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gouvernement en exil

  • Puigdemont, pied nikelé, joue dangereusement avec la...vieille Histoire hispano-belge

    Ce que fait actuellement l'autoproclamé président de la Catalogne, Puigdemont -Putschdemont!- en Belgique est dangereux ....pour l'Espagne certes (Catalogne comprise)  mais aussi pour la Belgique et sa propre intégrité politique !

    1-L'autoproclamé "président d'un gouvernement en exil" (pas moins...) fuit ses obligations légales espagnoles comme un lâche du genre "courage, fuyons". Ce, après avoir mis le feu...

    2-Il lance sa thématique séparatiste de "gouvernement en exil"  depuis la Belgique, pays déjà impacté par un puissant mouvement séparatiste.

        LA BELGIQUE FUT SOUS DOMINATION ESPAGNOLE

    L' action du catalan est irresponsable. Car tout de même, il  tape fort, avec sa mine de gamin en goguette, en s'invitant de force en Belgique.

    Il relance la "pagaille belge"(je cite). Se sert de la Belgique comme d'un haut-parleur.

    De plus, venu de l'extérieur comme un cheveu sur la soupe, Puigdemont  ré-ouvre implicitement une cicatrice refermée mais présente sur le "corps historique belge": l'occupation espagnole du ...XVIème siècle!

    Une occupation actée "dans les corps et les esprits" ... puisque nombre de familles actuelles de  Belgique, Pays-Bas et du nord de France portent des noms espagnols ! Les généalogies font les connexions.

    Rappel. La Belgique fut sous domination... espagnole au XVIeme siècle et la mémoire collective s'en souvient.

    (je cite) "Peu avant sa mort (1594), Philippe II concéda la souveraineté sur les Pays-Bas (tant du Nord que du Sud) à sa fille Isabelle, qui épousa Albert d'Autriche. La soumission du Nord était évidemment une chimère et les archiducs régnèrent exclusivement sur le Sud. Toutefois, après un siège de quatre ans, le général Ambrogio Spinola reprit Ostende à la République. À l'initiative d'Albert, on engagea des pourparlers avec les Provinces Unies lesquels débouchèrent en 1609 sur la Trêve de douze ans qui reconnaissait de facto l'indépendance des Provinces-Unies. L'archiduc étant mort sans enfant en 1621, les Pays-Bas méridionaux tombèrent sous l'autorité directe de Madrid. En dépit des efforts de l'ambassadeur et peintre P. P. Rubens, la guerre reprit avec le Nord : elle devait durer jusqu'au traité de Westphalie (ou de Münster : 1648) qui scella l'abandon par l'Espagne de la Flandre zélandaise, du Brabant septentrional et de la majeure partie des pays d'outre-Meuse. À partir de 1635, gouvernés par de faibles favoris de Philippe III, les Pays-Bas du Sud furent impliqués quasiment en permanence dans des guerres avec la France dont ils constituaient le plus souvent le théâtre et au terme desquelles ils perdirent une part notable de leur territoire (quelque deux cinquièmes), surtout en Flandre et au Hainaut. Ils ne furent sauvés de l'annexion totale à la France que par les Provinces-Unies et l'Angleterre, qui ruinèrent le rêve de Louis XIV d'une frontière « naturelle » sur le Rhin. Les menaces françaises atteignirent leur paroxysme pendant la guerre de Succession d'Espagne (1702-1714). Le pays fut alors divisé en deux secteurs : le Nord et le Centre étaient sous gouvernement anglo-batave dont le siège était à Bruxelles ; à Namur régnait le gouverneur Maximilien Emmanuel II de Bavière, simple pion entre les mains de Philippe V d'Espagne et de son grand-père Louis XIV. L'économie des Pays-Bas du Sud, qui avait connu un essor sans précédent au cours du xvie siècle, se retrouvait presque ruinée par des hostilités interminables. Du fait de la fermeture de l'Escaut au trafic maritime (1585),"

    Forcément en Belgique la mémoire collective est impactée.

               ...PUIGDEMONT PARTI SANS PAYER LES GAMBAS!

    Puigdemont, au visage d'ado s'impose de force à la Belgique. Il compte mener sa campagne politique depuis Bruxelles en véritable agitateur. Ce président d'opérette n'hésite pas à prendre lui en otage la tranquillité belge!

    Véritable folle inconscience de Putschdemont à jouer avec l'Histoire de l'Espagne et celle ..des autres.

    Roitelet d'un royaume de CATA-strophe...

    Certains catalans étonnés de son attitude affirment en plaisantant "qu'il est parti sans payer les gambas"

    Sa place effectivement est en Espagne.

    Où? Face à la Justice qui a lancé un mandat d'arrêt européen.

    La Justice belge ne pourra que donner suite au mandat d'arrêt intra-européen délivré par la Justice espagnole.

    Rien juridiquement ne s'y oppose.

    Question de DROIT. Européen et espagnol.

                                                                       Sylvie Neidinger

     

    Autre article du blog sur Puigdemont :

    http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/archive/2017/10/22/le-coup-d-etat-de-puigdemont-fait-reculer-la-catalogne-287253.html

     

    (suite) Cela n'a pas manqué:  le belge Bart de Wever évoque le "furie espagnole " qui date de qsatre siècle !