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  • Pilotage statistique de blog: nouvelle donne TDG

    La Tribune de Genève a modifié ses conditions et ne fournit plus de statistiques aux  blogueurs depuis le 1er août, hier.

    Ils sont invités à s'inscrire sur Xiti ou Google Analytics.

    Je n'ai eu le temps de  faire l'opération  à temps  et ô drame, ai dû perdre 2 jours de stat: 1er et 2 août.

    Pas  grave....

    Pourtant en novembre 2013, je notais  combien la mesure est importante. Et l'absence de stats fournies par  TalkSpirit gênait alors.

    http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/archive/2013/11/03/y-a-un-bleme-toujous-pas-de-statistiques-de-blogs-explicatio.html

    La blogueuse  M.Vallette signale cet article aujourd'hui dans sa réaction du jour aux modifications imposée par TDG..

    Mais, selon elle, les accros aux stats seraient le fait des petits nouveaux. M Mabut dans un article était dans cette même position.

    Pas exact selon moi !!

    Car...tous les blogueurs  sont intéressés par les retours chiffrés!

    Elle- même aussi  finalement puisqu'elle dit bien apprécier l'outil GA.

    Ne serait ce pour connaitre le retour d'un article/ un autre, le plus lu du blog etc.

    Je réponds ainsi par un commentaire posté sous son article:

     "Madame bonjour,

    Vous citez mon ancien article de novembre 2013. Je dois préciser que je n'étais pas à l'époque une nouvelle blogueuse comme votre écrit peut le laisser penser .
    Et que le fait de s'intéresser aux volumes n'est pas du tout significatif d'être... débutant !

    ( M Mabut disait la même chose, dans un article, à savoir que les sensibles aux chiffres sont ...les débutants)
    J'avais déjà une  assise de lectorat.
    Et reste toujours intéressée par le retour chiffré qui mesure dans le détail l'intérêt produit par un thème plutôt qu'un autre etc. C'est comme le lait couvé sur le feu. Surtout quand la courbe est ascendante.

    En fait TOUS les blogueurs sont sensibles au lectorat, s'ils ont la clarté de le reconnaitre. Ce que votre article du jour montre d'ailleurs vous concernant avec vos chiffres de juillet et votre a priori favorable pour Google Analytics comme outil.
    Mon blog Neidinger: chaque jour, chaque mois est différent. Le nombre de pages varie ces derniers temps dans la fourchette 55/69 000 pages lues par mois (chiffres TDG- Blog Spirit).
    C'est peu et beaucoup.
    Surtout quand cela n'est pas un coup d'éclat mais un niveau "fond de roulement" avec toujours une tendance croissante. Car plus on écrit d'articles avec mots clés, plus cela clique, cela s'empile.
    En même temps, on n'est pas obligé de jouer à la course à l'échalote... du nombre.

    Quand je publiais un article par jour, j'étais positionnée en haut de la liste "blogs les plus lus"de Tribune de Genève.
    Et maintenant je ne veux plus prendre le temps de cet article quotidien par choix.

    Le rang de facto a baissé.

    Les chiffres sont intéressants à connaître! Les statistiques restent essentielles.
    Cet univers des néo-médias formé par nos "petits blogs" taille bien des croupières aux médias institutionnels ne serait-ce que par le "temps de lecture accaparé".

    Ces chiffres c'est à la fois peu et... beaucoup !

                                                                                Sylvie Neidinger

     

     

     

  • Le Web dans la diffusion des courts-métrages d'animation

    Une fois le film produit encore faut-il le diffuser....mifa,conférence,ulrich wegenast,laurent crouzeix,nicolas thepot,pascale faure,canal+,web,court-métrage,animation

    Cet article clôture la série Anim'Annecy 2014  par une réflexion sur les perspectives de diffusion. Avec les bouleversements induits par et pour le net.

    La synthèse de cette conférence Mifa 2014  est disponible.Ou " The role of the Web in diffusion of short animation films."

    mifa,conférence,ulrich wegenast,laurent crouzeix,nicolas thepot,pascale faure,canal+,web,court-métrage,animationLors de la conférence, de nombreuses réalisations du net ont été présentées.

    A commencer par la très importante émission net et tv produite par Canal + :  l'Oeil de links, un magazine collaboratif qui fait remonter du contenu par l'internaute.

    Ulrich Wegenast présente un expérimentation allemande Online Animation Library une collaboration à 10 000 clics entre bibliothèques de Stuttgart et le festival d'animation de cette ville du Bade-Wurtenberg.

                 GRATUIT WEB ET PAYANT  TV, A LA FOIS: C'EST INCOMPATIBLE!

    Le débat-non résolu!- portait sur le différentiel entre la gratuité du web et la non gratuité de la diffusion Tv ( respect du droit d'auteur"

    Extrait du débat :mifa,conférence,stuttgart,annecy,série du blog neidinger,ulrich wegenast,laurent crouzeix,nicolas thepot,pascale faure,canal+,web,court-métrage,animation

    Pascale Faure ajoute que les moyens de production et les prix sont différents sur le Web. Elle précise que les contenus pour la télévision ne sont jamais gratuits, tous les films qu'ils diffusent sont rémunérés, y compris pour L'Œil de links. "Il était incontournable pour nous d'avoir une émission qui relate toute la richesse que nous pouvons trouver en ligne. Nous sommes dans un bouleversement total de nos façons de travailler et de la manière dont nous arrivent les films. Nous regardons toujours où en est un film sur le Web quand nous l’achetons, et nous demandons des droits exclusifs avec des territoires précis. La nouvelle génération d'animateurs n'a pas la culture de la télévision exclusive. Leur but est de faire un maximum de vues, d’être connus et d'aller dans les festivals. Certains refusent d'enlever les films de leurs sites Web, quitte à les vendre moins chers, et beaucoup attendent que les droits s’arrêtent pour pouvoir reprendre leur contenu et le poster", déclare-t-elle.

    Laurent Crouzeix pense que beaucoup de nouveaux réalisateurs font de l'autoformation et de l'autoproduction sur le Net et qu'ils ont du mal à déchiffrer le monde des festivals, la vie d'un film dans les mains d'un distributeur ou sa carrière quand il est diffusé sur des chaînes de télévision. En tant que programmateur du festival de Clermont-Ferrand, il est plus impressionné par les dizaines de milliers de gens qui viennent à Annecy que par les millions de clics sur YouTube

    Mme Faure, responsable des programme courts de Canal + avec son grand sourire a toutefois évoqué fermement cette génération de réalisateurs qui veulent tout:  la diffusion payante sur les chaînes mais sans exclusivité c'est à dire à diffuser en même temps sur le net gratuitement. Pour un effet de notoriété plus fort. C'est pratiquement incompatible, vu de la chaîne qui a ses propres coûts et salariés.

    A savoir les Festivals en général ne programment pas ce qui est déjà diffusé sur le web...

    Tous les intervenants s'accordaient à dire que le modèle économique change à vitesse V, sans même que l'on ne puisse prédire les perspectives notamment des chaînes payantes, avec l'irruption de la VOD.

    Dans les discussions, une jeune étudiante en réalisation faisait part de son désarroi entre des études très chères et les perspectives gratuites du web qui ne font pas vivre leur homme ou leur femme. Ce au démarrage d'une carrière.

    La réponse de  Ulrich Wegenast : "Beaucoup de créateurs bossent sur le Web pour devenir anonymes, et de nombreux films qui ont du succès dans un festival n'en mifa,conférence,ulrich wegenast,laurent crouzeix,nicolas thepot,pascale faure,canal+,web,court-métrage,animationont pas forcément sur le Web. Certains festivals refusent aussi des films qui ont déjà été diffusés sur le Net. Les écoles devraient donner des cours de stratégie pour utiliser le Web d'une bonne façon. Elles devraient promouvoir le Web. Certaines écoles ont un département des licences permettant de vendre les programmes des étudiants à des télévisions, à des organisateurs de festivals ou à d'autres distributeurs. Je conseille de surveiller les contenus qui peuvent très vite être viralisés."

    La réalité du débat en fait est "Comment procéder pour construire un public à l'heure du web gratuit et tirer des revenus viables" Parceque personne ne vit de l'air du temps.

    A savoir, l'internet gratuit pose un immense problème à tous les éditeurs de contenu dont les éditeurs de presse et les journalistes.

    Pas seulement les réalisateurs de courts-métrages !

                                                                                   Sylvie Neidinger


     Intervenants

    • Pascale FAURE
      Pascale FAURE

      Responsable des programmes courts et création
      Programmes Courts/CANAL+

    • Nicolas THEPOT
      Nicolas THEPOT

      Réalisateur
      La Parisienne d'Images

    • Ulrich WEGENAST
      Ulrich WEGENAST

      Délégué général Programme
      Programme Film & Medienfestival GmbH/ITFS

      I
      • Laurent CROUZEIX
        Laurent CROUZEIX

        Délégué général
        Marché du film court Clermont-Ferrand/Clermont-Ferrand Short Film Market

       

             Blog Série N°6 Anim'Annecy 2014 sur #BlogNeidinger:

     1/10-Annecy Le festival 2014 s'affiche

      2/10 -Annecy 2014 Festival d'animation ouvert

     3/10- Fifa: le Brésil gagne...le Cristal du long métrage d'animation

      4/10- Impérial, vedette du film animé

      5/10-Cinéma d'animation. Derrière les écrans:  les métiers

     6/10-L'info sur l'infographie avec 3DVF

     7/10-Les "Progissiels 3D"

     8/10-Enregistrement des conférences CITIA: bon point !

    9/10-Scénaristes: écrire...pour qui?

    10/10- Le web dans la diffusion des courts-métrages d'animation

     

    crédits images/photos Neidinger

  • Blogosphère, porte-avion de la commentosphère

     Les blogs peuvent exister sans commentaire. L’inverse absolument pas.

    De sérieux débats agitent actuellement  la sphère numérique  sur la gestion de plus en plus difficile des commentaires. Notamment sur les blogs de presse qui attirent bien du monde...

     Un blog TDG évoquait récemment un article de Slate au titre significatif:

    comment-les-commentaires-ruinent-les-articles-

    " Ruinent", pas moins!

    Certes, ils posent des problèmes importants. Mais aller, tout de go les supprimer n’est pas raisonnable. Ils tiennent d'une communauté participative active.

     

                    TOUT BLOG A BESOIN DES COMMENTAIRES !


     Le blog est un  porte-avion attaché à un port. Ici Genève.

    Caractéristique, le blogueur est à lui seul une ENTITE EDITORIALE  autonome: éditeur, rédac-chef, rédacteur correcteur, secrétaire de rédaction, diffuseur...

    Dans le cas particulier de la Tribune, non soumis à la censure ou accord préalable le blogueur écrit bien ce qu'il veut. Il y a juste un petit  décalage temporel entre le moment de l’envoi d'article et celui de se retrouver dans la Timeline. Ceci  exprime probablement une vérification de conformité légale, la moindre des choses !

    A savoir, les sites de blogs de presse hébergés en France type rue 89, Nouvel Obs + plus ne pratiquent pas cette liberté helvète. J’ai mené ma petite enquête comparative: le sujet du post et ensuite son contenu doivent chez eux, passer par un comité de lecture. Vive Genève…

     PRESSE WEB CLASSIQUE SOUMISE AU DIKTAT DE L'ACTU...Cette sublime faculté créative donnée au blogueur qui peut bien parler de ce qui lui chante et quand il le veut, ne se retrouve pas  dans le format de la Presse numérique.

    Comme le journal papier, sa version numérique suit l'actu basée souvent sur les dépêches d'agences (Reuters, AFP) ce qui donne comme résultat un peu négatif que toute la Presse parle des mêmes choses au même moment sur papier ou web!

    Ou évite de parler d'un sujet en même temps..

    MEILLEURE GARANTIE DE VERACITE DE LA PRESSE. En revanche, l’article qui va passer dans le journal web PRESSE de la Tribune de Genève sera vérifié et validé. Il aura fait l’objet d’un choix éditorial, sera relu, corrigé. Il portera en fait la parole d’une rédaction. Une équipe est en œuvre. En cas de problème tout le monde se soutient car le produit est un résultat professionnel, industriel presque. Avec toutes les techniques journalistiques mises en œuvre, les 5W (when, who...) le triangle inversé et surtout la triple vérification d’une info (normalement, si le travail est bien fait...)

     BLOGS CREATIFS.   En aucune manière le blog ne peut garantir cette  vérification de l’info au sens journalistique. Ceci est clair puisque le blogueur publie librement. Les blogueurs qui cartonnent sont probablement -tout de même..- ceux qui rassurent le lecteur en appliquant les règles du journalisme et la sacro-sainte vérification?

    Pour autant  le blogueur détient  un outil numérique incroyablement puissant, car immédiatement googelisé s'il commence à avoir un lectorat certain.

            BLOG: PUISSANT NEO-MEDIA POTENTIELLEMENT EN CONTRE-INFO

    Il a la faculté de partir  sur des chemins neufs.

    Plusieurs blogs de Tribune de Genève -c'est  leur richesse et le résultat de cette liberté- vont chercher de l'information réellement sous d'autres points de vue sur les sujets d'actu chauds tels l'Ukraine, la Syrie, le Proche-orient par exemple. Ils apportent leurs connaissances spécifiques.

    Une formidable démultiplication des points de vue sur les blogs alors que  les médias traditionnels restent souvent  suivistes, politiquement corrects.

    Sur ces sujets inédits, ou abordés sous des angles inattendus, les commentateurs apportent également toute leur énergie. Passionnant !

    Le blogueur  tient la barre de son navire en complète autarcie. Au fur et à mesure de sa navigation il emplit ses soutes de ses articles qui, plus ils sont nombreux, plus ils sont cliqués. Et des commentaires qui arrivent comme des missives qui se posent sur le pont.

    Il se nourrit des gouttelettes de  l’air du temps captées  pour ses choix rédactionnels. Des sujets calmes ou moins .Cela tangue grave quand il aborde les thématiques de la politique  ou du Proche-orient.


                   COMMENTATEURS SI DIVERS: DES  EXPERTS AUX ...TROLLS

     Cette autarcie structurelle explique pourquoi les blogs ne peuvent absolument pas se passer des commentateurs.  Si une inexactitude  est écrite, elle est vite détectée, par ce « travail collaboratif » des commentateurs.

    Les commentateurs signalent de leur côté que certains articles,  certains blogs sont hyper provoc'( cas de figure possible en raison justement de la complète liberté de rédaction sur les blogs TDG ) . D'où effectivement l'absolue nécessité du retour de terrain par les commentaires !

    Un jour,  un de mes articles  rédigé trop vite  avait déplu. Le commentateur expliquait pourquoi. Je lis ses arguments. Il avait parfaitement raison. De fait   j’ai modifié l'angle  suite à cette intervention contradictoire fort bien venue d’une grande finesse.  Même si en opposition frontale.

     Les commentateurs sont des partenaires essentiels. Ils apportent même leur expertise. Des experts pros du secteur aérien sont venus enrichir mon article sur Cointrin. Lire

    Le blog-bateau vogue et reçoit en permanence ces missives de commentateurs qui ont pris sur leur temps de vie pour lire votre blog. C’est vivant, interactif. Bien évidemment un commentaire en opposition doit passer s’il est argumenté, sans agressivité ni gros mots.

                                               LES FANTÔMES DU WEB

    Le problème est quand le ponton reçoit des déjections de drôles d’oiseaux…

    Bizarres trolls d’une indécence absolue, masqués derrière les pseudos, dont les adresses courriels sont souvent fausses.

    Ils viennent d'on ne sait où. Avec des adresses IP de Suisse ou France quelquefois des pays les plus improbables à l'autre bout de la planète!

    Le lecteur n'a pas idée de ce que les bases de commentaires reçoivent.

    Ces  fantômes... cachés viennent hurler haut et fort que le blogueur qui ne les laisse pas passer est un censeur autocrate  qui les méprise eux. Et tutti quanti….

    Si facile...

    Mais il faut relativiser, ces pollueurs sont minoritaires. Sur le blog Neidinger la communauté des commentateurs est plutôt un véritable partenaire d'avis aussi divers les uns que les autres. Ne pas ranger tout le monde dans le même panier en raison des entreprises de démolition Trolls& Co et des Commentateurs Anonymes& Co.

    A savoir une catégorie nouvelle de commentateurs s'installe depuis quelques mois sur les blogs. Comme des coucous qui viennent poser leur oeufs sur le ponton du navire, en parasitage. Ils pondent un commentaire souvent intéressant , du type que l'on laisse passer. Ils s'agit des commentateurs dont les noms sont carrément publicitaires. Ici, ils sont systématiquement bloqués.


      DESOLEE, LES COMMENTATEURS N'ONT PAS D'IDENTITE NUMERIQUE !


    Au réel, le problème à gérer n’est pas tant celui des trolls qui bien évidemment ne passent pas s’ils démolissent. Mais celui de commentaires  intéressants pour 90 % et qui vont pourtant avoir une phrase impubliable. Que faire? Impossible évidemment pour le blogueur de "trier" le commentaire.

     Ou, autre cas, ce commentateur sous pseudo, anonyme qui rédigeait des textes ….n’ayant rien à voir avec l’article ! Il était  joignable, son courriel étant exact. Je lui en ai fait la remarque. Il m’a répondu « laissez- passer,  je suis connu pour ces avis tranchés, c’est mon identité de commentateur"

    La réponse fut non. Il s’appuyait en fait sur un article pour en faire autre chose. Pas d’accord. Blog porte-avion de commentaires liés au sujet oui . Base d'accueil du coucou qui vient y faire autre chose, non.

    Que signifie l’identité numérique d’un commentateur anonyme  sous pseudo ? Rien. Le vide sidéral. Pour gérer son identité numérique, que ce commentateur  au besoin d'expression soutenu créé un blog pour s’exprimer!

    Certains ne manquent pas d'air...

    BLOGUEUR RESPONSABLE JURIDIQUEMENT DONC 100%MAÎTRE DE SES CHOIX

     Bloguer est une activité très engageante, une identité numérique en ressort avec certes un petit tournis quand on se retrouve googlelisé  (quand le commentaire posté arrive de Hong Kong ou de New-York quelquefois, suivant l'IP...bigre.)

    Tournis de la puissance du néo-média blog  |tel le  score/jour maximal du blog un 15 000 clics sur un article Schumacher en janvier 2014,  jamais renouvelé depuis]

    Mais qui expose.

    Le plus souvent, le blogueur met sa photo, blogue sous son nom réel. S’il est sous pseudo il est de toutes façons joignable.

    Juridiquement responsable en tous cas. Un jour sur ce blog  est arrivé un commentaire délirant de 100 lignes n’ayant rien à voir avec l'article, très diffamatoire vis-à-vis d’une personnalité genevoise.  Un avocat. Un problème de procès en cours. Heureusement que le commentaire est modéré en amont !

                                                         SALON CONVIVIAL

    En fait le  blog Neidinger est comme un salon. Pour le plaisir ! Pas pour le combat.

    Celui qui entre et vient débattre, argumenter, s’opposer mais restant poli  est le bienvenu.

    Le blogueur et ensuite les commentateurs construisent ensemble  un post- débat intéressant autour de la multiplicité des points de vue. Et c’est la majorité.

     Les trolls démolisseurs et  "donneurs anonymes de leçons de démocratie" … restent à la porte.

    Sans état d’âme.  Bloguer est une activité totalement gratuite évidemment et qui prend beaucoup de temps.

    A savoir, le blogueur n'est pas maso !

    Les blogueurs constatent effectivement une dérive . Certains choisissent de  fermer les commentaires. Ils sacrifient ainsi volontairement une des  sources de clics.

    Mais tous les blogs ne courent pas la course à l'échalote du "plus lu".

    En agissant ainsi, ils traitent l'info comme la presse traditionnelle papier dont les journalistes se moquent éperdument des retours de lecteurs, c'est connu..

    De fait, ce blog Neidinger a décidé de laisser les commentaires car la communauté qui prend sa plume est forcément un partenaire de premier plan qui enrichit tout article et démultiplie les points de vue. 

    Mais il a ressenti la nécessité de publier sa propre charte

     Que ceux qui n'acceptent pas  ne perdent pas de temps à commenter...

    Pour les autres, merci infiniment de cette communauté collaborative des commentateurs qui ont pris du temps pour lire.

                                                                               Sylvie Neidinger


    Trolls:sociologie des commentaires indésirables