L'épouse du défunt chanteur tombe de haut. Son manager Sébastien Farran aussi. L'info publique date de ce jour.
La veuve apprend qu'elle ne peut ni contrôler ni tirer des subsides du droit à l'image du "taulier".
Laeticia H. , celle qui ose nommer, à tout bout de champ son ancien mari... "MON" homme dans un terrible possessif (que les médias relaient complaisamment) a mis en place un plan pour tout posséder (de SON homme évidemment).
Un trust américain était supposé réunir dans SON "coffre fort" les maisons connues, les maisons cachées, les droits d'auteur et d'interprète, et le reste, voitures, motos...
Un hold-up diront certains.
Elle pensait gérer au cordeau TOUTE la suite. Elle avait commencé à vouloir TOUT valider.
La machine s'est grippée.
En premier lieu, les enfants Laura et David ont légitimement réclamé leurs droits à hériter. En droit français. Car c'est bien dans ce pays que le business se situe !
Personne en ce 29 décembre n'est détenteur des droits d'auteur et d'interprète de Johnny en attendant le résultat des procédures engagées.
Ensuite, la possessive dessinée par Charlie en mante religieuse vient de comprendre que au delà du décès, le droit à l'image s'éteint. C'est une règle générale.
La veuve noire n'a dès lors strictement rien à dire, plus rien à gérer de l'image...
Et cela foisonne autour du thème de Johnny. Tout le monde peut monter un spectacle!
L'excellent sosie vocal, Jean-Baptiste Guégan (ici sur RTS), validé (voire adulé) par les fans purs jus de Johnny- un magnifique physique en plus- a des projets avec ...Sylvie Vartan semble-t-il.
A dire vrai, Laura et David sont eux aussi tombés de haut en comprenant que l'image du chanteur post mortem leur échappe de même...Alors qu'ils pensaient jusqu'à présent pouvoir se battre également pour le fameux... droit à l'image.
Les enjeux financiers derrière s'en voient considérablement réduits.
Bank of América, le trust de Laeticia qui s'est récusé en automne avait probablement intégré cette donne dans son analyse financière du long terme. Cela explique en partie le refus par cet organisme de soutenir ce panier de crabes familial.
Sylvie Neidinger