NOTEZ BIEN. L'information non encore officielle a été donnée de source sûre. La Bibliothèque de Genève accueille la prolongation de Nota Bene jusque fin juin.
François Jacob, commissaire de l'expo consacrée aux liens entre Rousseau et la musique a transmis cette nouvelle à l'occasion de sa "midi-conférence" de vendredi dernier, 1er février 2013, à la Maison de Rousseau. Une conférence de presse suivra.
Son intervention à la MRL fut la quatrième sur cinq, intitulée ce jour là "Vingt ans de querelles".
Avec Nota Bene, les amateurs peuvent mieux resituer le contexte de l'époque grâce à cette approche multimédias par QRcodes (que le philosophe aurait adoré..).
Au delà des chants de " Tante Suzon ", douce voix qui initia le futur philosophe à la musique, cette expo décrivant ses liens avec l'univers sonore était plus que nécessaire. Elle est maintenant prolongée !
L'encyclopédiste évidemment avait mis son grain de sel en inventant un nouveau système de notation. Normal: il vivait -aussi- de la copie musicale. Ce pragmatique a voulu simplifier le système! C'était bien le minimum à attendre de l'Esprit universaliste...
Bien entendu, Rousseau a également participé aux Querelles (des Bouffons) de son temps entre les partisans de la musique française et de l'italienne. Cf:sa "Lettre sur la musique française "de 1753.
NOTA BENE est d'expression multimédias: textes , images, musiques...Voire bien au delà. Je veux parler du média...François Jacob! Car cet érudit Directeur de l'Institut Voltaire, donne des conférences associées - qui éclairent des aspects particuliers du Rousseau musical. Et produit un ouvrage avec Nicolas Morel intitulé...Nota Bene, de la musique avec Rousseau aux Editions La ligne d'Ombre.
Gluck était cité ce vendredi. Nota Bene présente effectivement l'ouvrage Armide, objet de la controverse, en vitrine. Point et contrepoint. Notes qui se répondent. Pour une partition harmonieuse car coordonnée.
Sylvie Neidinger
jeudi_midi_2012_2013_1.pdf (infoclio.ch)
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