La Caisse d'Epargne (d'ailleurs installée à Genève avec sa filiale à 100 % dite Banque du Léman cera) vient d'être piquée... le doigt dans le pot de confiture en France.
Idem la Banque Populaire du même groupe BPCE.
La vigilance issue d'une association de consommateurs , 60 millions de consommateurs en relation avec l'UNAF, a levé le pot du rose qui peut carrément s'apparenter à du "vol".
Prélever des frais illégaux sur les comptes...
Un tour de passe-passe.
Si un compte passe une ligne en négatif créant du coup un agio, le logiciel depuis novembre 2017 met en rouge toutes les opérations positives de la journée et démultiplie indument les agios par ce tour de passe passe..
Bien évidemment par ce biais la banque lessive ses clients les plus fragiles.
Pratique "préoccupante " a dit le ministre de l'économie.
Par principe moral, plusieurs clients des Caisses d'Epargne et BP ( n'ayant eux pas de problème) vont tout de même quitter ce genre de banque aux pratiques douteuse. Pour le principe et l'éthique.
Le titre évoque la "récidive". Le groupe BPCE étant négativement connu pour le scandale Natexis.
Qui devait payer les dérives bancaires? Les clients évidemment.
La méthode de la démultiplication indue des commissions d'incident est outrée.
Oui quitter ce genre de banque semble la meilleure réponse.
Sylvie Neidinger