La dernière blague à la mode dans les ambassades qui synthétise finalement une année de relations internationales trumpesques:
"La diplomatie à la Trump, c’est comme jouer aux échecs contre un pigeon. Quel que soit votre niveau, le volatile arrive, renverse les pièces, défèque sur l’échiquier, et repart en se pavanant comme s’il avait gagné" (source : L'obs)
Aujourd'hui, en grande solitude, lui et son pays, sur le dossier de Jérusalem [dossier que soit dit en passant, il a ré-animé, lui ] le président américain menace le monde pour influencer le prochain vote de l'Assemblée Générale de l'ONU.
C'est de l'anti-diplomatie. La sortie du colt du shérif.
Mais le monde n'est ni le far-west ni le jardin personnel de Donald Trump.
Il est évidemment MULTILATERAL. Et pas simplement de couleur orangée.
Sylvie Neidinger
Amérique d'abord. Mais de plus en plus seule.