On ne discute pas ici des capacités sportives physiques de Serena Williams (réelles) Mais de sa propension actuelle, autocentrée sur son ego, à ne pas accepter les règles du tennis.
Starissime du star système, elle avait tiqué de ne pas être automatiquement élue tête de série à Roland Garros.
Elle vient de faire scandale sur un court de l'US Open en insultant l'arbitre, cassant sa raquette.
La fédération américaine l'a soutenue. Les instances tennistiques internationales, non.
SERENA SPORTIVEMENT INCORRECTE
Elle dispense dès lors une image détestable, indigne.
Pire, elle justifie son comportement agressive en se victimisant.
Elle invoque un appareil idéologique usuel outre-atlantique qui n'a strictement rien à faire en l'espèce avec la réalité du mauvais comportement sur le terrain: le genre !
Elle enfreint les règles. Se voit sanctionnée et répond discrimination " parce que femme".
Soit disant parce qu'elle venait d'accoucher il ne fallait pas la mettre au même niveau que les autres mais l'inscrire directement comme tête de série à Paris : n'importe quoi.
Soit disant l'arbitre Ramos ferait des différences parce qu'elle est femme : n'importe quoi.
Williams pratique juste une instrumentalisation inacceptable du féminisme, détourné.
(Rappel: elle s'était moquée de Mauresmo, femme à l'époque....)
NIGHT, CARICATURISTE ATTAQUé
Du coup un caricaturiste australien qui n'a pas accepté son comportement l'a caricaturée dans un magazine de Melbourne.
C'est son droit absolu, celui de la liberté de la presse.
Le magazine soutient son dessinateur qui depuis a fait l'objet d'attaques violentes au nom du "PC"(politiquement correct)
Mark Knight injustement taxé de...racisme.
Du coup Herald Sun de Melbourne a republié la caricature en Une.
A juste titre.
Car ce n'est pas sa raquette que la diva piétine mais:
1) les règles du sport et de l'esprit sportif
2) le véritable féminisme
Sylvie Neidinger.