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pigeon

  • L'art de se faire pigeonner...

    Vous rentrez de week-end et hop sur votre balcon, à GAUCHE près de pots de fleurs : un amoncellement de branchages avec en prime deux petits oeufs blancs comme neige.

    Deux c'est la règle de procréation de ces bêtes à plumes.

    Une mère qui couve en supplément.

    Dilemme. Faiblesse.  Fait accompli. Soupir.

    (Un tel instinct de vie mérite d'être récompensé, certes..)

    Or, le fait accompli tend -chaque jour que dieu fabrique- à croître: deux oisillons couleur jaune rose.

    Cela pousse, cela s'assombrit, cela grossit.

    Un champ de déjections localisé s'étend aussi en toute proportion.

    Animal sous canicule estivale. Inquiétude. Des âmes sensibles tiennent à leur disposition des points d'eau. Super pour boire et faire trempette.

    En sus, les deux ados au plumage noir tardent  à quitter.

                                                  PIGEONNADE

    Alors que l'impatience gagne sur la date prochaine de l'envol de la paire "presque accomplie" , stupeur de  découvrir  les deux parents pigeons -pas du tout voyageurs!-  en phase d'approvisionnement en branchages de la partie ...DROITE du balcon.

    La maison doit être identifiée comme hospitalière par la gente aviaire (genre aérien qualifié toutefois de nuisible par la gente homo sapiens).

    Une prochaine bi-nidification  en vue?

    La première nichée n'est toujours pas envolée qu'ils songent déjà à la seconde: gonflé!

    On comprend dès lors et parfaitement l'expression "se faire pigeonner!"

    En l'espèce (humaine) on ne va pas accepter une seconde... pigeonnade.

     

     

                                                                   Sylvie Neidinger

     

     

  • Trump, selon les ambassades: "comme un pigeon se pavanant sur un jeu d'échec"

    La dernière blague à la mode dans les ambassades qui synthétise finalement  une année de relations internationales trumpesques:

    "La diplomatie à la Trump, c’est comme jouer aux échecs contre un pigeon. Quel que soit votre niveau, le volatile arrive, renverse les pièces, défèque sur l’échiquier, et repart en se pavanant comme s’il avait gagné" (source : L'obs)

    Aujourd'hui, en grande solitude, lui et son pays, sur le dossier de Jérusalem [dossier que soit dit en passant, il a ré-animé, lui ] le président américain menace le monde pour influencer le prochain vote de  l'Assemblée Générale de l'ONU.

    C'est de  l'anti-diplomatie. La sortie du colt du shérif.

    Mais le monde n'est ni le far-west ni le jardin personnel de Donald Trump.

    Il est évidemment MULTILATERAL. Et pas simplement de couleur orangée.

                                                                                   Sylvie Neidinger

     

    Amérique d'abord. Mais de plus en plus seule.