIBRISTE

    analix forever,shaun gladwell,geneve,barbara polla,buchman shaun gladwell,australie,artiste,skateboard A l’étage de la galerie d’art, rue de Hesse, la vidéo « Skateboarders v’s Minimalism » tourne en boucle.

    Une intéressante slow motion.  Où l’on entre plus encore  dans l’univers perso de l’artiste.

     « Skater »  c’est en fait quitter la certitude des deux pieds lourdement collés au sol par la gravitation universelle. C'est s’affranchir des  kilos de gaz qui nous scotchent au plancher des vaches.  

    Un envol hyper technique.analix forever,shaun gladwell,geneve,barbara polla,buchman shaun gladwell,australie,artiste,skateboard

     Par lui, cet exercice apparemment sportif devient également  artistique. L’œil de Shaun et sa caméra captent des attitudes   de déséquilibre totalement inédites.

    Que l’on pourrait  comparer à l’envol de l’oiseau qui déplie et joue de  ses ailes.

    Mais la comparaison avec le monde animal présente ses limites.

    En skate, les positions hors-normes de déséquilibre maîtrisé ( et parfois raté !) sont bien celles de l’homo…sapiens. Et de lui uniquement. Elles sont  uniques et sublimes.

     analix forever,shaun gladwell,geneve,barbara polla,buchman shaun gladwell,australie,artiste,skateboardShaun nous  a  donné à voir ces postures improbables au travers de son regard d’artiste.

    La chute évidemment fait partie intégrante  de l’exercice. Du drame. Comme une validation mathématique par le réel: « t’as pas trouvé la bonne position, tu tombes » CQFD !

     

                                             THE DEVIL HAS NO HELMET

     

    analix forever,shaun gladwell,geneve,barbara polla,buchman shaun gladwell,australie,artiste,skateboardAlors pour tout de même, se protéger de la destruction liée à la chute, l’artiste australien présente un fétichisme artistique  tout aussi avéré en direction du …CASQUE.

    Un objet ultra complémentaire du skate, vous en conviendrez. Son parfait alter ego !

     Effectivement l’expo décline tout autant les deux objets. Shaun est même raccord avec l’actu motard de septembre: le célébrissime  rassemblement de masse   de milliers de …casques,  au Bol d’Or 2016 dans le Var.

    L'australien imagine, dessine force de casques, des verts psychédéliques, des ocres fusains , pour tout usage etc.

     Avec le titre de son expo « The devil has no helmet » Shaun Gladwell nous confie chez Barbara Polla une info de première importance.

    Le diable n’aurait donc  pas de casque ? Alors, si il se casse la figure en skate, il risque d’y passer, lui aussi ??analix forever,shaun gladwell,geneve,barbara polla,buchman shaun gladwell,australie,artiste,skateboard

     Remarque: à  Genève, Shaun Gladwell ne portait pas de casque lui non plus, mais une...casquette textile.

     On a compris son message.

    Cet Australien est juste un demi-diable (de Tasmanie) en recherche  de l’Eternel équilibre/déséquilibre!

    Tu tombes, tu meurs. Tu vis, tu bouges et tu passes ton existence à faire tes choix d’équilibre sur l'axe spatio-temporel.

    Son art pose carrément les questions existentielles de base.

     

                                                         Sylvie Neidinger

     

    Expo jusqu’au 2 novembre 2016

     Galerie Analix Forever

    2, rue de Hesse   Genève.

     

                                                    dont             RUBRIQUE BARBARA #POLLA

     

     

  • TOUT A FAIT HOMME. Le bonheur, c'est le désir !

    Barbara Polla a rédigé deux ouvrages depuis celui-ci publié en 2014. Un par an, quel tonus….

    Mais c’est bien de TOUT A FAIT HOMME  que je désire parler aujourd’hui.

     Cet ouvrage  est l’alter ego du livre  TOUT A FAIT FEMME de 2012 (aux Editions Jacob)

    Soit, le  copain du premier bouquin, son mari, son amant, sa tendre moitié, son p’ti gars. Son Jules, son Julo, son fidèle ou son infidèle.

    Son mec quoi.

     L’auteur  rêvait d’entrer dans la peau d’un homme. Juste pour ressentir. Et donner à ressentir.tout à fait homme,barbara polla,rubrique genevoise,genève,genre

     Elle le fait par écriture interposée. Et sur la base apparemment sérieuse d’un questionnaire (p 228)

     Durant une période de huit mois environ,  la guêpe a capturé dans son escarcelle un vivier de 200 individus du sexe masculin, de différents milieux sociaux, en Suisse, France, Italie et aux USA.

     Questionnés, auscultés dans leur âmes et  petits secrets,  jusqu’au bar du TGV Lyria Genève-Paris!

     Normal chez cette genevoise originale et inclassable.

     

    Vous la croyez médecin, femme politique ? N’oubliez pas la galeriste (Analix Forever, à Genève) la business woman, la « féministe anti-conformiste», l’écrivain, la chercheuse CNRS en sciences médicales, la mère de ….quatre filles et des nombreux fils qu’elle n’a jamais eus.

     Une grande dame, au fond. Bien que le terme de  « dame » ne lui aille pas du tout au teint…

    Dans sa grande curiosité militante, elle cherche à comprendre la part de l’autre genre que chacun porte en lui.

                     CONFIDENCES MASCULINES

     Les hommes  lui ont laissé leurs confidences à l’oreille. Même leur politiquement incorrect, "socialement" incorrect plutôt.

    A savoir: le masculin dissocierait nettement le plaisir de la chair, du sentiment.

    Dans le fond, "il"  lui dit (avoue…) pouvoir tromper  sa femme sans  avoir nullement le sentiment de la  trahir. Car  désir n’est pas amour.

     Elle les écoute attentivement (p 7) « Ces dernières années, on a beaucoup écrit sur les hommes. Des pères manquants aux fils manqués, du divin fripon à Homo eroticus, des mythes aux études sociologiques, des hommes en crise aux hommes-femmes, aucune analyse, aucune théorie ne semblent leur avoir été épargnées. Et pourtant leur mystère perdure. »

     

    IMPROBABLE COUPLE, VRAIMENT ?

     Une planète noire  du non-dit des hommes  qu’elle tente de décoder par le biais de leurs confidences.

     L’écriture de B. Polla est franche. Toujours cette page 7 :

    « l’homme ce partenaire, celui que je ne comprends pas, celui qui depuis toujours excite ma curiosité, le père de mes enfants, mon amant-mes amants- mon père, mes frères, mes amis très chers, mes modèles parfois, mes adversaires aussi, mes fils que je n’ai jamais eus, tous ces jeunes gens que je me plais à observer,tous ces hommes avec qui j’ai travaillé, construit réalisé des projets, des livres ;

    tous ces hommes que j’ai rencontrés et passionnément observés à l’école, au collège déjà, à l’université, dans les amphithéâtres et les salles de cours puis en tant que médecin et chercheur, (…) en politique et dans la rue, dans mon lit et devant leur miroir, aux côtés de leur mère et à son chevet en désir, en séduction, en tendresse, tous ces pères amoureux de leurs enfants et parfois excédés par eux, tous ces hommes qui m’ont parlé parce qu’ils aiment être écoutés(aucun n’a refusé) cet homme singulier donc aujourd’hui qu’est-il ?que veut-il ?

     Et qu’attend-il de nous femmes, interlocutrices, maîtresses, partenaires. Nous femmes avec lui dans un couple, ce couple improbable »

                               PRO- HOMMES

     Son constat à elle: leur soif de liberté.

    Un  livre... « pour » les hommes plutôt que « sur » les hommes !

    Pour les comprendre, elle parle aussi…d’elle… qui adore tout autant qu’eux son immense LIBERTE (plus libre que Barbara tu meures…)

                                  FEMME, FEMME, FEMME

    Je vais juste  pointer ici   les trois éléments  de léger  désaccord (désolée Barbara) classés sous le titre  FEMME FEMME FEMME…

     

    1- le titre du chapitre 6 « Homo erectus ».

    Barbara Polla cède ici  à une facilité de « communication » Elle  quitte sa peau  de scientifique (médecin chercheur).

     Car, l’argumentaire de son chapitre évoque "l’homme erectus", en "érection"(vir-ale, sociale, architecturale, phallique au citrate de sildénafil-viagra etc..)

    Précision: tout anthropologue, historien dira  que la période de l’humanité liée à l’homo erectus n’est pas une spécificité masculine ! le terme est générique.

    Il n’y avait pas un homme "en érection" en recherche de la position  verticale et une femme couchée au paléolithique inférieur il y a 1,5 millions d’années…

    Le genre humain nommé  "homo erectus" était mâle et femelle, évidemment. Toute la logique érectile  du chapitre tombe de facto. Flapie.

    2- Les étoiles...anecdote. L'auteur rapporte la question, mignonne, poétique de l’enfant qui demande d’où il vient, des étoiles ? Belle manière de nommer selon elle les testicules.

    Mais à y réfléchir on "vient" à la fois d’un spermatozoïde de fabrication récente et d’une « vieille »  ovule qui porte l’âge de la mère !

    Le féminin naît avec son capital d’ovules. L'âge réel du bébé en fait c'est Naissance + Age de la mère (par cette cellule initiale antérieure.)

     Le coffre-fort naturel, précieux patrimoine de l'humanité,  c’est  donc les testicules stellaires ET le ventre maternel, tout aussi poétique.

     

     3-CONTRACEPTION Barbara, un peu négative  sur le couple tradi, monogame (cf horrible terme de « s’encoupler ») relaie en fin d’ouvrage l’exaspération  du pt’it gars dont la copine a décidé de garder l’enfant par lui fabriqué accidentellement.

    Elle prend sa défense.

    Pas d’accord....Bien évidemment la naissance de l’enfant désiré par sa mère et son père unis semble  le schéma idéal.

    Mais si la femme « tombe » enceinte (aïe elle tombe!) il semble évident qu’elle est libre de son corps notamment en vue de procréer. Donner la vie. Elan vital. Tout du moins dans nos  sociétés démocratiques post contraception.

    Le géniteur non consentant n’a  alors que ses yeux pour pleurer.    Game over !

     Sinon cela reviendrait à dire, Barbara, que la contraception cette  invention « libératrice de la femme » n’est pas au service de la femme et de ses choix mais devenue au service de ...l’homme qui ne veut pas engendrer.

    Derrière la libération de la femme, il y avait la libération de l'homme.  .

     Elle met au monde si bon lui semble, non ?

    Il n’est pas d’accord le chéri ? Depuis  des millions d’années, l’homme a transmis sa semence.

    Il continue…même à  son corps défendant.

    OUI, il "risque"toujours d'être père...

    Dame nature.

                              CONFIDENTE

                                                                             

     Pour finir, Barbara Polla a  dialogué avec l’homme qui est en elle. Avec les hommes, aussi.  Avec  tous ses fils préférés. Avec son père, peut-être, ce "premier homme". 

    L'écrivain  a relayé dans cet ouvrage  les petits secrets et récriminations de ce petit monde testostéroné.

    Ils aiment les femmes plus jeunes, le risque, la moto, quelquefois le polyamour, leur impossible monogamie soit-disant  anti-biologique.

    Ils en ont marre de se faire critiquer et  lui ont bien exprimé leurs griefs (p.207)

     L'auteur a fort bien  relayé l'info.

    Elle a  défendu dans son  ouvrage  le beefsteack de ces "homos erectus" devenus  "sapiens" dans la version du genre masculin.

    En bonne copine.

    Ouvrage fort intéressant qui donne à réagir.

     Surtout,  Barbara Polla se délecte ici  à désirer…le désir.

    Triangulation du sentiment.

    Ainsi, elle les scrute dans son chapitre nommé  « le désir des hommes »

     Son livre (je viens d’écrire par erreur  "son "libre" et corriger!) regorge d’éléments de discussion dont il est impossible ici  de tous commenter. Il faut vraiment le lire.

                           Sylvie Neidinger

     

                                                   RUBRIQUE BARBARA #POLLA