Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

gte

  • France: jusqu'à.... 60% de hausse de taxe! Beaucoup dans le "grand-genevois"

    Alors que Emmanuel Macron  avait annoncé la fin de la taxe d'habitation, certains voient arriver leur feuille d'impôt avec une augmentation de 60% sur certaines parts. Un choc pour beaucoup. Un tel décalage entre le réel et l'annoncé....

    60% : il s'agit de la part communale sur "résidence secondaire".

    Attention à ne pas se méprendre Il ne s'agit pas obligatoirement d'une taxe qui toucherait les propriétaires titulaires d'une seconde résidence ( encore que prendre les propriétaires pour vaches à lait est scandaleux)

    Dans la zone frontalière genevoise, le terme générique et fiscal de  "résidence secondaire" signifie le plus souvent un "lieu de vie proche du travail et locatif pour sa semaine de boulot".

    Lequel frontalier réside aussi... ailleurs. Un frontalier qui apporte sa manne à la commune !

    Plusieurs communes du-dit "Grand Genève "sont concernées : Saint-Julien -en-genevois, Gaillard, Saint-Cergues, Collonges-sous-Salève, Vétraz-Monthoux, Saint-Genis-Pouilly , Ferney-Voltaire.

    7 sur 19 pour le total français de communes ayant augmenté la taxe de 60 % Pourcentage grand-genevois énorme de commune ayant osé le 60 % !

    Mais aussi Paris, Mouans Sartoux, Saint-Nazaire, Guéthary, Bidart, Ustaritz, Marquette-lez-Lille, Saint-Prix, Fontenay-sous-bois, Bagnolet, Champigny-sur -marne, Montreuil sous bois.

    Une sur-taxe totalement avalisée par le gouvernement : lire ce rapport

    https://immobilier.lefigaro.fr/article/la-fin-de-la-taxe-d-habitation-devrait-couter-cher-aux-residences-secondaires_71d595fe-51d9-11e8-9833-ab16c06995ff/

    Les citoyens électeurs apprécieront. A l'échelon local et national.

     

                                                                                                 S N

    taxe.PNG

     

  • GTE en erreur: attention, les ancêtres des genevois sont aussi.. gaulois!!

    Le Groupement Transfrontalier Européen fait parler de lui actuellement.

    A propos de Décathlon et du recrutement par l'association pour ses nouveaux magasins suisses. Affaire soulevée  par le Temps et TDG. Rétropédalage du GTE qui confirme ne pas être  une agence de placement.

    En allant visiter le site web, je soulève un autre lièvre en détectant une erreur factuelle  autour d'un article publié dans la rubrique #LaChroniqueDuFrontalier sur le journal Dauphiné Libéré à l'origine. Elle peut sembler banale et dérisoire. Elle ne l'est pas.

    https://www.frontalier.org/emploi-suisse/1122851/les-petits-genevois-vont-decouvrir-qu-ils-ont-des-ancetres-gaulois.htm

    Rédigé par Jean-François Besson, Secrétaire général du GTE, et publié sur le Dauphiné Libéré.

    Je ne me positionne pas ici sur le fond  de l'article à savoir  le thème  de la scolarisation des enfants suisses frontaliers vivant en France. Mais sur la forme.

    Laquelle forme révèle un arrière fond rédactionnel pour le moins problématique.

    gte,gaulois,#lachroniquedufrontalier,#blogneidingzer

                                                                                      ***

    Le titre et la conclusion sont erronés factuellement :

    Titre: "Les petits genevois vont découvrir [en France ndlr] qu'ils ont des ancêtres gaulois"

    Conclusion:"Si rien ne change, les petits Genevois, habitant en France, pourraient donc bien apprendre une nouvelle histoire commençant pas : nos ancêtres les Gaulois !"

    Le rédacteur n'est pas journaliste mais  Secrétaire Général du GTE. Il  intervient dans le journal DL au titre de spécialiste, titulaire d'une rubrique spécialisée.

    (Les médias accueillent de temps en temps des non-journalistes nommés alors  experts: autre débat sur l'évolution de la presse)

    Comment  le Dauphiné Libéré a-t-il laissé passer sans correction ce titre et cette conclusion ? Les journaux possèdent pourtant des services de relecture dits "secrétariats de rédactions"!

                                               IDENTITAIRE !

    Analyse :

    Ce titre est un jeu de mot "facile". L'humour et  le jeu de mot peuvent être de mise dans un titre, dans un article mais à la condition absolue de la  véracité.

    1) Ici la globalisation du titre  "les petits genevois" est exagérée. L'article évoque seulement  les enfants genevois  vivant....en France. Au final, ce n'est pas le même nombre;

    2) "Nos ancêtres les gaulois" est une antienne idéologiquement marquée issue des livres d'histoire  liés à la période coloniale. Il y a bien longtemps que coté France,  l'Education Nationale n'applique plus le terme global "d'ancêtres"  lié aux gaulois, au regard des populations  françaises ayant des origines extra territoriales.  Remettre en scène ici un avatar pédagogique lié à l'histoire coloniale, démodé, n'est pas une tournure heureuse.

    3) Les petits genevois venant habiter en France seraient supposés dans l'article venir en France et dès lors y  apprendre une histoire donnée comme différente et inconnue d'eux (!) à propos des gaulois supposés en plus  ne pas être leurs ancêtres. Généralisation exagérée. Les enfants apprennent par l'école et par d'autres voies, fort heureusement pour eux.

    4) Le rédacteur démontre une  méconnaissance de l'Histoire à imaginer que les  "gaulois" puissent être confondus avec les actuels "français"et en opposition aux suisses genevois  supposés ici non gaulois au point de facto que leur frontière s'arrête à... Annemasse/Ambilly ! C'est une vision autocentrée, ethno-centriste de l'Histoire.

     5) Jules César dans sa Guerre des Gaules:  « Ceux que nous nommons Gaulois dans notre langue, se nomment Celtes dans la leur. »

    6) Genève est un oppidum celte donc gaulois.

    7) L'article démontre ici une lacune culturelle du rédacteur.  La Suisse est bien gauloise. La civilisation celte, gauloise  est même brillamment représentée  par la Tène (Neuchâtel)  qui a marqué l'Histoire au point de représenter scientifiquement la période dite laténienne. 

    8) Les helvètes entre autres peuples celtes sont bien des gaulois.

    9)Le rédacteur ni journaliste ni historien représente toutefois la direction du  Groupement. Il a communiqué par un article sur une actualité politique franco-suisse en évoquant probablement l'Histoire de façon erronée. Certes, sans le faire avec mauvaise intention, on le conçoit.

    10) De la pire façon. Mettre en scène  maladroitement ainsi le passé, avec globalisation, voire  erreur, de surcroît autour de la notion de frontière (coeur de cible de l'association... frontalière) est très proche du mécanisme des discours populistes nauséabonds  entendus au bord du lac.

    Ceux justement  que le GTE combat avec virulence !

    11) On est dès lors proche d'un discours identitaire.

    12) Le contenu de l'article du GTE n'est pas neutre contrairement à ce qui est écrit. Il cite  un homme... politique, le maire de St Ju, Antoine Vielliard. Lequel  aujourd'hui prend la défense des frontaliers mais après avoir sur sa commune cherché impérativement à les recenser spécifiquement et parlant d'eux en termes peu flatteurs.. .

    Lequel avait aussi commis en 2014 un discours sur l'identité genevoise, là aussi, sur un média, la RTS, que ce #blogneidinger avait repéré. L'homme politique recherchait alors  des "genevois pur sucre" dans un questionnement généalogique improbable.

    Conclusion...

    Ce n'était certes pas l'intention du GTE (association fort utile qui aide,  informe sur les complexités transfrontalières, qui agit en défense du droit des frontaliers) que d'entrer dans ces méandres identitaires.

     Attention à la légèreté du propos écrit, à l'amateurisme. L'expression publique de cette association représente les dizaines de milliers d'adhérents. 

    On a l'envie de dire autour de cette affaire : à chacun son métier. On ne s'improvise pas journaliste.  La déontologie de cette profession réclame normalement de vérifier toutes les infos, de ne pas titrer ou conclure en exagération même si le bon jeu de mots fait aussi partie de la bonne écriture.

    Toute Communication dans les médias et réseaux sociaux, ces caisses de résonance modernes  réclame maîtrise et professionnalisme.

    Il est juste dangereux de convoquer l'Histoire dans l'écriture sans avoir absolument tout vérifié.

    De grâce, éviter  l'invocation de  l'Histoire,  des gaulois  et autres arguments, en illustration de   la -suffisamment- difficile problématique transfrontalière genevoise... contemporaine !

     

     

                                                                                  Sylvie Neidinger

     

    neuchâtel,la tène,celtes,jules césar,annemasse,ambilly,groupement transfrontalier européen,#blogneidinger,#ledauphinélibéré,le dauphiné libéré,#dl,gte,gaulois,#lachroniquedufrontalier,#blogneidingzer

     Arte présente  actuellement trois documentaires fort intéressants sur les Celtes/Gaulois dont la Gaule suisse:  la Tène. https://www.arte.tv/fr/videos/058362-002-A/les-celtes-2-3/

     

     

     

    Rubriques Journalisme, Genève Histoire , Saute-Frontière

  • Dérive RH sur Genève: question de Röstigraben ou...autres explications?

    Les cas cités dans la série intitulée Ma petite boîte genevoise RH 2.0" soulignent des situations hors normes : le chef qui vient au travail avec son chien lequel mord les pantalons d'employés, lesquels sont priés d'en rire... par exemple.

    Elles ont toutefois  la particularité d'être toutes issues d'entreprises ayant leur siège social outre Sarine. Hasard ou particularisme local?

    C'est connu, la Suisse de langue allemande domine l'économie du pays et notamment celle de la Suisse romande. De facto les services RH sont éloignés, laissant les acteurs en poste à Genève en grande autonomie. Quelquefois trop grande...

    Dans une vision dialectique,  la situation peut être ...positive, par  la confiance accordée aux acteurs de terrain.

    Mais lorsqu'un piranha est installé dans le bocal genevois comme chef de service, cette autonomie peut virer au carnage.

    Les articles du #blogneidinger évoquent des actions totalement surréalistes: sobriquets,  chef -lui même plus qu'exigeant - qui  exerce .... un second job en douce sur son lieu de travail, mépris affiché au niveau des identités (le chef de service qui dit ouvertement et sans frein, sur le lieu de  travail ne pas aimer ni les vaudois, ni les français, ni d'autres.. Il s'aime beaucoup lui-même c'est certain.)

                              COMME EN ZONE DE NON DROIT

    Des situations inhabituelles clairement  classées en zone de "non droit". Qui mettent à mal tout  consensus sur un lieu de travail.

    Serait-ce l'effet d'un"Röstigraben des ressources humaines", cette frontière culturelle qui pourrait se définir ainsi vu de Zürich ou Bâle ?

    Genre: " finalement, on ne vous comprend pas toujours en suisse romande. On nomme justement un chef de service qui parle allemand pour servir d'interface. Alors ne nous embêtez surtout pas avec vos petites histoires locales."

     Dans les cas cités, les salariés délaissés ont effectivement obtenu peu de soutien lorsqu'ils ont (tout de même...) alerté les RH du Groupe basées en zone germanophone.

    Bien au contraire ceux qui eurent  le courage d'alerter n'en ont pas été récompensés car stigmatisés plus encore. C'est bien connu. Dans l'antiquité on tuait celui qui annonçait la mauvaise nouvelle....

    Idem aujourd'hui, malheur à celui qui casse le merveilleux consensus suisse en rapportant des faits pas très audibles.

                                   AMBIANCE GENERALE DELETERE

    Genève est elle la seule impactée ? Que penser ?

    Une autre analyse doit ici  se plaquer. Celle d'une ambiance actuelle totalement délétère en général dans le pays, déboussolé.

    Les insultes fusent très facilement dans le débat public. 

    Alors la protection des salariés dans ce contexte n'est qu'un élément d'une situation générale de dégradation des diverses prises de parole.

    Les vannes semblent lâchées.

    Concernant les seuls frontaliers, le GTE groupement qui les soutient juridiquement  informe que rarement la situation n'a été si tendue depuis  50 ans.

    Toutefois le populisme en arrière fond ne concerne pas uniquement cette catégorie particulière transfrontière  particulièrement visée  au tableau de chasse genevois.

    Les vannes semblent lâchées, en vrai

    Et cela dépasse largement la frontière imaginaire du Röstigraben...

     

                                                                    Sylvie Neidinger

     

    (Blog Série n°15)

    Ma petite boîte genevoise RH 2.0"

    Dérive RH sur Genève: question de Röstigraben ou...autres explications?

    Le chef de service, son fils et les mots doux

    Quand le chef de service exerce en cachette un second job

    Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés

    Suisse à l'heure des RH de Grand-mère Eugénie

    LES RH suisses, le licenciement "guillotine" et l’entreprise… «guillotineuse»

                                 RUBRIQUE RH

     

  • Le chef de service, son fils et les mots doux...

     "Ma petite boîte genevoise RH 2.0" est une nouvelle chronique d'anecdotes REELLES recueillies en entreprise à Genève.

    Chronique inscrite au sein de la rubrique RH du blog. Entreprises non citées.

     Quand certains évoquent les ressources humaines 2.0, on a la surprise de constater ici en Suisse, en 2018  des pratiques gratinées d'un autre âge.

    ...C'est ici l'histoire d'un chef de service qui, ayant des problèmes de nourrice visiblement menait régulièrement son jeune enfant carrément à son boulot un jour par semaine.

    Surprise pour tout le monde sur place d'autant que ce responsable est  d'une exigence extrême avec les autres. Surtout hiérarchiquement inférieurs.

    Il se permet lui, tout et n'importe quoi en revanche. Sa hiérarchie étant  non informée, évidemment.

    Les employés ne caftent pas à la direction au dessus, un peu lointaine (suisse alémanique)

     La venue de l'enfant se passe sur place dans la gentillesse évidemment.

    Mais l'histoire ne s'arrête pas là.

    Anecdote. Le petit bonhomme qui est présenté aux salariés écorche le nom de l'un d'entre eux. Ce qui a donné un sobriquet assez insultant. Rire général. Rire du salarié en question. Un peu jaune tout de même.

    La bonne humeur règne toutefois. Rire gras surtout  du père de la  progéniture, le dit  chef de service.

    L'anecdote banale serait déjà oubliée de tous.

    Sauf que le responsable va dès lors continuer  à  nommer ce salarié par le sobriquet en question et devant tout le monde. C'est tellement spirituel...

    On entre ici dans une phase qui peut alors  se nommer "insulte  à employé devant témoins". La nature du problème s'épaissit.

    L'employé  va attendre trop longtemps... plusieurs semaines avant de remettre en place son responsable précisément sur ce point de la manière insultante avec laquelle il s'adresse à lui.

     

                          LES VANNES SONT LACHEES

    En tout état de cause, à Genève, les vannes de l'insulte semblent être lâchées.

    Sur le ton de la plaisanterie,  ce même chef de service, après avoir cessé le fameux sobriquet lié à son fils, continue à animer les conversations de couloirs et de machines à café puis celles des  réunions formelles de travail en se jouant des identités, thème ô combien sensible. Sans filet.

    Toujours sur le ton de la semi plaisanterie, il annonce tout de go "j'aime pas les vaudois", "j'aime pas les français"'j'aime pas les frontaliers" "j'aime pas..."x et y.

    (il s'aime beaucoup lui...)

    A peine aime-t-il les genevois. Il n'est pas genevois d'origine.

    Ses parents viennent d'ailleurs et paradoxalement, l'individu passe son temps à jouer des identités du personnel qu'il a sous sa coupe.

     

       QUAND LES VALEURS PRONEES PAR L'ENTREPRISE NE SONT PAS SES VALEURS REELLES

     

    La direction cette fois a eu vent de ces paroles là. Et, surprise...n'en a rien dit!

    En Suisse, on n'aime pas celui qui organise une certaine rupture de consensus.

    Ici,  selon la hiérarchie, celui qui aurait   organisé la rupture de consensus n'est pas du tout.... le chef de service qui insulte les identités des employés mais bien le ou les salariés qui ont rapporté les paroles d'exclusion !...

    Le monde tourne à l'envers au bord du lac.

    A Genève, un chef de service peut donc  agir ainsi  sans retour de bâton....Cela se passe ainsi dans le meilleur des mondes.

    Dans une entreprise   qui prône évidemment toutes les valeurs de tolérance et de respect mutuel.... comme il se doit.

    L'hypocrisie, le différentiel  de la confrontation entre les valeurs morales respectées par cette entreprise   et son attitude réelle vis à vis du réel vécu est aussi importante que le débit du Rhône au Pont de la Machine.

                                                        Sylvie Neidinger

     

    (Blog Série n°15)

    Ma petite boîte genevoise RH 2.0"

    Dérive RH sur Genève: question de Röstigraben ou...autres explications?

    Le chef de service, son fils et les mots doux

    Quand le chef de service exerce en cachette un second job

    Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés

    Suisse à l'heure des RH de Grand-mère Eugénie

    LES RH suisses, le licenciement "guillotine" et l’entreprise… «guillotineuse»

                                 RUBRIQUE RH

  • Carrières Internationales du Grand Genève en bonnes rencontres

     Divonne-les-Bains (le 19 mars) et Archamps  le lendemain ( au Centre nommé "Porte Sud de Genève") accueillaient la semaine dernière des rencontres transfrontalières.P1120761.JPG

    Autour de l’emploi salarié mais aussi de  la création d’entreprise. Destination suisse.

    Organisées sous forme de colloque par Pôle Emploi Pôle Mobilités Internationales (en liaison avec les agences de St Ju et Divonne) les deux journées ont réuni des centaines de personnes autour de dizaines de conférences de grande qualité.

    Des intervenants de toutes spécialisations pour un  public  venu  s’informer des réalités helvétiques, de Vaud et de Genève.

    P1120762.JPGIl ne s’agissait pas d’une mise en contact directe avec les entreprises. Mais en quelque sorte d’infos très pointues, basées sur le réel de cette frontière.

    Car au-delà ne fonctionne pas comme en-deça !

    Une info, en amont des projets de vie individuels, entrepreneuriaux ou  salariés:  des conseils précis lesquels furent nombreux (des dizaines de thématiques) variés, pertinents.

      Ces réunions double –nationales étaient fort intéressantes à observer dans le contexte  post-votation anti-immigration du 9 février…

    Quelle tendance allait-elle se dégager: plutôt morose ou  esprit prospectif  ? Se morfondre ou regarder les lignes de crêtes?

     En fait, de ces rencontres se dégageait un véritable flux d’énergies !

    Les suisses qui se sont déplacés ne venaient pas  pour faire simple bonne figure.

    La dynamique d’une région économiquement active qui a besoin de toutes ses compétences de quelque bord de la frontière que ce soit, était sensible.

    On ne pourra citer tous les professionnels...

    grand geneve,carrières internationales,divonne,archamps Bien évidemment, les grands acteurs du secteur franco-suisse étaient à leur poste: Romain Duriez de la CFSCI (Chambre France-Suisse pour le Commerce International) et ses recommandations pour réussir son projet entrepreneurial (à propos leur logo intégré est très intéressant !) également  la Cité des métiers de Genève, le GTE, la CCI d'Annecy…


                               RESEAUTER ET ENCORE RESEAUTER!


    Ces deux journées furent en fait,  du réseautage à grande échelle !

    Avocats, conseils pour des thématiques variées.

    Un exemple: comment devenir...socialement désirable.

    De la réflexion sur l'image personnelle  numérique avec  l’usage des réseaux sociaux pour le "personnal branding"par Marie Marthe Joly (expression-coaching.com) à Divonne. Idem  par Alain Chalouhi à Archamps représentant la Swiss Entrepreneur Association...

    Aux remarques pertinentes sur l'image de soi renvoyée, les dress-codes, avec  Myriam Hoffmann (Première Impression) 

    Les  présentations juridiques de la législation du travail par  Maître Rousselle-Ruffieux du cabinet genevois BCCC spécialisé en droit des affaires etc. Chacun puisait suivant ses besoins !

    grand geneve,carrières internationales,divonne,archampsRudolf Klaus (rkls.ch) sur ce thème « réussir en Suisse : la bonne attitude » distilla de  précieuses remarques. Ce spécialiste du réseautage productif n’a pas hésité à transmettre son  vécu de suisse alémanique qui ne parlant pas un seul mot  français avait choisi de vivre en zone lémanique.grand geneve,carrières internationales,divonne,archamps

    Ce coach expérimenté n’hésita pas- en toute franchise, sans langue de bois- à dénoncer le résultat de la votation du 9 février  "mauvaise pour l’économie", selon lui. (c'est direct, à son image)

    Comme un pays qui scie la branche sur laquelle il est assis: cf, son illustration de Frits Ahlefeldt projetée à l’écran !

     En fait à Divonne et Archamps, on a senti la branche des contacts professionnels  franco-suisses …plutôt solide !

                                                                 Sylvie Neidinger


     crédits images/Photos Neidinger +capture d'écran (logo CFSCI)