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Benalla, le faux policier préféré de Macron hors-la-loi

L'affaire Benalla qui sort grâce à la presse ( journal Le Monde ) est gravissime, explosive.

Ici les pratiques insensées d'un proche du premier cercle de la macronie.

Elle expose à la lumière crue ce que Emmanuel Macron fait de la présidence française. 

Une gouvernance autoritaire, à son bon vouloir avec son entourage aux fonctions indéterminées parfois.

On avait déjà évoqué le phénomène de cour avec l'article sur la Cour du Roi de la République française.

Macron  installe autour de lui des individus aux fonctions troubles, en autarcie. (Tous les collaborateurs n'apparaissent pas dans les organigrammes ...) Benalla est un "chargé de mission policier ". Nervi issu à l'origine du service d'ordre du PS (Martine Aubry, Montebourg)

Quel est le lien exact entre ce nervi de 26 ans non policier mais homme violent  qui "joue au policier" à ses heures perdues et le Président ??

Question majeure car tout a été pardonné à cet homme. 

Pire le sommet de l'Etat a voulu étouffer cette affaire !

L'individu à la carrière fulgurante  va  casser du manifestant le 1er mai. Problème : la scène est filmée.  Il se livre à des violences et l'Elysée le protège.

 Ce personnage a commis plusieurs délits: usurpation de fonction, de titres en plus des  violences volontaires.

Protégé par l'Elysée, grassement payé, logé depuis le 9 JUILLET par la République Quai Branly dans l'ancien appartement Pingeot !!

APRES le 9 juillet,ce qui signifie que l'Elysée n'a pas sanctionné contrairement aux fausses affirmations du service de com' de Emmanuel Macron.

L'individu semble avoir tous les droits. Qui lui a   donné les attributs de fonctionnaire d'Etat, de  policier  ( girophare, casque etc..) ? Qui a donné à Alexandre Benalla un véhicule de police super équipé ?

A 26 ans il a même été porté au grade de  lieutenant  colonel réserviste de gendarmerie.

Dès lors, une tempête politique et judiciaire démarre, un scandale d'Etat qui discrédite totalement le coeur de la  gouvernance Macron.

La démission de Gérard Coulomb est demandée car le 2 mai il n' a pas alerté la Justice. Il sera auditionné par le'Assemblée lundi et le Sénat mardi. Le ministre de l'intérieur n'a pas fait jouer l'article 40 qui demande à tout fonctionnaire de dénoncer des faits.

 

                               BENALLA "BARBOUZE"PROCHE DE MACRON

 

Macron et sa garde rapprochée tellement enfermés dans leur morgue et leur  sentiment de toute puissance ont cru que cela allait passer. Il est supposé au départ avoir été "mis à pied" deux semaines...Gag : sans retrait de salaire  !

 

Pour se défendre l'Elysée croyant s'en tirer ainsi va jusqu'à mentir :

1-en affirmant que l'individu avait été sanctionné. Faux. Mensonge du service com de l'Elysée !

2-mis au placard . Faux car lundi dernier  Benalla, à Roissy a voulu prendre le contrôle de la sécurité des bleus contre la ..gendarmerie !

Gestion de crise catastrophique de l'Elysée.

Macron tord les cou aux pratiques légales. Benalla occupait sous statut privé des responsabilités dans le fonctionnement de la sécurité du président  en dehors du service spécialisé GSPR !

Le pouvoir aujourd'hui se débine. La commission des Lois (macroniste) n'a toujours pas pris la mesure des faits.

Macron drapé dans son  orgueil pathologique n'assume rien. Et fait actuellement  porter le chapeaux sur les policiers qui  ont fourni à Alexandre Benalla des vidéos hors cadre légal.

Raz de marrée de colère chez les policiers, leurs syndicat qui voient un type usurper leur métier juste parce que "proche "de Macron.

L'homme agissait avec des brassards de police, leur matériel.

 

"BENALLA" est un dossier poupées russes. Dès qu'on soulève le tapis Benalla plusieurs affaires surgissent qui entachent la présidence.

Quelle est  exactement  la nature du lien de cet Alexandre Benalla qui skie avec Macron  et clairement occupe un rôle au delà de son rôle dit de "sécurité".

Jean -Paul Mégret du Syndicat de police donne une excellente interview qui résume tout. L'exécutif dans ce dossier est responsable. Selon lui , les barbouzes n'ont pas à gérer la sécurité du président ! Alors que Macron voulait s'orienter vers une privatisation des services de sécurité du sommet de l'Etat !

Macron qui a fait voter une loi de moralisation est silencieux sur la dérive de son entourage barbouze que lui  même organise autour de SA personne.

C'est, mine de rien une affaire d'Etat majeure.

Ne pas réagir à ceci serait un signe de pourrissement de la démocratie française, laquelle est bousculée chaque jour par la présidence autoritaire et solitaire de Macron Bonaparte, Roi de la République française.

                                                                                        Sylvie Neidinger

                                                                              

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