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#elysée2016

  • Président Hollande: sa photo officielle est bien...spectrale. Celle du départ aussi!

    Sémiologie politique La photo officielle  par Raymond Depardon avait été fort critiquée en 2012. Ce blog avait immédiatement noté ses incongruités.

    Les confidences de François Hollande permettent désormais d'affiner l'analyse à l'aune de ses bavardages sortis du livre sur...."ce qu'un président ne devrait pas dire" célèbre livre des journalistes Davet et L'Homme paru à propos. Ouvrage où François Hollande  avoue dans un  coming out  psychanalytique être le ...spectre de l'Elysée!depardon,elysée,déséquilibre,photo officielle du président,#blogneidinger

    Article du #BlogSylvieNeidinger du 15 juin 2012 (lire en bas d'article)

    "En France, on s'épouse sous la photo du Président de la République.

    Le cliché Depardon raté a fait l'unanimité contre lui avec les drapeaux traités comme des carpettes qui pendent aux fenêtres dans la journée."

        ANALYSE SEMIOLOGIQUE

     A l'aune des "retours  d'analyse" des psychologues qui évoquent clairement une personnalité duelle (suite à SES confidences bavardes)  on peut donc  affiner les remarques sur cette photo significative voulue et validée par le président.

    Remarque: les drapeaux pendouillent vers le... sol.

    Ils ne sont  d'ailleurs plus des drapeaux mais de la taille de couvertures. Comme des protections de chantiers BTP. Sémiologie: François Hollande choisit donc à l'origine de son quinquennat en 2012 de faire un peu ce qui lui passe par la tête avec l' Institution politique. Ici remplacer des drapeaux par de larges carpettes,  les placer non pas fièrement claquant au vent en l'air mais dirigées vers le bas,  la terre, l'infra. 

    Carpettes trop larges: sa démesure. Le traitement des drapeaux passés au format  couverture BTP est une exagération. Hollande surjoue. Il se met en avant non pas par ses actes mais par ses bavardages. Depuis 2012, un fleuve de paroles, une logorrhée.

    Exagération, sa "Grenouillade" Une rubrique Politique nommée Grenouillade a été ouverte sur le blog. ...quand le président  gonfle  sa politique tel une grenouille. Un dérèglement.

    EGO démesuré visible: sa tête, donc son cerveau domine le palais sur le cliché.

    Déséquilibre du corps du président. Non seulement les drapeaux mais ses mains pendouillent. Il ne se présente pas de face mais légèrement de côté ce qui donne une main en avant, plus grosse et plus basse que l'autre.

    Cravate de travers La cravate n'est pas droite. Ses cravates sont rarement droites: un signe.

    Un site internet François ta cravate  comptabilise le port de cravate de travers. C'est une fois sur deux.

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      S'il était difficile en 2012 de faire une lecture poltico-psychanalytique, c'est désormais rendu possible avec  ces éléments significatifs visuels et les confidences.

    Dilettante.Très loin du lieu de travail. Il pose dans le jardin, loin des bureaux de travail. Dans un palais, le jardin est par principe le lieu de la détente. Il est  en "dehors" et non "dans" la fonction. Ce, dès le premier jour en 2012.

    Spectral et duel.   50% du cliché est à l'ombre. Et le président se fait photographier ...dans l'ombre. Entre les drapeaux qui tombent sur le sol et la part obscure,

    OUI effectivement, un spectre d'outre-tombe dirige la France. Il l'a clairement annoncé sur sa photo officielle!

                                                                          Sylvie Neidinger

     

    PHOTO STRICTEMENT INVERSEE DE FIN DE MANDAT : PREMONITOIRE DU DEPART

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    (suite)  Une photo de fin de mandat du 17 10 2016 vient symboliser l'échec de François Hollande.(photographe Feferberg, AFP) Article de Pierre Aain Furbury dans les Echos

    Elle est extraordinaire car strictement l'inverse de la photo officielle. Le ciel est sombre, Hollande de dos ne regarde même plus les jardins mais de côté. Son regard totalement hors champ. L'horizon du jardin  est complètement bouché par une végétation triste, hivernale, morte, sans feuille. Comme si son  seul espace est  juste la petite porte du jardin de l'Elysée pour quitter la scène. Ce que souligne le chemin. Mais François Hollande ne regarde même pas vers cette unique ouverture. Il s'accroche à la rambarde. Comme si tout s'écroule et qu'il a besoin d'appui des deux mains.SN

    Catégorie Photographique: Politique, élections

    Photos: captures d'écran