Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politis Sémiologie Décryptage - Page 10

  • Comparatif: J CHIRAC gagne face aux..."hémistiches" de E MACRON

    ... Hémistiche...Bien compliqué le langage macroniste.

    Il est intéressant de comparer ces deux présidents, l'un débutant son  exercice,  l'autre dont le décès retentit non seulement en France mais dans le monde.

    L'hommage inouï rendu lors des obsèques étonna jusqu'aux  chiraquiens pur sucre qui pourtant ne doutèrent JAMAIS de sa popularité, eux (les médias moins, lors de la seconde campagne surtout)

    Un sondage place désormais  Jacques Chirac aussi haut que De Gaulle dans les mémoires.

    Le comparatif entre le mode d'exercer de Chirac, supra populaire et Macron, infra populaire  montre des différences redoutables au delà de points communs type "sortir du moule de l'ENA", cet  élitisme à la française.

    Point commun: la grande liberté d'esprit  chez les deux qui se moquent  du contrat social. Lequel mène l'un à épouser sa prof nettement plus âgée, mère de famille connue très tôt,  l'autre à faire exploser les codes en courant le jupon à outrance.

    Dernier point commun : tous  deux ont surpris par leur élection. Chirac fut  rééelu en 2002 alors que le microcosme parisien politique et médiatique ne l'envisageait pas du tout. Il a Rassemblé.

    Macron, inconnu a pris le pouvoir à la surprise générale. Mais lui...divise.

                                       POPULAIRE VERSUS MEPRISANT

    Une différence fondamentale les sépare. Chichi touchait les français au coeur. Macron lui, a hérissé une majorité du corps social par sa morgue et son profond  mépris.

    Chirac resta hyper POPULAIRE alors qu'il possédait des connaissances pointues, plurielles sur les mondes japonais, arabe, chinois, russe (à 18 ans il traduisait des romans russes en français) Il s'engage pour les arts premiers, dont en a émergé le Musée Branly.

    Intelligent dans sa modestie, il cachait son immense culture pour rester simple.

    Chirac restait en grande logique avec ses engagements.  Au roi d'Espagne qui lui demanda ce que la France comptait faire pour l'anniversaire "Christophe Colomb", le corrézien amoureux des peuples premiers  de répondre: "je ne vais rien faire pour cet assassin"! I

    En déplacement, il serrait les paluches, buvait ses bières, mangeait ses têtes de veau,  allait taper "le cul des vaches".  Au point de gagner  la réputation d'être carrément  ignare ( ô microcosme parisien...) Tout en  gardant  ses petites notes culturelles pointues pour meubler ses inter-temps de déplacement...

                                    Emmanuel MACRON A L'OPPOSE de Jacques CHIRAC

    Observation: Emmanuel Macron est sur ce point  à l'opposé de l'ancien maire de Paris. Il met en avant ses connaissances d'une façon excessive, artificielle, à en friser le ridicule. Son langage emploie des expressions désuètes voire inusitées des siècles passés.

    Ce, tout récemment encore. Pas seulement dans l'acte 1 ou la première moitié d l'hémistiche...Cet exemple pour dire simplement qu'il se trouve à mi mandat, l'incorrigible annonce qu'il en est à l'hémistiche. Ce  vocabulaire de la  métrique poétique étant  surtout lié au Grand Siècle moliéresque des alexandrins.

    Ce vocabulaire  de niche reste en total décalage avec les attentes de communication  du 21ème siècle. Macron a tout faux à se présenter comme "hyper-sachant" face aux français. Il hérisse en donneur de leçons, ici langagières.

    Le mouvement Gilets Jaunes est directement issu du mépris présidentiel par ses petites phrases à l'emporte pièces... indignes d'un président!

    Sûr de lui, cassant, il  osait se comparer au départ -sans rire!- à Jeanne d'Arc et Jésus. Puis toujours sans rire à Jupiter,  Dieu des dieux. Ridicule

    Verbeux, l'actuel président  usite d'un langage pédant que certains ont même nommé le macron (cf Parlez vous le macron ?) Des livres sont même édités sur les expressions macronistes.

    A des années lumières de la communication chiraquienne...

    Macron abuse du symbole du triangle avec son unique point en haut de la pyramide: LUI.

    La symbolique que Macron installe va à l'encontre des valeurs égalitaires  de la république. Février 2019, il ironise sur " Jojo le gilet jaune qui aurait le même statut qu'un ministre"

    Il  valorise l'inégalité avec son "Toutes les paroles ne se valent pas"

    Une académicienne Danièle Sallenave  a remis le Président Macron à sa place à propos de Jojo, dénonçant le profond mépris présidentiel.

     Le président  s'auto valorise en dévalorisant les autres. Il se vit solitaire.

    Le ressentiment de la population  à l'égard de cette gouvernance Macron  reste plus profond qu'un gouffre.

    L'hommage rendu par les français attendant des heures, la nuit, dans le froid lors des  obsèques de Jacques Chirac cet homme si complexe mais si ...simple a surpris par son ampleur jusqu'à Claude Chirac et son fils Martin venus remercier. 

    N'est pas Chirac qui veut.

                                                            Sylvie Neidinger

     

    https://www.bfmtv.com/politique/mitterrand-chirac-sarkozy-quand-macron-imite-ses-predecesseurs-1845423.html

  • Trump, le chien (en fait la chienne!) et Al Baghdadi: sa mise en scène (1/2)

    L'annonce de la mort du chef islamiste totalitaire Al Baghdadi par Donald Trump est une excellente nouvelle. Surtout si elle est vraie (car ...pas de corps). 

    Ce, même si cette élimination physique personnalisée type "wanted" ne règle pas le problème politico-religieux. La menace islamiste perdure.(Nigeria..)

    Le locataire de la Maison Blanche en tire toutefois une curieuse séquence médiatique à sa gloire, dérangeante par ses modalités.

    Il commence par ridiculiser son ennemi abattu, loin de tout langage présidentiel en mode "Fired" de TV réalité.

    Trump, homme de jeu télévisuel tire en fait son propre film  que à la fois le Pentagone et la presse remettent en cause

    1ère phase: Le terroriste qui meurt comme un chien selon lui. Nombreux  commentateurs apprécient peu ce langage qui n'est pas au niveau de sa fonction politique de Président et peut entretenir le cycle de la vengeance « un chien »« un chien.JPGlâche »« un animal trouillard »« un homme malade et dépravé ». Dès la deuxième minute de son discours introductif, Donald Trump ne peut s’empêcher de tourner en ridicule les derniers moments du calife autoproclamé de l’Etat islamique, « mort après s’être enfui dans un tunnel sans issue, en gémissant, criant et pleurant tout du long »Alors qu’al-Baghdadi avait emmené avec lui trois de ses enfants, relate Trump, « il a atteint la fin du tunnel alors que nos chiens le pourchassaient. Il a actionné sa veste explosive, se tuant avec les trois enfants ». Son corps, « mutilé par l’explosion », a pu être identifié avec certitude.« Ce voyou qui avait tenté si fort d’intimider les autres a passé ses derniers moments dans la peur, dans la panique totale et l’effroi, terrifié par les forces américaines qui s’abattaient sur lui », conclut Trump. 

    Les détails étonnent. 

    2ème phase: il glorifie d'action d'un chien militaire dont il déclassifie l'image. Sa rhétorique de récupération politique place de facto l'armée étatsunienne en porte à faux. Toute l'action de l'armée US rapportée à un toutou malinois, bigre !

    Le Pentagone gêné annonce que Trump ne pouvait voir en direct les faits et qu'ils lui sont rapportés.

    Ensuite 3ème phase , le Président met en scène le décès du chef terroriste dans une publicité télévisée à sa gloire. Il récupère l'évènement pour sa campagne électorale.

    4ème phase. La photo de la Situation Room entre Trump et ses généraux avec les fils débranchés serait elle aussi une mise en scène a posteriori: ridicule, fouilli avec les fils qui pendent de partout et non connectés.Catu.JPG

    5eme phase.Ensuite Trump publie un photo montage avec le chien décoré par lui, basé sur un cliché pris sur un véritable vétéran James McCloughan et détourné (scandaleux pour ce vétéran!)

    (Le Temps) C’est d’ailleurs ce même jour que Donald Trump a tweeté une photo du Daily Wire, un site conservateur, le montrant en train d’accrocher une médaille au chien. Une image qui a très rapidement été critiquée. D’abord, parce que le locataire de la Maison-Blanche n’avait tout simplement pas encore pu rencontrer «ce magnifique chien, très doué», encore «sur zone», blessé par des câbles électriques. Mais, surtout, parce qu’il s’agit en fait d’une image prise le jour où le président a décoré James McCloughan, un vétéran de la guerre du Vietnam, d’une Médaille d’honneur, en juillet 2017. Ce dernier appréciera. Après les honneurs, voir sa tête être détourée pour être remplacée par celle d’un chien, aussi brave soit-il, n’est, disons, pas très élégant.

    Trump déclassifie lui-même la photo, ce que l'armée ne voulait pas !

    On comprend pourquoi les militaires refusaient puisque le Président des Etats-Unis d'Amérique lance en fait un panégyrique...au chien ! "Nous avons déclassifié la photo de ce chien merveilleux (...) a fait un boulot génial dans la capture et l'élimination du chef de l'EI, Abou Bakr al-Baghdadi", a écrit le président américain sur le réseau social. 

    La relation de Trump avec les chiens dont il déteste la présence physique est complexe. "Chien " est chez lui une ..insulte récurrente. Slate résume l'usage que fait Trump de cette terminologie.

    La mise en scène autour du chien par ce président -que les psychiatres US présentent comme trump,chein conan,al baghdadi,photomontagedérangé - a quelque chose d'indécent  à la fois pour pour son pays et son armée.

    Mais comme d'habitude les pro trump ont adoré la séquence canine sans voir le problème!

    Un livre sort cette semaine  qui va témoigner de l'intérieur du comportement atypique, erratique, insultant de Donald Trump.

    Décrit comme inapte à gouverner. L'épisode canin confirme...WAF WAF.

                                                                                 Sylvie Neidinger

     

     

    Il apparaît, le 7 décembre  que Conan soit une chienne, ce que Trump a omis de signaler.

     

     

    Complément d'info : 

    chichi.JPG

    Les réseaux sociaux ont évidemment répliqué au photo montage  avec la même technique que celle de Trump. Il fallait s'y attendre ! Ce tweet vient de Grande-Bretagne. Il y  est noté "American Failure".

    Différence majeure :  les internautes adoptent l'humour quand Trump lui se ridiculise en prenant sa séquence Chien pour normale et correcte de la part d'un Président américain. Ce qu'elle n'est pas et le ridiculise.

    chienrsociaux.JPG

     

    Trump, le chien et Al Baghdadi: sa mise en scène (1/2)

    Trump, Al Baghdadi, Abu Ghraib et les chiens de guerre (2/2)

  • La moustache de Macron

    Sémiologie. "Nous sommes à l'hémistiche du quinquennat" affirmait sérieusement Emmanuel Macron le 17 septembre dernier. Encore  un abus de poudre de perlinpimpin !

    macron,méprisant,jupiter,theâtre #macron,hémistiche

    A vrai dire, Macron An II a fait des efforts de langage.

    Les phrases méprisantes qui heurtèrent directement  la population dans la phase ouvertement -et sans rire- qualifiée de jupitérienne-  semblent avoir  disparu.

    Elles restent toutefois  comme traces sur les slogans écrits des Gilets Jaunes. Et impriment au fer rouge les mémoires, définitivement  entrées dans l'histoire et objets de livres.

    Pas d'arrogance directe ici. Mais tout de même, on peut se questionner sur le langage littéraire de la cuisine poétique du vers appliqué au réel politique.

    De facto au lieu de dire " à mi-quinquennat" dire "à l'hémistiche" questionne.

    Tout simplement parce que  peu dans la population française -à qui le message est adressé -ne vont comprendre. Est-ce prendre les gens pour des idiots, indirectement?

    Cet usage d'un vocabulaire précieux et suranné par Macron a déjà été noté. 

    C'est juste gênant par l'effet de distance (effet de  morgue implicite)

    C'est juste gênant car il renvoie à l'univers du théâtre, certes celui qu'il partage avec son ancienne prof de... théâtre, son épouse Brigitte. (C'est donc une affaire de vie privée?)

                                              Mais THEATRE.

    Or la fonction politique qui est une représentation symbolique du peuple ne peut être assimilée à un théâtre. 

    Par son vote, un citoyen confie  une parcelle de lui-même et de sa vie réelle à celui qui le représente pour un bon usage de gestion de la vie publique.

    Hémistiche :  "Pour le comprendre, il faut faire appel à nos souvenirs d’élève. Et plus précisément à nos cours de poésie. Le mot est emprunté au bas latin hemistichium, lui-même issu du grec hêmistikhion. Un terme composé de hémi «à demi» et stichos «ligne, vers». Ainsi, l’«hémistiche» désigne la «moitié d’un vers alexandrin réparti en deux mesures rythmiques de chaque côté de la césure», lit-on sur le site du Trésor de la langue française.

    Rappelons que l’alexandrin est un terme qui apparaît au XIIe siècle dans une poésie «épique», le Roman d’Alexandre, ainsi que le raconte Elsa Marpeau dans son article «Vers». «Ce vers va devenir le mètre de référence du théâtre, en particulier dans l’âge dit ‘‘classique’’.» À cette époque, l’alexandrin a une «structure régulière, déterminée par un rythme binaire»: composé de douze syllabes, «usuellement divisées en deux groupes de six syllabes, nommés hémistiches et coupés par une césure». Cette dernière tombe sur la sixième syllabe."

                                     LANGAGE DE PRECIEUX RIDICULE

    Clairement entre le langage vulgaire, en roue libre parfois immonde  de Donald Trump (qui traite ceux qu'il n'aime pas carrément  de pourriture humaine!) et la préciosité, on choisit la préciosité macroniste.

    Cette façon croquignolesque de parler tient de son choix de langage. il assume à 100%

    Un ouvrage a été publié: parlez-vous le Macron?

    Cette façon de s'adresser à la population en termes volontairement abscons reste toutefois surprenante. Elle témoigne d'un narcissisme aigu et professoral genre" les pt'its gars vous n'avez qu'à plonger dans les dictionnaires pour comprendre le langage châtié dont j'usite, sacrebleu"

    Cette mise à distance lui est probablement nécessaire. Est-elle utile exprimée en ces termes "perchés" ?

    Théâtre Louis XIV un tantinet suranné,  à la perruque parfumée, en haut de chausse face à la télé-réalité vulgairissime: en tout état de cause, on préfère sans conteste  la poésie au langage populiste violent, ce  vent mauvais qui souffle actuellement à outrance!

    Le Président Macron a eu raison en tous cas d'abandonner le second registre de sa période Macron 1 (avant la césure de l'hémistiche...)

    Enfin annoncer " je suis à mi-pacours" au lieu d'une déclamation pour étudiant de lettres...serait pas mal aussi en termes de connection au réel de la vraie vie de la population: ce pourquoi Macron a été élu!

    Moustache.

     

                                                            Sylvie Neidinger

  • Donald Trump se dit victime d'un "lynchage". Malaise

    Un président des USA ne devrait pas employer ce vocabulaire ! 

    Le terme rappelle un sombre passé et ouvre des vannes dangereuses en raison de la position de N°1 de celui qui s'exprime.

    Les réactions indignées ont fusé. "C’est un mot qu’aucun président ne devrait utiliser pour lui-même”, a réagi le démocrate James Clyburn sur CNN. “Je viens du Sud. Je connais l’histoire de ce mot. C’est un mot qu’il faut utiliser avec beaucoup, beaucoup de prudence”.

    Certains  commentaires agacés proviennent aussi des rangs républicains : " le choix de mots du président est «déplorable, compte tenu de l’histoire de notre pays, je ne comparerais pas ça à un lynchage», a dit Mitch McConnell, leader de la majorité républicaine au Sénat.

    Vocabularia- Le  terme de lynchage  provient du nom propre d'un certain Charles Lynch.

    (wiki)"Durant l'intense période de contestations contre le régime colonial qui précéda la guerre d'indépendance des États-Unis, un certain Charles Lynch (1736-1796), « patriote » de l'État de Virginie, décida de réformer la façon dont la justice était appliquée dans sa région.Juge de paix, il instaura des procès expéditifs menant parfois à des exécutions sommaires à l'encontre des défenseurs de la donald #trump,lynchage,usa,sud profondcouronne britannique. Il réunissait la cour, recrutait les jurés et présidait à l'exécution. La loi de Lynch » se répandit dans les territoires de l'Ouest américain et s'y développa jusqu'à l'établissement et la consolidation de l'État de droit. Lynch devint par la suite sénateur.Vers 1837, la « loi de Lynch » donna naissance au mot « lynchage »  où, en dépit des lois qui les protégeaient, des noirs furent poursuivis par des comités de vigilance, qui donneront naissance au Ku Klux Klan. Dans le Sud des États-Unis, le mépris de règles de procédure considérées comme favorables aux criminels est renforcé par l'hostilité au gouvernement fédéral."

    En roue libre, Tweeto-Trump n'a pas hésité à employer le vocabulaire du meurtre raciste du Sud profond par pendaison pour lui-même comme ...victime. C'est détonnant. (Il réagit à son affaire ukrainienne et l'enquête pour empeachment)

    Or, Donald Trump n'a PAS récusé le soutien à son élection par  David Duke extrémiste de droite qui fut chef du KKK et de ses sinistres cagoules.

    Au point de cette réaction de Marco Rubio, républicain " nous ne pouvons pas être un parti qui désigne  quelqu'un qui refuse de condamner les tenants de la suprêmatie blanche et du Ku Klux Klan."

    Le propre père du promoteur milliardaire avait des liens avérés avec le Ku Klux Klan. Mais il est vrai que son père, ce n'est pas lui.

    Enfin lors des événements de Charlottesville (Virginie) Trump avait refusé de se positionner et  de dénoncer  les néo-nazis, suprémacistes blancs, Alt Right et...KKK présents. Malaise.

    Le poids des mots, le choc des images. Mentales aussi...

    Cet usage du vocabulaire "lynchage" par le Président des Etats-Unis est probablement indécent.

                                                                                Sylvie Neidinger

     

    Suite :Donald Trump traite de "pourriture humaine" ceux qui s'opposent à lui. ! Triste démocratie, 

  • Marion Maréchal 100% extrême-droite, se ridiculise avec son OPA ratée sur la Droite

    On allait voir ce qu'on allait voir.  Le titre était ronflant. La petite fille de Jean-Marie Le Pen organisait une "Convention de la droite" avec une américaine trumpiste en vedette du show.

    Bigre.

    La jeune lionne voulait manger dans d'autres rateliers que le sien pour voir si la barbaque y est meilleure.

    Marion Maréchal rêve de puiser ses forces politique au delà de son cercle  d'origine.

    C'est un ratage complet !

    Bien évidemment la droite classique  dont LR a  décliné l'invitation.

    Le très chiraquien Christian  Jacob suggère d'ailleurs  à Marion Maréchal d'oser se  confronter ...électoralement plutôt que de bavarder.

    La  supposée convention a sombré dans un relent nauséabond d'extrême-droite.

    Notamment autour de  l' affaire Eric  Zemmour: le Parquet ouvre une enquête pour provocation à la haine raciale.

    A l'heure des obsèques de Jacques Chirac, on se souvient de la ligne totalement assumée du Corrézien. Aux Présidentielles de 2002 comme à d'autres moments: JAMAIS D'ALLIANCE AVEC L'EXTREME-DROITE.

                                                                   Sylvie Neidinger