Alors que la liesse s'empare de la Syrie au départ de la dynastie qui ponctionnait le pays, Israël profite de la situation de transition sans institution pour bombarder. Notamment les infrastructures militaires, aéroportuaires etc.
Et de s'emparer du Golan en violation du droit international et des accords de 1974.
L'ONU s'insurge.
Le silence occidental est assourdissant! Des ONG dénoncent
Les états européens eux en profitent pour dénoncer extrêmement rapidement le droit d'asile des réfugiés syriens. L'Autriche entend même déjà expulser les réfugiés. Où? Dans un pays à l'économie ravagée? Dans quel aéroport atterriront-ils? L'état hébreu démolit les infrastructures...
Amnesty International s'insurge.
La zone pétrolière est, elle, déjà captée par l'occident et ses compagnies. Quid du gaz découvert en méditerranée en 2010? Au nord, la Turquie va-t-elle étendre sa frontière sur le territoire syrien? Les insurgés de HTS sont des rebelles radicaux. Que d'incertitudes au pays de Sham...
Pendant ce temps, les crimes de guerre et le génocide commis par l'extrême droite israélienne au pouvoir continuent à Gaza et en Cisjordanie, le Liban est bombardé. Ce, dans le plus grand silence occidental.Ou sa plus grande inaction politique.
Dans ce monde bipartite, les observateurs notent que le camp des puissances occidentales ne respecte désormais pas le droit international quand cela.... arrange.
DROIT INTERNATIONAL EN DANGER
Le système de règles de droit international établi au sortir de la 2ème guerre mondiale s'écroule.
La plus grand instabilité règne.
La vieille gouvernance Assad qui représentait l'unité géographique du pays global à l'ONU est tombée facilement, comme un jeu de carte tellement la population n'en pouvait plus. Mais sans qu'une succession ne soit en place.
Les prédateurs se servent...
Sylvie Neidinger
Delphine Batho, juge que le signal envoyé est mauvais. "C'est l'endroit où il y a une catastrophe écologique gigantesque, des destructions de la forêt boréale, des égouts à ciel ouvert et c'est le pétrole qui est le plus sale du monde", a-t-elle commenté sur Radio Classique et LCI. De plus, a-t-elle insisté, "j'ai trouvé ça franchement maladroit d'être en Alberta le jour où le Giec rend son rapport sur les menaces de réchauffement climatique et le nécessaire abandon des énergies fossiles".
