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H-Histoire avec un H - Page 44

  • « Commerce d’esclaves depuis Genève ». Du 31 mai au 15 juin aux cinémas du Grütli

     Les cinémas du Grûtli revisitent de l’histoire de la Traite négrière à l’initiative de cooperaxion.org,  fondation bernoise qui « thématise le rôle des acteurs suisses dans le commerce triangulaire » selon son communiqué de presse du 16 mai.geneve,cinma du grütli,coopéraxion.orgtraite,esclavage,commerce triangulaire

     Est dressé un état des lieux :

    « La Suisse, alors encore officiellement Confédération helvétique, n’était pas un empire colonial. Néanmoins, elle était totalement intégrée dans les réseaux financiers et commerciaux européens. Des entreprises et des particuliers de renom ont participé et profité directement et indirectement du commerce lié à la traite des esclaves.Des citoyens genevois furent également actifs, à différents niveaux, dans le commerce triangulaire transatlantique.»

    Et de citer des ...noms de famille. Sur son site internet l'association  mentionne une base de données en langue allemande avec les noms des ...protagonistes. Comme pour un tribunal de l'histoire ? 

    Cooperaxion   joue un rôle  militant de  réparation puisqu’elle organise également  des projets culturels en Afrique de l’Ouest et au Brésil, sur les routes du commerce triangulaire.

     Cette  démarche  historienne de retracer, retrouver partout les indices de la traite esclavagiste, notamment à Genève  est intéressante.

    Mais affirmer comme une découverte majeure l’implication de la Suisse n’est pas un scoop à première vue...

    Il semble évident que ce pays   n’était pas  une île à part. Et que le financement du commerce pouvait fortement  passer en partie par Genève, on s'en doute ! Le contraire eût été plutôt étonnant.

     Il y a un écueil à ne pas  sombrer dans le travers  de ce type de démarche mémorielle : l’amalgame rétro- historique.

    Ce qui était ordinaire au XVIIème siècle ne l’est plus au XXIème siècle car le droit et les mentalités ont évolué. Fort heureusement.

    Dans l’autre sens  quelle erreur  de morale  déplacée s’il s’agit de faire le  procès de mentalités et  personnes aujourd’hui disparues !   Et d’imposer  repentance ou mauvaise conscience.

    ET LES ESCLAVES CONTEMPORAINS, DANS NOS RUES, SOUS NOS YEUX ??

     Très concrètement aujourd’hui 1er juin 2013 : la traite humaine se pratique sous nos yeux  à  Genève (et le Grand Genève) par les réseaux de mendicité organisés   au profit  des chefs mafieux  de Roumanie ( dont ceux de Barbulesti)

    Que pouvons nous faire individuellement ? Donner une aumône, c’est entretenir le système esclavagiste en place…On sait par ailleurs que si ces esclaves contemporains ne ramènent pas le soir les sommes demandées, ils subissents des violences.

    Concrètement, quelle action mener contre cet esclavage contemporain ?

    Les polices sont impuissantes des deux côtés de la frontière à faire cesser un  système global, connu, suivi par les Services concernés  mais  qui se réalimente en permanence avec des individus esclaves renouvelés. Les filières sont identifiées.

    Le commissaire principal Philippe  Guffon de Annemasse, Directeur -adjoint de la Sécurité publique de Haute-Savoie est en totale conscience du problème.

    Mais la loi du silence règne chez les ...victimes.   (lire )

    Si les autorités publiques administratives, juridiques  et policières des Etats Suisse et France ne peuvent pas -avec  tout l'arsenal juridique  qui existe!- faire cesser cette Traite issue des pays de l'Est, parce que les preuves juridiques tangibles, valorisables lors d'un procès,   sont difficiles à réunir, alors qui le pourra???

    Cette Traite moderne, au coeur de l'Europe, ultra complexe à ramifications internationaleperdure.

    Et semble utra difficile à faire cesser.

    D’où le grand questionnement sur la démarche mémorielle pour une période lointaine allant du XVIIème au XIXème : informer oui. Porter un jugement a posteriori : certainement pas !

                                                                                                     Sylvie Neidinger

    *Constat : que ce soit avec le commerce triangulaire hier ou aujourd'hui avec les pays de l'Est, la notion d'esclavage semble  toujours liée à ces deux faits: 1-un caractère international 2-des individus déplacés de leur espace d'origine.

                                                                           

    Vendredi 31 maigeneve,cinma du grütli,coopéraxion.orgtraite,esclavage,commerce triangulaire

    18h00 Film : Route de l’esclave : L’instinct de la résistance, UNESCO, 2012.

    En partenariat avec la Commission suisse pour l’UNESCO. 34'

    19h00 Conférence : De l’inégalité des peuples au temps de Rousseau

    avec Danielle Buyssens, historienne, conservatrice au Musée d’ethnographie

    de Genève

    19h45 Conférence : Descendants d’esclaves – la question des Quilombos

    au Brésil avec Izabel Barros de Siqueira, cooperaxion

    21h00 Film : La legende de la terre d’or, BR/CH, 2007. Exploitations des terres et

    des hommes brésiliens. 55'

    Samedi 1 juin

    19h00 Conférence : La littérature de « cordel » et la musique du nord-est

    du Brésil avec Eduardo Machado, musicien

    21h00 Film : Retour à Gorée, CH/LU, 2007. Youssou N’Dour sur les traces des

    esclaves. 102'

    Vendredi 14 juin

    18h00 Film : Route de l’esclave : L’instinct de la résistance, UNESCO, 2012.

    En partenariat avec la Commission suisse pour l’UNESCO. 34’

    19h00 Conférence : La Suisse et l’esclavage avec Bouda Etemad, Prof. Histoire

    économique, Université de Genève

    19h45 Conférence : Genève à la périphérie du monde atlantique : quelques

    exemples de ramifications genevoises avec l’économie de traite

    avec Gilles Forster, historien, Haute école d’art et de design (HEAD-Genève)

    21h00 Film : Rue Cases Negres, FR, 1983. Histoire d’une enfance au Martinique. 103'

    Samedi 15 juin

    14h00 Visite guidée : Le groupe de Coppet et le mouvement abolitionniste,

    Château de Coppet (RDV : Gare de Genève-Cornavin au point de rencontre)

    19h00 Conférence : Raízes distantes – la musique brésilienne avec

    Eduardo Machado

    21h00 Film : L’esclave libre, USA,1958. Elevée comme fille de planteur, Amantha

    Starr est vendue comme esclave, après le mort de son père. 125'


    www.cooperaxion.org

    Cinémas du Grütli   rue du Général Dufour,16  Genève

    Rétrolien : lire


                                                       rubrique GeneVie

  • Hommage de Genève à Jean Starobinski au Palais Eynard

     Le Palais Eynard lançait un clin d’œil au ciel, ce mercredi 29 mai 2014 à 18h30. Les cieux ont bien compris le message, par une magnifique ambiance vespérale qui  imprégnait le parc des  bastions...jean starobinsky,sami kanaan,ruth dreifuss,mrl,genèvejean starobinsky,sami kanaan,ruthdrifuss,mrl,genève

    Dynamique amplifiée par l’intéressante  tension entre un fond d’air frais, des corps qui s’ingénient à déclarer les beaux jours ouverts et une luminosité solaire inespérée!

    La Genève politico-culturelle honorait ce jour là Jean Starobinski, de la célèbre « Ecole de Genève»  Critique Littéraire  fameuse dans le monde des Lettres.

    A l' invitation de la MRL, Maison de Rousseau et de la Littérature...

     Genève représentée à  l’échelon de l’Etat par la présence introductive du Conseiller Sami Kanaan. Représentée à l’échelon Fédéral indirectement par sa première  Présidente (1999),   Madame Ruth Dreifuss.jean starobinsky,sami kanaan,ruth dreifuss,mrl,genève

    Le  Conseiller d’Etat  à la Culture   souligna combien l’hommage se  devait d’être rendu en ce magnifique  Palais Eynard, construit sur l’emplacement d’un ancien bastion.

     UNITE DE LIEU MAIS FORT HEUREUSEMENT PAS DE TEMPS !

     L’unité de lieu de la  pièce de théatre dix-huitièmiste qui s’est jouée ce soir là fut  essentielle.

    Jean Starobinski prit la parole pour dire combien l’honneur  rendu en ce lieu précis  le touchait.

    Il  avoua que enfant, il adorait venir y jouer au football  en voisin. Et combien il   commença sa formation intellectuelle par d’intenses lectures à la Bibliothèque, juste en face.jean starobinsky,sami kanaan,ruth dreifuss,mrl,genève

    [ Bibliothèque  où sa première fiche de lecteur est aujourd’hui précieusement conservée  ]

    De facto, l’unité de temps n’avait plus de sens dans ce contexte: c’est bien de l’épaisseur d’une vie qu’il s’agit. En l’occurrence commencée en 1920.

    Voire même avant. Puisque  L'écrivain  a démarré  par évoquer sa biographie familiale.

    Au commencement …était le père qui décida  de quitter la Pologne, il y a un siècle  pour venir étudier la médecine à Genève. Vertige du temps écoulé : les "années  lycée"de son fils Jean datent  de... 1936 !

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     Deux spécialistes de son œuvre entouraient ce soir là Jean Starobinski de leur compétence. En réalité de leur affection. Il les a qualifiés d’amis: Martin Rueff et Jean-Claude Bonnet.

    jean starobinsky,sami kanaan,ruth dreifuss,mrl,genèveCe dernier prit la parole pour souligner que le célèbre critique, écrivain, essayiste, spécialiste du XVIIIème siècle ne fut pas trop  influencé par la mode années 80  qui mettait en exergue les écrits libertins.

    Jean Starobinki est resté dans du lourd et du solide: Rousseau et Diderot !

    « Le premier, un  introverti, véritable homme des livres, le second, un  extraverti homme des feuilles » comme l’a si élégamment souligné le genevois.

    Après le Tricentenaire de la naissance de Rousseau, rideau est désormais ouvert sur le Tricentenaire de... Denis Diderot né le 5 octobre 1713.jean starobinsky,sami kanaan,ruth dreifuss,mrl,genève

    L’occasion de relire tous les ouvrages que Jean Starobinski lui a consacrés.

    Pour mieux comprendre, de l'intérieur, en tête à tête avec le célèbre critique. Nommé avec affection Staro à Genève !                                                                                                                    Sylvie Neidinger

     

     

    jean starobinski,sami kanaan,ruth dreifuss,mrl,genève*Post scriptum. En fin de la conférence enregistrée  le public n’avait  pas trop osé casser la magie des mots prononcés et poser de questions. Finalement lors du cocktail qui a suivi, j'ai demandé à Jean Starobinsky si le fait d’être à la fois homme de lettres et médecin portait  un signification particulière ? En effet, certains médecins-écrivains  théorisent leur double –compétence. Point de cela. Il a répondu très simplement par une négation qui reclassait son ordre de préférence « la médecine n’était pas mathématique à l’époque comme elle l’est devenue aujourd’hui » Et laissé comprendre que ce métier lui a surtout permis de vivre au démarrage. De bien vivre sa passion des Belles Lettres de facto. Avec une malicieuse conclusion: "la rigueur scientifique d'un côté et l'intuition poétique de l'autre".

    *Nota. Le Conseiller  Sami Kanaan a évoqué dans sa présentation le soutien actif  de l'Etat de Genève aux lettres.jean starobinski,sami kanaan,ruth dreifuss,mrl,genève Un soutien quelquefois direct vis à vis par exemple d'un éditeur. Ce qui n'est pas évident pour tout le monde...L'homme politique n'a pas caché l'existence de véritables débats avec ses homologues de la zone suisse alémanique "qui ne voient pas du tout les choses comme nous".

    Lui  assume tranquillement sa position de l'aide culturelle pro-active.  SN.  

    *Lire article de ce blog consacré à Rousseau le  jour du Tricentenaire à Genève : Banquet républicain à Genève. Lettre à Rousseau, premier Indigné.

     

                                                               Rubrique GeneVie

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  • Syrie-Surya: Stalingrad ?

    Rubrique Syrie-Surya sur blog Neidinger SIDERATION

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    syrie-surya,sideration

    Bataille de Stalingrad, parmi les batailles urbaines les plus violentes de l'Histoire

     photos=capture d'écran

                                          RUBRIQUE PROCHE-ORIENT SERIE SURYA

  • Bérézina: vidéo de la reconstitution en Gruyère par les Cent-Suisses

    Ils sont toujours 100 !

    En mémoire, ils ont participé à la reconstitution historique de la bataille de la Bérézina le 25 novembre 2012 à Villars-sous-mont (château de Gruyère). 

    Voir video de 20 minutes publiée par le Cercle des Cent-Suisses, l'organisateur,  VIDEO ICI

     Cette  institution est  déclarée "d'utilité publique cantonale et fédérale". Basée à Genève, elle  se propose de perpétuer l'histoire et la culture suisse. gruyère,berezina,villars-sous-mont,commémoration,cercle cent-suisses

    100 ? Voir la chronique sur leur site

    "Les Cent-Suisses ont été créé en 1481. La "Compagnie des Cent Hommes de guerre Suisses de la garde" fut la première troupe permanente de suisses engagés au service du Roi de France. Sous le nom de "Cent-Suisses", elle survécut jusqu'à la révolution. Parallèlement fut fondé en 1616 le régiment des Gardes-Suisses puis vers la fin du XVIIème siècle une dizaine d'autres régiments de même nationalité. Recrutés dans leurs cantons d'origine par des officiers suisses, ces soldats au service de l'étranger s'engagent pour 6 ans (...) à toutes les cérémonies de la monarchie, les Cent-Suisses assurait la "garde du dedans", intérieure au palais, le régiment des Gardes-Suisses celle du dehors."                                                                SN

                                                                                                          

  • Bérézina 1812-2012. Plus de 7000 morts helvètes. Relecture Suisse avec les Editions Cabédita

    L’interminable hiver 2012/2013 qui n’en finit pas avec ses froideurs inédites n’a-t-il pas tout simplement marqué le souvenir de l'hiver 1812 ? Celui qui vit l’enlisement des troupes napoléoniennes du côté de la Bérézina dans le cadre de la campagne de Russie ?berezina2012,editions cabédita

     Les Editions Cabédita ont marqué l’anniversaire de  cet épisode tragique de l’histoire ouest- européenne par une publication. « La Bérézina : Suisses et Français dans la tourmente de 1812 »  

    Le document ajoute à historiographie générale la version de la  Suisse, ce pays  non pas   «guerrier » mais » « ce pays de guerriers » qui s’engageaient alors dans les combats des Autres.

    On parle de quatre régiments helvètes carrément disparus...

    Soldats capables de la « furie du désespoir », pontonniers et 2ème corps  qui ont permis le passage sur la rivière et évité humiliation de la Grande Armée.

    A quel prix ? Rien que pour  les Helvètes,  une estimation à plus de 7000 pertes, 400 survivants, seul ce dernier chiffre étant certain. [selon les ouvrages de 5000 à... 10 000 morts suisses] Le chiffre global du retour dans l'Empire français fut de 5 %.

     Le livre qui décrit cette ancienne bataille biélorusse est publié dans la collection bien nommée  « Archives vivantes » L’ouvrage, très riche en informations est aussi un guide de voyage pour ceux qui par loisir pérégrinent in situ  sur les champs de bataille.

     Eric Caboussat a l’histoire active !

    Il fonde sa maison d’édition en 1988  dans le petit village de Bière sur la base de ce slogan imparable: « connaitre son histoire aide à prendre les bonnes décisions. »

    berezina2012,editions cabéditaCe véritable « militant de l’Histoire avec un grand H »  indique dans l'Introduction :« en tant qu’éditeur et délégué du Souvenir napoléonien pour la Suisse, je suis heureux d’être l’initiateur d’un projet de livre à double détente puisqu’il nous offre plusieurs grilles de lecture de cette tragique campagne. Il est étonnant d’ailleurs que cette expédition réunissant vingt nations et qui va entraîner le bouleversement de l’Europe toute entière n’ait jamais été perçue que sous l’angle russe  ou à travers le prisme français, les autres protagonistes étant relégués à de la simple figuration. Croates, Italiens, Suisses et Polonais font nombre mais restent des seconds rôles. C’est cette perspective que nous avons voulu rompre ici. »

    Les troupes Suisses s’illustrent dans ces combats des 26 au 29 novembre 1812: un désastre humain. Hommes brûlés par les morsures du froid glacial à moins 28°, sans équipement, sans nourriture.

    Intéressante relecture avec la loupe helvète,  à la fois par la méticuleuse description des évènements dans leur précision historique  et par le  regard contemporain re-posé sur  les faits :« Un silence de plomb  a pendant des mois entouré le sort des régiments suisses en Russie. Aucune nouvelle ne parvenait du septentrion de l’Europe. Et la censure se chargeait d’interdire toute mention  » (p135) «  Hôpitaux devenus épouvantables charnier » (p126)

    Soldats tombés par milliers. Retour inimaginable de souffrances car « la sortie de la Russie ne signifiait pas la fin du calvaire. » p130.berezina2012,editions cabédita

     Mais le chapitre le plus surprenant est probablement celui consacré à la Confédération Suisse (1803-1813) Il peut étonner les nationalistes contemporains de tous poils avec ce titre de chapitre: « Napoléon Bonaparte refonde la Suisse»

    Paradoxal, ce rôle de la France voisine autour de l'Ancienne confédération !

     « Nous partons de la petite Suisse pour mieux cerner le caractère exceptionnel de cette gigantesque campagne qu’il fallait appréhender dans sa globalité »

    Oui, Eric Caboussat est un "hyper- suisse" ! Au sens où il part effectivement  de la dimension  locale (Bière-Vaud-Romandie) Mais  pour mieux se connecter à de complexes relations intra-européennes.

    Ce, dans l' ouvrage en question. Egalement dans sa démarche entrepreneuriale d'éditeur romand.

    Car son champ d’action s'étend particulièrement sur la région Rhône-Alpes, la Suisse romande, la Franche-Comté, la Bourgogne et l'Alsace, soit une  frange-Est de la francophonie.

    En zone de diffusion, certes. Mais aussi en zone de création littéraire. Editeur bien installé sur deux jambes...

    Originales, au final, ces connexions "interrégionales supranationales" d'un éditeur...étonnant.

                                                                                                   Sylvie Neidinger

     « La Bérézina : Suisses et Français dans la tourmente de 1812 »par Thierry Choffat et Alain-Jacques Czouz-Tornare. Editions Cabédita 2012 Isbn 978-2-88295-629-3

     La maison d’édition CABEDITA, Bières. www.cabedita.ch

    berezina2012,editions cabéditaUne philosophie soutend la démarche éditoriale. Cabédita publie chaque année une trentaine de livres (pas qu’historiques…) Soit une vente de 60 à 70 000 livres

    Une  formidable usine à revisiter l’histoire, la littérature avec le  vocabulaire entrepreneurial voire de stratégie militaire: équipes organisationnelles, cohérence éditoriale, avec même une « task force": une force d’intervention rapide  sur un ...sujet précis !

     Il dit lui même  avoir  "investi un créneau" celui du " littéraire consacré à l’histoire, la mémoire, le patrimoine et les traditions."

     

    Complément:

    *Gruyère célèbre seule les 200 ans de la Bérézina Tribune de Genève

    *une bataille vieille de 200 ans unit et divise la Suisse swissinfo

    *1812, la Bérézina des Suisses, victimes du  duel entre deux empereurs Les observateurs.ch

    *Centre d'Etudes Napoléonniennes; Bérézina2012.

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