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Vous les gueux, sans dents et gens qui ne sont rien, classes laborieuses, foules haineuses...

 Analphabètes, déconneurs, fainéants, complotistes, conspirationistes, pauvres, chômeurs, haineux...Tu traverses la route et tu bosses ô toi rien du tout.

Lors de la réunion de Souilhac, à la rencontre des maires négligés jusqu'alors Macron a reçu une allocution  cinglante (qui eut le mérite d'une large  diffusion puisque intégrée à la logorrhée présidentielle personnelle du Grand Débat ) par Christian Venries, maire de Saint-Cirgues.

Celui qui est également Président des maires ruraux du Lot a rappelé le Président à une meilleure tenue langagière.

            ARRETEZ DE STIGMATISER, D'OPPOSER, DE MEPRISER

(SUD OUEST )"Après avoir dénoncé la mesure du 80 km/h sur une partie du réseau secondaire – "On n’a pas de métro, pas de tramway et encore moins de jet pour se déplacer." -, celui qui est aussi le président des maires ruraux du Lot a énuméré: "Les salariés de Gad, ces illettrées ; une gare, c’est un lieu où l’on croise des gens qui réussissent et ceux qui ne sont rien ; vous traitez ceux qui ne sont pas d’accord avec vous de fainéants, de cyniques et d’extrêmes. Et cette semaine : les gens en difficulté, on va les responsabiliser parce qu’il y a ceux qui font bien et ceux qui « déconnent »."Et de conclure :

"En fait, monsieur le président, il faut vraiment arrêter de jeter en pâture les précaires et les plus démunis. Il est temps que vous portiez un autre regard sur ces invisibles." Christian Venries

 Le comparant à ses prédécesseurs, il poursuit ainsi : "Nous avons eu Monsieur Sarkozy, « casse-toi pauvre con » ; nous avons eu Monsieur Hollande, les « sans dents » et vous maintenant."

 (L'allusion du jet présidentiel pris pour quelques dizaines de kms n'est pas oubliée dans le discours de l'élu en plus du problème des insultes)

Cette intervention est remarquée.

En réponse le président de la république botte en touche : " je n'ai stigmatisé qui que ce soit "dit-il . Ce qui est parfaitement inexact.

Sociologues et psychologues s'agitent sur son "inconscient de classe".

Il a une vision très normative, centrée sur l'argent comme mesure de l'échelle sociale.

Surtout il insulte.

La population n'oublie rien. Tout se retrouve au dos des #GiletsJaunes. Sur les panneaux.

Quel est ce système politique qui laisse un président de la république insulter la population???

N Sarkozy avait commis quelques dérapages ( 2 ou 3)  catégorie "réaction sanguine à situation impromptue: casse-toi-pov-con

F Hollande homme de gauche fut d'un redoutable mépris pour les pauvres, les "sans-dent". Mais c'était dans le registre de ses blagounettes vaseuses qui agitaient son esprit. Celle -ci toutefois donnée dans la sphère privée. Son expression est révelée par V Trierweiler dans un esprit de vengeance.

Macron PASSE SON TEMPS à insulter. Le nombre de dérapages est phénoménal et pose question sur sa présidentialité.

Il assume complètement de gouverner par l'insulte puisque le porte  parole du gouvernement Benjamin Griveaux en fait de même. Méprisant sur la France du diesel et de la clope , de la foule haineuse...

C'est la Rem. Juste méprisant.

La  lettre ouverte citoyenne du 14 janvier  adressée à Emmanuel Macron par un collectif de gilets jaunes conduit par Priscillia Ludosky  'la France en colère: « La colère va se transformer en haine si vous continuez, de votre piédestal, vous et vos semblables, à considérer le petit peuple comme des gueux, des sans-dents, des gens qui ne sont rien. »

Le langage de Emmanuel Macron pose problème, car en plus de stigmatiser par insultes , il recourt régulièrement aux expressions et insultes  à connotation sexuelle.

Emmanuel Macron n’hésiterait pas à user des "plein le cul", "couillon " et tout simplement "merde". Pour ses collaborateurs, le président s'engage aussi sur du "ma poule". Et puis parfois, ces habitudes transparaissent en public et deviennent des "petites phrases".

Dernièrement: " c'est de la pipe".

Il semble que les français n'acceptent PLUS DU TOUT ce ...style de gouvernance macroniste qui donne dans la  vulgarité verbale...  agressive.

Pipeau.

                                              Sylvie Neidinger

 

 

Encore un signe de "violence politicienne" et de non démocratie: un traité franco-allemand est signé aujourd'hui entre E Macron et A Merkel  (Traité d'Aix la Chapelle)  sans que l'on en ait bien informé la population ni débattu. Sans demander aucun avis ! Que  le traité  soit positif ou négatif, peu importe  il fallait débattre !  En Suisse l'avis aurait été demandé. Le pouvoir exécutif français  s'autoproclame à tout gérer sans communiquer. #GiletsJaunes en colère.

 

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crédit image: capture site web cité sud ouest

 

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