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Société- Police Justice - Page 4

  • Halte aux "pogroms"

    Un certain Jacques Debot, Tzigane,  publie  le 27 mars une alerte sur les "pogroms" de la banlieue française autour de la rumeur de la camionnette blanche qui choperait les enfants pour mieux les découper...

    Une stigmatisation qui certes ici est dénoncée avec un vocabulaire probablement exagéré. Mais c'est le terme uilisé par ce rédacteur qui lance un cri du coeur.

    Ici, en pied, la reprise intégrale, dans le cas où le lien web  ...ne se ferait plus naturellement: https://blogs.mediapart.fr/jacques-debot/blog/270319/romstorie-les-banlieues-tentees-par-le-pogrom

    Un article acide, ironique, triste  synthétique sur ce peuple, ces peuples, que Hitler a largement détruits dans les camps de concentration en son temps, sans que généralement Monsieur  et Madame tout le monde ne le sache encore ... en 2019 !

    Certains revivent une séquence dont ils se seraient bien passés.

    Le camionnette blanche est typiquement celle des identifiés comme "gens du voyage". Des non sédentaires, gitans, tziganes ou autres.

    Il s'agit de plusieurs peuples, de plusieurs réalités d'origine différentes  (coeur de l'Europe pour les yéniches, Inde pour d'autres, il y a plusieurs siècles.)

    Mais tous  balancés dans le même sac de la... stigmatisation. Qui dès lors les amène, comme d'auteur de l'article  se sentir UN peuple.

    La camionnette blanche tire les caravanes. ô scandale que ces agressions.

    "Ce peuple n'est pas le mien, Jacques Debot. Il est le vôtre. Et vous prenez votre plume.

    En réalité votre peuple non sédentaire est surtout  ... le nôtre."

    Nôtre dans notre mémoire européenne commune. Soutien.

                                                                       Sylvie Neidinger

     

    Romstorie: les banlieues tentées par le pogrom?

    Ce petit peuple, c'est le mien, le peuple tsigane pathétique et maudit, que la rumeur accuse aujourd'hui d'enlever des enfants pour les livrer au trafic d'organes. Une fois de plus, il semblerait que de nouveaux pogroms se préparent et que les Tsiganes n'aient pas encore assez souffert
     

    Une succession de faits divers tragiques se déroule en ce moment-même en banlieue parisienne où des bandes armées font barrage aux véhicules utilitaires dont ils supposent que les conducteurs sont roms, saccagent ces véhicules en arrachent de force conducteurs et passagers pour les rouer de coups, au motif qu’il s’agirait de rôdeurs cherchant à kidnapper des enfants pour des filières de trafiquants d’organes.

    On identifie le Basque à son béret, le Breton à son chapeau rond, le Bavarois avec son petit galurin de feutre, le rappeur avec sa casquette de base-ball. Mais à quoi ces « justiciers » reconnaissent-ils un Rom ? Ils reconnaissent un Rom à sa camionnette blanche. La dialectique des rumeurs n’est pas compliquée. D’après eux, la camionnette en question rode en repérage pour s’emparer des petits enfants. Les Roms, adroits à désosser les appareils ménagers pour en extraire le cuivre et la ferraille, se sont reconvertis dans une activité bien plus lucrative. Ils désossent maintenant les enfants pour prélever le foie, la rate et les rognons, tous les organes qui se vendent et se trafiquent.

    La rumeur ne dit pas quels docteurs opèrent ces prélèvements ni dans quelles cliniques. Comme les registres de la police et de la gendarmerie, la rumeur est muette sur l’identité des enfants kidnappés, sur la date et les lieux d’enlèvements, mais c’est normal, c’est un complot, on nous cache la vérité. On ne sait rien non plus des patients transplantés, ni du coût de l’opération, du mode de règlement, du taux de prise en charge par la caisse d’assurance maladie. La rumeur est loufoque, la rumeur est boiteuse, la rumeur est une bouture, un greffon qui cherche son porte-greffe pour s’enraciner, croître et proliférer.

    La connexion entre les Tsiganes et le prélèvement d’organes n’est pas un fait historique entièrement nouveau puisque notre petit peuple l’a déjà rencontré à deux reprises. La première fois c’était à Auschwitz. A la descente des trains qui les livraient aux bourreaux, le nazi Mengele sélectionnait systématiquement les couples d’enfants tsiganes jumeaux. Il les faisait tuer ou les tuait lui-même dans les jours suivants pour prélever les organes, le thymus, les glandes surrénales, etc. Dans ces organes prélevés sur des enfants tsiganes assassinés il pensait pouvoir découvrir la même particularité, la même anomalie chez l’un et chez l’autre, et cette particularité serait le secret de la gémellité. S’il avait pu découvrir le secret de la gémellité, sa « race de seigneurs » aurait pu se multiplier deux fois plus vite et le Reich nazi reconnaissant l’aurait élevé aux plus hautes dignités. Pour ces foutaises, Mengele a assassiné des centaines d’enfants tsiganes à seule fin de prélever leurs organes. De même il a prélevé leurs yeux en grand nombre pour déterminer s’il existait une prédisposition à naître avec des yeux bleus.

    La seconde conjonction tsiganes-organes s’est produite au Kosovo dans les années 1998-99 ruet les années qui ont suivi. Sur cette affaire, on est maintenant renseigné bien au-delà de la rumeur, du fait divers et de la presse à sensation. Les rapports de Mme Carla Del Ponte et du Sénateur Marty apportent les éléments troublants sur le financement de l’armée de libération UCK par le trafic d’organes d’êtres humains. Les prisonniers de ce groupe de partisans étaient maintenus en vie jusqu’à l’arrivée d’un receveur dans l’attente d’une greffe. Le prisonnier, la plupart du temps un tsigane,  était alors assassiné, ses organes prélevés et transplantés. On connait les emplacements des cliniques, les filières, les patients qui ont reçu ces organes, les médecins qui opéraient, à deux heures d’avion de chez nous. Au cours des dernières années, on a jugé et condamné certains acteurs de ces crimes abominables. L’UCK mise en cause dans ces crimes est au pouvoir actuellement au Kosovo. Les enquêtes prospèrent avec beaucoup de lenteur, mais toutes les traces ne seront pas effacées.

    Revenons maintenant  à notre France de 2019 à ces territoires de la République où la rumeur, telle un greffon sur son porte-greffe, a pris racine au cours des vingt dernières années, vingt  années de proximité entre les habitants des cités et ceux des bidonvilles.Il n’est pas raisonnable d’espérer que tout se soit bien passé. Il y a eu des accrochages, des conflits, des tensions tout au long de ces années, mais, pour faire court, ça restait, la plupart du temps « dans les limites de l’acceptable » Néanmoins quatre événements au moins ont retenu notre attention, quatre événements qui ont pour points communs d’avoir fait l’objet d’une médiatisation au niveau national, d’avoir été d’une grande violence, d’avoir été revendiqués publiquement par les agresseurs, quatre événements dont les victimes étaient roms.

    Le 28 septembre 2012, à Marseille, les habitants de la Cité des Créneaux, au nord de Marseille, mettent les Roms en demeure de quitter immédiatement le lieu où ils avaient établi un campement et sans plus attendre mettent le feu au mobilier et au matériel des familles. La sénatrice socialiste Samia Ghali a déclaré à plusieurs reprises comprendre et ne pas condamner les incendiaires.

    Le 17 juin 2014, à Pierrefitte sur Seine, un adolescent  rom de 16 ans, le jeune Georghe Franzhu, plus souvent appelé Darius, vaguement accusé de vols par les jeunes de la Cité des Poètes voisine du bidonville où il réside, est enlevé, torturé, laissé pour mort dans un caddy de supermarché. Il survivra après de longues semaines de coma, très handicapé par de nombreuses séquelles.

    Le 1er février 2018 à Garges-lès-Gonesse, un homme âgé, que la presse a appelé Mr Youcef, retrouve sa maison (où il ne vivait pas) située dans un lotissement, occupée par des squatters roms. Il engage contre eux une procédure mais comme toute procédure celle-ci requérait des délais que la presse a largement commentés. Sur les réseaux, le blogueur franco-tunisien Bassem Braïki appelle les jeunes de la cité voisine à déloger les squatteurs, ce qu’ils font le même jour. Ces justiciers filment leur opération et la diffusent sur les réseaux où on peut les voir exhiber des armes de guerre.

    Le 9 juin 2018 à Grenoble, quelques familles roms installées Rue Albert Thomas, dans le quartier du Mistral sont délogées au cours de la nuit, poursuivies, brutalisées par de jeunes habitants de la Cité qui mettent le feu à leurs cabanons, les empêchant de venir se réinstaller.

    Même si le Président de la République François Hollande avait en juillet 2014 annoncé très solennellement que tous les moyens seraient mis en œuvre pour que les auteurs des sévices subis par le jeune Darius soient retrouvés et punis, quelques mois après l’enquête était close, le dossier était refermé, le juge n’avait mis personne en examen. Comme à Marseille, à Grenoble et Garges-lès-Gonesse, les dossiers ont été très vite refermés, les auteurs des violences contre les Roms s’en sont tirés à très bon compte, aucun jugement n’a été rendu.

    « Les cités » n'ont pas organisé ce qui ressemble de plus en plus à une répétition générale avant les pogroms, même si on retrouve aujourd’hui  des gens « des cités » parmi les prévenus appelés à comparaître à la barre du tribunal de Paris, interpellés au cours des nuits passées alors qu’ils menaçaient les Roms. On verra quel sera la nature de la décision des juges, mais ces jeunes ou moins jeunes me font penser aux paroles de ce merveilleux écrivain qu’était Jean Guéhenno. Dans son ouvrage « La mort des autres », Jean Guéhenno, qui avait été soldat pendant la Première Guerre mondiale, écrivait que ses compagnons d’armes, les jeunes gens qui avaient fait la guerre, n’étaient pas des salauds. Pour lui, les salauds étaient ceux qui avaient demandé à ces jeunes gens de faire la guerre. A ces salauds, il refusait de pardonner.

    Les salauds d’aujourd’hui sont planqués sur Twitter et sur Facebook. Chaque jour ils excitent écervelés et désœuvrés à persécuter les Roms. Ils déversent la haine et le font en toute impunité. Ils appellent au meurtre, au pogrom, à l’incendie. Ils répandent les rumeurs, accusent les Roms de propager les maladies, la tuberculose, la rougeole, la gale. Ils accusent les Roms de manger les chiens, de droguer les bébés, d’être sales et voleurs, incultes, de se prostituer. Ils moquent les infirmités des mendiants, se pincent le nez, réclament des châtiments. Ils sont élus de la République, de notre République et pourtant prônent le nettoyage ethnique. Ils sont journalistes et s’ils écrivent un article banal sur une décision d’aménagement du territoire par une collectivité locale, si cette décision concerne les Roms où les Gens du Voyage, ils illustrent l’article avec la photo d’un tas d’ordures. Nous sommes insultés, moqués, dévalorisés sur les réseaux sociaux, c’est chaque jour et c’est toute l’année.

    A Montreuil, tout près de Paris, une équipe politique ambitionne de conquérir la ville aux prochaines élections municipales. Elle est présente sur Twitter sous le nom de : Collectif-Lagny basMontreuil @ParvisLagny. Plusieurs fois par jour, tous les jours, depuis des semaines et des semaines, cette équipe diffuse des tweets où sont associés les mots Roms, rats, ordure, nuisances, illustrés de photos de matières fécales. Ces gens qui ambitionnent de gouverner une grande ville de 107 000 habitants n'ont d’autre programme que la haine, la haine des Roms et les photos de matière fécale. Cette répétition à flot continue ne crée pas des rumeurs, elle crée des vérités, qui vont de soi et mènent aux pogroms.

    La prise de conscience brutale et soudaine, la crainte légitime de voir soudain la minorité la plus faible de notre société mise en danger mortel, a provoqué un afflux de soutiens sur les réseaux sociaux. Il faut savoir que symétriquement on peut lire un afflux plus important encore de menaces.

    Nous avons une telle habitude des menaces qu’elles nous laissent dans un état proche de l’indifférence. Quant aux soutiens, ils étaient si rares que nous en avions depuis longtemps perdu la saveur. Nous lisons avec stupeur des tweets où des élus se réclament des valeurs de la République et nous assurent de leur soutien. J’ai tant écrit de courriers à ces gens-là, tant de fois je leur ai demandé leur aide en faveur des familles roms dans la grande détresse et ces gens-là ne m’ont jamais répondu. Je connais leur main qui aujourd’hui nous flatte, si prompte à étrangler. Je connais leurs mots à charge creuse et souffre de les lire. Si nous en sommes là, c’est aussi de leur faute. Demain, ils feront semblant de verser une larme. Donnera-t-elle assez d'eau pour éteindre les feux allumés des pogroms ?"

     

                                                   Rubrique Yéniches

  • Le pillard évoque le ....droit en... cassant la vitre!

    Une scène de pillage samedi dernier dans le XVIIème arrondissement de Paris a été captée. 

    Ce direct impressionne. D'une part, info, les casseurs disposent d'un matériel sophistiqué pour forcer une porte par pression. Preuve d'un "professionnalisme" certain.

    Le bijoutier retranché dans son magasin veut fermer le rideau. Un assaillant bloque cette manoeuvre à mi-hauteur. Les casseurs s'attaquent à la vitrine qui commence à céder.

    Soudain, des bruits de détonations sortent depuis  l'intérieur. Self défense. Le commerçant tire au flash-ball. Il dira pour se justifier avoir craint pour sa vie. 

    Un pillard sera blessé à la main, sa main qui commençait à travers la vitrine à piller.

    Surréaliste : on entend alors un pillard dire "mais il n'a pas le droit de faire ça!" Quel constat de la part de cet individu.

    Parce que lui a le droit d'attaquer violemment un commerce, peut-être? A la tombée de la nuit et profitant du désordre des rues. Non !

                                                                  Sylvie Neidinger 

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  • Markle, Starbucks, KFC: ségrégation, racisme, formation

    Suite à l'incident jugé raciste de Philadelphie survenu dans un Starbuck, contre deux personnes noires demandant à utiliser les toilettes et n'ayant pas encore commandé, l'entreprise a fermé ses portes hier après midi pour une formation de son personnel. L'incident rappelle les heures sombres de la ségrégation.

    8000 cafés fermés pour formation!

    Les entreprises de fast-food se font remarquer actuellement.

    A l'époque où elle pouvait bloguer, on se souvient de l'anecdote  de Meghan Markle il y a une année:

    " si elle est aujourd'hui contrainte par sa condi­tion à une certaine réserve, s'est distin­guée par le passé pour son enga­ge­ment fémi­niste et anti-raciste. Sur son blog, il y a un an, elle racon­tait une anec­dote que lui avait rapporté son grand père mater­nel, au moment où sa mère n'avait que 7 ans :« Meggie, durant ce trajet, nous nous sommes arrê­­tés au KFC.En ces temps-là, il fallait que les gens « de couleur » aillent à l'arrière du restau­­rant. Les cuisi­­niers me donnaient le repas par la porte de derrière et nous devions manger sur le parking.C'est comme ça que ça se passait." Celle qui est deve­nue duchesse du Sussex expliquait :  »Cette histoire me hante encore.Cela me rappelle combien notre pays est jeune, que l'on vient de loin et combien il nous reste encore à accom­­plir.Cela me rappelle les trop nombreuses blagues racistes que les gens ont raconté devant moi, sans réali­­ser que j'étais métisse."

    Doria Raglan, mère de la désormais duchesse, née en 1956 a donc vécu l'incident ségrégationiste en 1963. Effectivement la ségrégation raciale va officiellement cesser en 1967 aux USA.

    On apprend avec surprise et d'une façon inopinée par cette histoire vraie   que le  principe du "drive à l'américaine" part de cette optique de faire manger les personnes de couleurs dehors  sur le parking après avoir pris la nourriture d'une porte arrière du magasin!

                                                          EXCES

    KFC étonne toujours en 2018. L'entreprise compte une clientèle de couleur très  importante. Mais rien, rien n'en transparaît dans sa pub. Des problèmes de positionnement marketing  en Europe où elle n'imprime pas  (Suisse, pays où les partis de gauche s'opposent à une implantation à LausanneFrance où l'image du colonel Sanders arrive à la rescousse d'un déficit de notoriété.) Une pub raciste est retirée récemment de KFC Australie . 

    Dans l'affaire Starbuck, le comportement de la police US qui choisit d' interpeller deux clients noirs voulant juste aller aux toilettes pose problème. Il est peu probable que cela soit un motif d'interpellation en Europe où la police en général semble avoir  plus de recul

    Au delà des fast-food, dans le registre des excès policiers aux USA on visionne

    cette semaine une vidéo  montrant un contrôle d'identité musclé, violent et sans réel  motif d'une jeune mère   sur une plage : 

    Les bavures policières se produisent toujours. A la différence, aujourd'hui  les téléphones mobiles filment, les réseaux sociaux diffusent.

    Ce n'est pas toujours une preuve car de tels incidents doivent absolument supporter une enquête sérieuse avec toutes les données matérielles   et tous les avis.

    Mais cela décrit une réalité certaine peu reluisante.

    Et les clients - si les incidents  se produisent dans les lieux commerciaux-...réagissent mal face à ces enseignes type KFC ou Starbucks ou autres.

     

                                                                              Sylvie Neidinger

     

     

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  • "Mon homme", leur père !

    Après l'assignation de Laura fille de Nathalie Baye contre la dernière épouse de Johnny, toute la lecture des évènements s'en trouve modifiée.

    Un  élément vient à l'esprit. Omniprésente dans la presse people depuis des années, Laeticia très souvent, évoquait le chanteur en disant "Mon homme".

    Une terminologie incroyablement... possessive! Cette façon de désigner interpelle. Encore plus aujourd'hui.

    La dame semble avoir capté entièrement le chanteur. Dans la vie et après sa mort.

    Une bataille médiatique s'engage entre Laeticia et Laura (+David) autour de l'héritage Hallyday.

    Les crises de cette famille sortent sur la place publique depuis lundi.

    Madame 100% hériterait de  tout, suivant un acte de 2014 supposé  évacuer les dispositions antérieures et éliminant vertement les deux enfants de sang. (Ceux que le public a vu grandir....)

    Les révélations sortent depuis la contre attaque juridique de Laura Smet qui assigne en Justice.

    Elles ternissent l'image de cette belle-mère cruella barbarella, au centre du clan Boudou .

    La grand mère de 82 ans serait même  gestionnaire des sociétés françaises de Johnny. Le père André aurait insulté David aux obsèques...

    Le courant était donc coupé depuis fort longtemps.

    Fait révélateur, l'épouse avait  appelé l'Elysée, Macron et l'AFP avant les enfants aînés pour annoncer le décès!

     

                    DE L' IMPORTANCE DES DONATIONS DEJA EFFECTUEES...

     

    La fille aînée Laura -et son frère David  dans son sillage- se bat bec et ongles pour réclamer son droit d'enfant face à l'immense violence morale qui lui est faite.

    Le débat juridique s'annonce passionnant.

    Laura et David font état aujourd'hui de donations du vivant de leur père à leur profit. Et ce n'est pas un hasard...

    Ce qui pourrait sembler jouer en leur défaveur avec un argument d'ailleurs  repris dans la première phrase du testament olographe californien (= ils auraient déjà eu leur part du vivant du chanteur, cela suffirait donc pour eux) et dans la bouche de Elyette Boudou, devient juridiquement un outil très puissant pour les enfants aînés.

    Car ces  donations officielles à David et Laura ont bien été faites ...en France et devant notaire. La juridiction hexagonale serait donc  amenée à ...continuer une logique d'héritage déjà ouvert..

    En Californie, on peut déshériter un enfant, en France non.

    "Dans son assignation effectivement déposée en début de semaine devant le TGI de Nanterre, la comédienne a « déjà demandé que cette donation soit rapportée à la succession, comme d’ailleurs l’ensemble des donations faites au conjoint et aux enfants. C’est là la stricte application de la loi française », ajoute le communiqué. La bataille ne fait que commencer".

    Curieusement, Laura et David disent se battre aussi pour les intérêts patrimoniaux de Jade et sa soeur Joy. Car en l'état Laeticia, Madame 100 % hériterait de tout. Et ses filles seulement à travers leur mère, de facto non protégées en direct.

    Rappel: la fortune du chanteur ne s'est pas composée aux USA mais en France à 95% lit-on.

     "Selon les explications de Laeticia Hallyday fournies plus tard aux conseils de Laura Smet et de David Hallyday, la veuve aurait été nommée exécutrice testamentaire. Autre surprise aux yeux des conseils: les droits artistiques de Johnny Hallyday sont désormais la propriété d'un trust de droit californien dont Laeticia est la seule bénéficiaire. Aucune autre information ne leur aurait été fournie: ni le nom du trust, ni sa domiciliation. Ce qui étonne les avocats: la loi française, rappellent-ils, oblige à déclarer le nom et les revenus de ce trust à l'administration fiscale. "'source Figaro

    Une chose est certaine, à voir tout ce petit monde se battre, le fisc français va lui, réclamer son du, sans en oublier une miette et probablement sans opposition, tous occupés à batailler.

    Il va probablement analyser  les caractéristiques  du trust  installé à l'étranger par Laeticia présentée comme "femme d'affaires".

                                                                     Sylvie Neidinger

    http://people.bfmtv.com/actualite-people/l-ex-cuisiniere-de-johnny-denonce-les-manipulations-de-laeticia-hallyday-1375702.html

    http://www.letelegramme.fr/france/heritage-johnny-sylvie-et-eddy-s-en-melent-17-02-2018-11855239.php

    https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/en-un-mot/en-un-mot-laura-david-et-les-autres-ou-l-histoire-d-un-decompte-de-l-amour_2589834.html

     

                                      Rubrique PEOPLE Hallyday Johnny

  • Lelandais, grand prédateur

    On vient de retrouver la petite Maëlys  en morceaux du  côté de Saint-Franc (limite Savoie-Isère), à 100km de Genève.

    Nordhal Lelandais est un  prédateur qui découpe ses proies.

    Un jeune militaire, Arthur Noyet  avait également subi le même sort à Chambéry (crâne retrouvée à ce jour)

     On s'oriente vers un tueur en série. Une vingtaine d'affaires de disparitions sont à l'étude.

    Les psychiatres vont étudier le mental de ce tueur qui dressait ses chiens à... simuler la mort lorsqu'il les visait avec un pistolet.(vidéo retrouvée)

    On note qu'il a en premier lieu déposé l'enfant, rapidement  tué près du domicile de ses parents, donc près de sa mère à Domessin avant de repartir à la salle de mariage y retrouver les parents de la petite comme si de rien n'était.

    Cette dépose du corps près  de la maison maternelle est troublante. Comme un sacrifice. Sacrifice offert à qui ? Quelle folie. L'explosion du corps au point de le laisser en" restes" terme employé par les enquêteurs est un trait spécifique à cet homme.

     

    J'avais été étonnée de voir en gare de Genève un affichage pour retrouver Maëlys donnant à ce fait divers un aspect international. L'Est-Chartreuse est une zone relativement  proche de la ville lémanique.

    Et le trouble partagé par tous. Effroi d'avoir pu croiser un jour ce personnage.

    Les paroles de la Maman à sa fille écrabouillée, découpée  par ce prédateur, sont juste magnifiques mais sans concession.

                                                        Sylvie Neidinger

     

    http://www.ledauphine.com/isere-nord/2018/02/14/affaire-maelys-nordahl-lelandais-extrait-de-sa-cellule-pour-etre-interroge

    #blogneidinger,maëlys,nordhal lelandais,prédateur,tueur en série

     

    Le blogueur Homme Libre, John Goetlen a lui aussi signalé la puissance de ce texte:

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2018/02/16/deces-de-maelys-paroles-d-une-mere-289822.html?c

    Mon commentaire face à ce texte sur cet article de blog :

    "Comme vous, John, j'ai repéré ce texte de la maman de Maëlys que je trouve tragique au sens de la tragédie grecque avec la malédiction et la vengeance. Aussi fort effectivement que celui de #Leiris. Mais totalement contraire à lui comme vous le soulignez également.Antoine Leiris disait "vous n'aurez pas ma vengeance". C'est incroyablement plus fort symboliquement.
    Comme celui qui tend sa joue gauche quand on tape la joue droite.Et toute la théorie moderne de la non violence avec.
    La vengeance elle est vieille comme le monde!
    Deux textes puissants. De mémoire et dans mon cheminement personnel j'ajoute un troisième texte,celui d'Antigone. C'est dire la valeur que je ressens issue des paroles Leiris et De #Araujo Cleyet Marrel maman de #Maëlys.
    La douleur de Antoine Leiris , celle de Jennifer de Araujo est puissante. On ne peut qu'écouter leurs réactions, chacun à sa manière.
    De l'humain dans sa diversité."

     

                                           RUBRIQUE POLICE JUSTICE