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  • l'Elysée en marque commerciale : future polémique Macron?

    Scandale.

    Emmanuel Macron a fait déposer en mai 2018n la marque Elysée comme marque commerciale. Comme une marque de savon.

    https://www.grazia.fr/news-et-societe/societe/l-elysee-peut-il-etre-une-marque-892078h

    Pour faire vendre des produits dérivés. Il se lit dans la presse qu'une boutique va être installée carrément au palais à la rentrée, ou vente en ligne. Pas encore précis.

    Avec comme justification de façade de récolter des fonds pour réparer le bâtiment. (ô France qui se mêle des conflits du monde mais n'a pas les moyens de réparer son lieu de pouvoir)

    Une (mauvaise) idée  qui ne passera pas dans l'opinion.Un éditorialiste se moque déjà du pyjama de Macron 1er...

    D'une part c'est une singerie de la royauté britannique.

    Et cela démontre par ailleurs  une volonté de culte de la personnalité par l'image.

    On imagine les tasses kitch  à l'effigie de Manu et Brigitte. Gadgets ridiculissimes.

    Un abaissement de la fonction.Un journaliste parle de dérive.

    Attention, une fois  le nom  «Élysée - présidence de la République» déposé  quid du fait d'évoquer la présidence sans risque de poursuite ?Quel respect de la liberté d'expression;

    Cette idée macronienne prise sans débat est carrément mauvaise.

    La future polémique? Puisque visiblement Emmanuel Macron ne peut gouverner sans provoquer. Et plus grave sans comprendre pourquoi  ses actes et paroles génèrent la polémique.

     

                                            Sylvie Neidinger

     

     La boutique en ligne est lancée !Il y a même un tee-shirt avec le slogan Perlinpinpin.

     

    http://www.leparisien.fr/politique/poudre-de-perlimpinpin-croquignolesque-et-maintenant-des-goodies-sigles-elysee-13-09-2018-7887411.php

     

    Un site parodique, Enlysée   suit dans la foulée !

    https://www.20minutes.fr/high-tech/2341539-20180923-enlysee-boutique-ligne-parodie-produits-derives-lances-elysee

  • L'affaire d'Etat Benalla sort GRACE A LA PRESSE

    1-La gravissime affaire d'Etat  Benalla est sortie GRACE à la presse (et les réseaux sociaux..). Toute atteinte au droit de la presse est donc inacceptable.

    2- Elle sort au moment où la majorité entend réduire le rôle du Parlement par la modification de la Constitution (carrément)  alors que cette institution démontre l'extrême nécessité de garder le pouvoir de contrôle du gouvernement

    3- Le ministre Castaner MENT  et se moque des français en indiquant que dans le bus des Bleus M Benalla est un porteur de bagage. !!! Non il continuait à assumer ses fonctions. Il n'avait PAS été sanctionné contrairement aux dires du gouvernement.

    4- Macron s'offusque aujourd'hui mais bien trop tard . Suite à l'affaire du 1er mai aucune mesure n'a été prise le 2 mai. Il a été protégé par le président Macron avec en plus logement quai Branly ( juillet) et voiture de fonction. Macronie :  une autocratie insensée.

    5-Cette affaire a l'immense mérite de faire ENFIN entendre l'opposition à Macron.

    6-Il est temps que le mirage Macron s'estompe et que sa gouvernance hautaine méprisante, donneuse de  leçon et surtout autocratique soit sous observation.

    Cela ne nomme la démocratie.

                                                                                Sylvie Neidinger

  • Macron piégé par sa gouvernance autocratique (souligne la presse mondiale)

    Il n'y a pas d'affaire Benalla. Mais une affaire Macron-Benalla.

    Du nom de cet homme lige à qui tout était permis: avoir les attributs d'un policier, être officier de réserve de la  gendarmerie, presque devenir  sous-préfet, posséder un badge open (H)  pour entrer à l'Assemblée Nationale, réformer la sécurité de la Présidence, être devant, dans le bus des bleus alors qu'il était soit disant mis à pied..

    Par le fait du PRINCE. Garde du corps du Roi, protégé . Comportement illégal non dénoncé par l'Elysée une fois informé, le 2 mai suite à ses exactions sur des manifestants.

    Un homme de Cour. Même pas dans l'organigramme du palais.

    La presse internationale ricane un peu. Le poisson est énorme.  D'une part, Macron donneur de leçon face aux régimes autoritaires fait actuellement discuter au Parlement une réforme de la Constitution qui ....limitera fortement le pouvoir du Parlement !!  L'examen de loi  est rendu impossible par l'affaire Benalla, stoppé ce jour.

    Mais d'autre surgit cette affaire de supposée "police" parallèle voire personnelle.

    Et pour cause.  En résumé, Alexandre Benalla était hors la loi mais  sous protection de l'Elysée.

     Tout lui était permis!

    Macron en tant que Président ne peut lui-même traîner dans les couloirs du Parlement (en raison de la séparation des pouvoirs) mais son bras droit sbire-barbouze Benalla...oui. Qu'allai faire ce nervi au Parlement ?

      L'homme s'autorise à se défouler sur des manifestants en usurpant les attributs de la fonction régalienne qu'est le policier!

                            MACRON CONCENTRE ET CONFOND LES POUVOIRS COMPARé A MACHIAVEL

    Macron concentre dangereusement  les pouvoirs, organise une confusion des fonctions, n'agit pas en Président démocratique !

    Trop tôt pour dire que la démocratie française est en danger.

    Mais constat:  toute l'opposition politique et de nombreux citoyens n'acceptent pas cette tendance autoritaire bonapartiste assumée avec morgue et mépris ....qui commence à déraper.

    Le député LR Guillaume Larrivé le compare à Machiavel.

    L'orgueil de Macron  qui se prend sans rire  - c'est incroyable !- juste  pour Jésus, Jeanne d'Arc, Jupiter, Louis XIV et Napoléon, maître des horloges aussi..N'en jetez plus

    Qui MODIFIE la sécurité de l'Elysée en la privatisant,  qui se moque de la loi quand elle le concerne est désormais largement   critiqué.

    C'est une DERIVE MONARCHIQUE.

    L'affaire d'Etat ne fait que commencer..

    Car la France  est une vieille démocratie d'expérience.

    Qui a tendance à faire facilement la révolution et passer ses rois sous la guillotine.

    Même symbolique.

     

                                                   Sylvie Neidinger

     

    -Macron impose verticalement les 80 km/h sur les routes mais a pris un Falcon pour un trajet terrestre de 110 km le 15 juin dernier!

    -Sa communication a été catastrophique.

    -Sa gouvernance n'est que polémiques à répétition.

    -Il continue à décrocher dans l'opinion.(sondage)

                                                                                     

     

  • Benalla, le faux policier préféré de Macron hors-la-loi

    L'affaire Benalla qui sort grâce à la presse ( journal Le Monde ) est gravissime, explosive.

    Ici les pratiques insensées d'un proche du premier cercle de la macronie.

    Elle expose à la lumière crue ce que Emmanuel Macron fait de la présidence française. 

    Une gouvernance autoritaire, à son bon vouloir avec son entourage aux fonctions indéterminées parfois.

    On avait déjà évoqué le phénomène de cour avec l'article sur la Cour du Roi de la République française.

    Macron  installe autour de lui des individus aux fonctions troubles, en autarcie. (Tous les collaborateurs n'apparaissent pas dans les organigrammes ...) Benalla est un "chargé de mission policier ". Nervi issu à l'origine du service d'ordre du PS (Martine Aubry, Montebourg)

    Quel est le lien exact entre ce nervi de 26 ans non policier mais homme violent  qui "joue au policier" à ses heures perdues et le Président ??

    Question majeure car tout a été pardonné à cet homme. 

    Pire le sommet de l'Etat a voulu étouffer cette affaire !

    L'individu à la carrière fulgurante  va  casser du manifestant le 1er mai. Problème : la scène est filmée.  Il se livre à des violences et l'Elysée le protège.

     Ce personnage a commis plusieurs délits: usurpation de fonction, de titres en plus des  violences volontaires.

    Protégé par l'Elysée, grassement payé, logé depuis le 9 JUILLET par la République Quai Branly dans l'ancien appartement Pingeot !!

    APRES le 9 juillet,ce qui signifie que l'Elysée n'a pas sanctionné contrairement aux fausses affirmations du service de com' de Emmanuel Macron.

    L'individu semble avoir tous les droits. Qui lui a   donné les attributs de fonctionnaire d'Etat, de  policier  ( girophare, casque etc..) ? Qui a donné à Alexandre Benalla un véhicule de police super équipé ?

    A 26 ans il a même été porté au grade de  lieutenant  colonel réserviste de gendarmerie.

    Dès lors, une tempête politique et judiciaire démarre, un scandale d'Etat qui discrédite totalement le coeur de la  gouvernance Macron.

    La démission de Gérard Coulomb est demandée car le 2 mai il n' a pas alerté la Justice. Il sera auditionné par le'Assemblée lundi et le Sénat mardi. Le ministre de l'intérieur n'a pas fait jouer l'article 40 qui demande à tout fonctionnaire de dénoncer des faits.

     

                                   BENALLA "BARBOUZE"PROCHE DE MACRON

     

    Macron et sa garde rapprochée tellement enfermés dans leur morgue et leur  sentiment de toute puissance ont cru que cela allait passer. Il est supposé au départ avoir été "mis à pied" deux semaines...Gag : sans retrait de salaire  !

     

    Pour se défendre l'Elysée croyant s'en tirer ainsi va jusqu'à mentir :

    1-en affirmant que l'individu avait été sanctionné. Faux. Mensonge du service com de l'Elysée !

    2-mis au placard . Faux car lundi dernier  Benalla, à Roissy a voulu prendre le contrôle de la sécurité des bleus contre la ..gendarmerie !

    Gestion de crise catastrophique de l'Elysée.

    Macron tord les cou aux pratiques légales. Benalla occupait sous statut privé des responsabilités dans le fonctionnement de la sécurité du président  en dehors du service spécialisé GSPR !

    Le pouvoir aujourd'hui se débine. La commission des Lois (macroniste) n'a toujours pas pris la mesure des faits.

    Macron drapé dans son  orgueil pathologique n'assume rien. Et fait actuellement  porter le chapeaux sur les policiers qui  ont fourni à Alexandre Benalla des vidéos hors cadre légal.

    Raz de marrée de colère chez les policiers, leurs syndicat qui voient un type usurper leur métier juste parce que "proche "de Macron.

    L'homme agissait avec des brassards de police, leur matériel.

     

    "BENALLA" est un dossier poupées russes. Dès qu'on soulève le tapis Benalla plusieurs affaires surgissent qui entachent la présidence.

    Quelle est  exactement  la nature du lien de cet Alexandre Benalla qui skie avec Macron  et clairement occupe un rôle au delà de son rôle dit de "sécurité".

    Jean -Paul Mégret du Syndicat de police donne une excellente interview qui résume tout. L'exécutif dans ce dossier est responsable. Selon lui , les barbouzes n'ont pas à gérer la sécurité du président ! Alors que Macron voulait s'orienter vers une privatisation des services de sécurité du sommet de l'Etat !

    Macron qui a fait voter une loi de moralisation est silencieux sur la dérive de son entourage barbouze que lui  même organise autour de SA personne.

    C'est, mine de rien une affaire d'Etat majeure.

    Ne pas réagir à ceci serait un signe de pourrissement de la démocratie française, laquelle est bousculée chaque jour par la présidence autoritaire et solitaire de Macron Bonaparte, Roi de la République française.

                                                                                            Sylvie Neidinger

                                                                                  

  • La Cour du roi de la République française à l'Elysée.

    Observation. Le Président Macron modifie les usages en ouvrant le Palais de l'Elysée à son bon divertissement.*

    Cela  se nomme -entre autres-  les Jeudi de l'Elysée

    Musique, pièces de théâtre,  public invité (suivant les caprices du jour de la puissance invitante)

    Et autres raouts. Telle la Fête de la Musique 2018 dans la cour d'honneur du Palais. Une soirée Electro qui a fait jaser son monde.

    Ou récemment, lundi 16 juillet,  la réception presque privée  de l'Equipe des Bleus en cette cour palatiale. Privant surtout des milliers de fans ayant attendu des heures au soleil  sur les Champs et devant le Crillon.

    Champs descendus en moins d'un quart d'heure par le bus: il leur fallait se dépêcher, les petits Bleus. Pour vite aller faire cour chez le roi de la république française.

    Les footballeurs n'y sont pour rien. C'est leur hiérarchie qui a concocté cette sauce.

    Facile à décrypter: "tous autour de LUI"  pour que Emmanuel Macron  s'attribue symboliquement les mérites de la victoire mondiale.  (Ce après avoir été en transe en Russie dans les tribunes, histoire de faire croire que plus le roi Macron  sautillait sur la touche et plus les ballons entraient chez les adversaires....)

    Le Roi de la république française par son bon vouloir n'invite évidemment pas que des premiers de cordée. Il invite aussi des gens qui ne sont rien.

    Soit  tout manant sur qui l'onction va tomber. Des derniers de cordées totalement ébahis de se retrouver là. Magique.

     

                                                     VOCABULARIA LE MOT"COUR"

     

    C'est extraordinaire. En observant  cette nouvelle lubie présidentielle, on retrouve l'étymologie exacte de la Cour du Roi.

    Curial.

    La Cour dans sa définition est à la fois un espace fermé entouré de bâtiments, la résidence d'un roi et la dénomination de ceux pratiquent cet espace (nommé alors les courtisans.)

     La basse-cour définit elle l'espace dédié à la volaille.

    Autour du coq.

                                                                                                            Sylvie Neidinger 

     

    *Réunir à grands frais pour pas grand chose son monde politique en Congrès dédié à sa gloire (celle de l'écouter sans répondre)  à Versailles ne semble plus suffire .

     

    SUITE L'affaire BENALLA   vient de sortir et entre totalement dans le cadre de ce ph"nomène de cour et de privilège: le policier préféré de Macron a "tous les droits" ou plutôt agit en dehors du droit. Article suivant.