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philippe #bas

  • Rappel: quand E Macron demandait de "l'indulgence" pour A Benalla...

    Le terme d'indulgence fait bondir. Il est historiquement très lourd.

    La querelle des Indulgences est à l'origine du schisme catholique/protestant.

    Un effacement du péché qui va prendre des proportions carrément commerciales ! Une monétarisation du pardon divin...Qui sera combattue.

    Relire les discours de Macron sur l'affaire Benalla ne manque pas d'intérêt.

    "L'indulgence est obtenue en contrepartie d'un acte de piété (pèlerinage, prière, mortification) effectué à cette fin dans un esprit de repentir — elle s'adresse à ceux qui sont vere penitentibus et confessis, selon la formule en usage à partir du XIIe siècle.

    Théoriquement, il n'existe pas de proportion entre la faute et cet acte de piété : l'indulgence est réputée être l'effet de la communion des saints. En pratique, il en va bien autrement, en partie sous l'influence des peuples germaniques, dont la législation est en fait un barème de réparations, et qui tarifient chaque faute. Les indulgences se calquent alors sur les pénitentiels, ces manuels venus d'Irlande qui fixent pour chaque type de faute tant de jours de mortification. Moins longue, l'indulgence tend à se substituer à la pénitence physique en particulier pour les mourants.

    Dès cette époque, on enregistre les premiers abus, principalement la simonie : les fidèles marchandent auprès du prêtre un acte de charité, souvent sonnant et trébuchant. Les conciles du Xe et du XIe siècle s'efforcent donc de limiter la part d'appréciation du prêtre en fixant des barèmes généraux"

    Le 24 juillet à la Maison de l'Amérique Latine,  Macron dans un discours violent alexandre #benalla,emmanuel #macron,philippe #bas,indulgence,indulgences,médiapart,contrescarpe,edwy #plenel,amin arfifustige la presse, se dit le "responsable qu'il faut aller chercher", dézingue les deux seuls députés LREM  qui se posent publiquement des questions saines sur l'affaire Benalla(Sonia Krimi, Paul Molac)

    Dès lors la demande du Président de la République du 6 novembre 2018 semble extravagante. (Marianne) :

    "Interviewé sur Europe 1 ce mardi 6 novembre, le Président est revenu sur l'affaire qui a empoisonné son été. Jugeant qu'il y a eu un "emballement" autour des faits, il a estimé qu'Alexandre Benalla ne méritait pas d'être "traité comme le plus grand criminel en liberté. "Vous en avez beaucoup parlé, il y a eu une excitation collective", juge le Président au micro de Nikos Aliagas. Reconnaissant qu'il a "eu confiance" en Alexandre Benalla et qu'il lui a "confié des responsabilités", Emmanuel Macron estime que ce "qu'[il] considère comme une faute" - les coups portés par Alexandre Benalla à un manifestant place de la Contrescarpe le 1er mai - n'est "pas acceptable". Et c'est à peu près tout."

    Macron parle d'excitation collective !

    Bon les excités collectifs que sont les médias dont #Médiapart ont enquêté.

    L'affaire #Benalla est excitante, effectivement, comme affaire d'Etat.

    Ce depuis l'origine...

    Edwy Plenel le 27 décembre dernier dit combien on doit s'interroger sur l'indulgence de E Macron pour A Benalla.

    En février les rebondissements du dossier atteignent Matignon !

    Dont la responsable de la sécurité démissionne.L'affaire  Benalla s'étend, comme un incendie.

    On ne sait toujours pas pourquoi cet individu a bénéficié d'une absolue mansuétude et indulgence de la part de Emmannuel Macron. Ni de sa   multiplicité de passeports diplomatiques.

    Sans indulgence pour l'actuel président de la république, beaucoup d'encre va encore couler sur cette affaire par le travail journalistique de professionnels aguerris ( Amin Arfi, Edwy Plenel).

    La commission macroniste de l'Assemblée Nationale avait enterré l'affaire.

    Le Sénat de Philppe Bas va produire ses conclusions fort attendues.

    Cette affaire a une odeur d'égout dira Guillaume Larrivée de LR.

     Sans indulgence pour l'actuel président de la république, beaucoup d'encre va encore couler sur cette affaire par le travail journalistique de professionnels avertis.

                                                                    Sylvie Neidinger

    Selon la journaliste Ariane Chemin, Macron s'est encanaillé avec Benalla qui connait de fait beaucoup de "secrets" de la république

    Selon Castaner, Benalla serait une affaire de  "corneculs". Le terme...convient !

    Emmanuel Macron estime que la presse s'est emballée avec excès au sujet de l'affaire Benalla.
    Emmanuel Macron estime que la presse s'est emballée avec excès au sujet de l'affaire Benalla. - Michel Euler/AP/SIPA capture Marianne 06/11/18