En cette période pandémique l'humour reste un salutaire exutoire, en 2020 comme en 2021...
Bonne année, bonne...santé à tous. Sylvie Neidinger
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En cette période pandémique l'humour reste un salutaire exutoire, en 2020 comme en 2021...
Bonne année, bonne...santé à tous. Sylvie Neidinger
La crèche va bientôt être retirée. Le millésime 2020 sous covid reste gravé dans nos mémoires!
Texte de source inconnue reçu d'une amie fribourgeoise par Whatsapp
Le 24 décembre 2020 à Bethléem.com, @Marie à @JosephCharpentier:
"-ô @Joseph Chéri. Ils veulent me faire accoucher avec un masque, question covid. C'est ignoble!
-Habibti Maryam, viens vite à Bethléem.com. Ici, les animaux,
hyper humains, vont t'accueillir dans l'étable pour accoucher
dans la tranquillité!"
Nota-2020: Des maternités imposent le port du masque à l'accouchement!
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Business d'un ménage à trois particulier.
L'épouse de Johnny continue à alimenter le devant de la scène médiatique en scénarisant presque au quotidien le moindre de ses propres faits et gestes autour d'elle-même ou de l'artiste décédé. Quitte à produire de l'inédit verbal pour faire vivre publiquement la douleur extrême annoncée du veuvage, toujours aussi vive et à fleur de peau.
Elle installe ce qui peut s'apparenter à un business post-mortuaire (cf la tombe...) autour de défunt chanteur dont elle avait pris possession avec cet usage de l'adjectif possessif à la première personne du singulier: la terrible expression "mon homme". Soit, la réduction d'un individu masculin - quel qu'il soit, chanteur ou inconnu- instrumentalisé au point d'être désigné comme appartenant à un autre: en l'espèce son épouse.
La veuve inconsolable a rapidement refait sa vie tout en continuant à alimenter le feuilleton "dolorosif."(néologisme ici inventé pour la cause...il s'applique bien à la situation).
Laeticia Hallyday choisit régulièrement un vocabulaire souvent impudique, exagéré, lequel expose une douleur du deuil immense décrite avec un vocabulaire proche parfois de la torture corporelle. Signe d'un narcissisme pathologique?
Constat. La veuve inconsolable étale sa vie dans les moindres détails publiquement dans la presse people, sur les réseaux sociaux (à savoir: le poulet de sa grand-mère lui manque...!) Elle se hisse par autopromotion au rang de personnalité auto déclarée, donnant son avis sur tout. Exemple : son récent tweet de soutien au Dr Raoult.
Ces séquences médiatisées mélangent plusieurs objectifs: mettre en scène la douleur de la perte du mari/ la victimisation/ au final de ne jamais oublier les potentielles futures royalties des albums ou documentaires d'automne.
Laeticia a rapidement "refait sa vie" avec un cuisinier (étonnante propension d'une ancienne anorexique à s'entourer de restaurateurs telle son amie Hélène Darroze imposée à Johnny en son temps)
Le chef Pascal Balland est donc entré dans sa vie. Impudique, elle décrit carrément sa relation... physique (!) avec le successeur "Qu'un autre homme vous touche, que vous puissiez ouvrir votre coeur à un autre homme, ça paraît tellement compliqué, c'est vertigineux parce que le manque reste abyssal", continue la maman de Jade et Joy. Amoureuse de Pascal Balland, elle n'a pas oublié l'idole des jeunes. "On a tendance à comparer alors qu'il ne faut pas comparer", poursuit-elle avant d'expliquer qu'elle "aime différemment" son compagnon et son époux disparu. "Johnny est toujours là", a ajouté Laeticia Hallyday, qui confie que Pascal Balland est "courageux" pour accepter "la place de Johnny" dans leur relation.
Logique, elle doit également continuer à alimenter le commerce musical dont elle bénéficie comme héritière, à ne pas laisser Johnny sombrer dans l'oubli. (rappel une héritière qui voulut éliminer David et Laura par son montage de droit américain)
La guêpe veille au grain et doit absolument "faire vivre" Johnny pour le supposé intérêt des fans.
Dès lors la veuve impose une loi morbide dans le nouveau couple Hallyday-Balland. Ce qu'elle exprime sans vergogne et très crument : elle organise de facto un ménage à trois avec un mort. La veuve invente même. Elle va jusqu'à faire parler "son" mort. Jusqu'à inventer que Johnny.... l'autorise à revivre cette nouvelle histoire :"C'est une jolie histoire d'amour qui me fait du bien, me ramène à la vie. La première fois qu'on s'est embrassés, j'avais besoin de sentir que, là où il était, Johnny m'autorisait à revivre. On ne peut pas renier vingt-cinq ans d'une vie avec celui qui vous a fait la femme que vous êtes. J'ai aimé Johnny comme personne, j'ai été aimée de lui comme personne. Je crois que c'est ce qui a généré tant de fantasmes."
Me, me, me Je, je, je et encore je ! Noter le vocabulaire "depuis sa tombe Johnny ...AUTORISE sa veuve à prendre du bon temps" Question: qui autorise le défunt à autoriser?...
L'épouse déborde le réel et se décrit mystique, donc en lien avec l'au-delà, au point de perturber ses filles. Elle joue la voix d'outre -tombe, au conditionnel, de son ancien mari qu'elle fait même réagir à l'actualité! Jusqu'à l'actualité politique: "Johnny aurait fait une chanson sur ce professeur décapité" ose-t-elle affirmer sans voir le ridicule de sa parole.
LAETICIA MET EN SCENE LA VOIX "D'OUTRE-TOMBE"
La veuve convie le fantôme Johnny en permanence (elle seule l'entend d'ailleurs...) et instrumentalise le nouveau partenaire dans l'exercice du culte mortuaire, Pascal Balland. Au bout de quelques mois il réagit mal. Logique.
"Laeticia aurait voulu que le passé et le présent s'entremêlent, que Pascal l'accompagne sur la tombe du rockeur, mais ça, ça a coincé..." La source a ajouté : "Il est à fleur de peau, pas toujours sympa avec les autres, voire carrément pas aimable. Personne ne l'avait jamais vu comme ça"
Le nouveau compagnon mal à l'aise dans les maisons de Johnny, refuse carrément le rôle public que Laeticia entend lui faire jouer, sur la tombe et ailleurs, toujours devant médias. A juste titre.
Le couple se sépare.
L'HOMME-PANSEMENT
Vacharde, Laeticia Hallyday répond que de toutes façons cet individu entré dans sa vie n'était qu'un pansement ! L'homme réduit à n'être qu'un linge collé sur sa plaie!
Il fallait oser. Elle a osé. Une séquence d'un féminisme dévoyé.
Médisante dans son humiliation publique, elle va jusqu'à le moquer parce que ... restaurateur Elle ose le comparer en négatif au profit du suivant "Jalil sa poésie, sa culture, son élégance, l’emmènent à des années-lumière des infortunes de la restauration !"
LE CANNIBALISME SEXUEL DE L'ANIMAL MANTE RELIGIEUSE
Un magazine avait croqué Laeticia en mante-religieuse, insecte qui décapite pour mieux se nourrir de la tête du mâle reproducteur dont l'animal femelle a soin de prendre la semence APRES la décapitation (les nerfs de l'abdomen étant toujours actifs quelques secondes) dans ce que les scientifiques nomment le cannibalisme sexuel.
Toute comparaison animale avec la veuve est certes issue de l'imagination du média. Mais elle tient la route.
D'une cruauté infinie, Cruella résume son ancien amant à une fonction au service de sa personne. Après l'homme tiroir-caisse, voici venu " l'homme-pansement" dont la mission fut de coller à la peau de Laeticia juste pour colmater la douleur scénarisée de l'éplorée. Ainsi résume-t-elle la relation.
La veuve joyeuse déverse au public son film de vie impudique par réseaux sociaux et médias interposés autour de la "perte de mon mari, vertigineuse, insurmontable montagne de douleur à surmonter au quotidien"
Le business nauséabond sent la chair putréfiée. ô Cruella.
Quelle vie cette belle-mère fit subir aux enfants du rockeur ? ô Laura, si tu savais...
On sait, désormais. Un peu mieux. Par ses propres paroles à elle. Sidérant.
Sylvie Neidinger
(Gala)
Un peu d'humour dans un océan de sauvagerie diplomatique et autres problématiques difficiles contemporaines, carrément stressantes pour les populations : covid, brexit, megxit et autres joyeusetés.
En effet, le Royaume-Uni annonce avoir vacciné comme premier citoyen masculin un dénommé...William Shakespeare!
Baptisé le 26 avril 1564 à Stratford-upon-Avon, l'individu écrivain semble vacciné à coups d'eau de jouvence et de vie éternelle. Quel optimisme grand breton!
De l'autre côté du Channel, la vie reste un émerveillement. Le passé source d'éternel miroir gratifiant.
Bonne nouvelles: les services de com' britanniques ont encore la ressource de plaisanter: bonne idée!
Ceci dit, le monde entier apprend à l'occasion qu'un certain William Shakespeare a vécu une vie complète avec l'homonymat parfait.
Il faut effectivement que la vaccination anti-covid profite à ce bien nommé pour encore cinq siècle au minimum.
Longue vie au poète-dramaturge Shakespeare William de son prénom !
Sylvie Neidinger
(capture)