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L'affaire du partage est relancée par les avocats de Laura et David Smet qui disent n'avoir pu entrer en contact avec la partie adverse. Ou si peu....
L'épouse du rockeur a tenté de redorer son blason, de son côté (blason de veuve dite "noire" )
Mais sans succès.
Pire, ses interventions déclenchent l'ironie. Elle marque toute seule les buts contre son camp.
Ses paroles récentes ont effectivement de quoi choquer.
Elle a repris devant une tv des éléments de langage de sa longue interview du Point d'avril en affirmant "qu'on lui vole son deuil". Une expression forte. Et polémique.
Or, le deuil de Johnny n'est pas le sien uniquement...
Laura et David peuvent dire également qu'on leur vole non seulement la part financière de l'héritage mais la part symbolique, celle de la reconnaissance par leur père. Père manipulé ou non. La Justice déterminera.
Madame 100% omet de dire qu'elle bénéficie par ses trusts américains, ceux de son mari de l'ensemble de la fortune du rockeur. Ce qu'elle semble avoir organisé avec lui. Ce qui a pour effet de déshériter les enfants (illégal en droit français)
Elle assume mal sa nouvelle image, irréversible, aux yeux du public.
DELIRE VICTIMAIRE ECRIT
Le champ lexical que la veuve choisit dans ses interventions est incroyablement celui de la violence victimaire:" je suis rouée de coups, je suis blessée, j'ai mal à en crever": je, je et encore... je!
Elle choisit elle-même un vocabulaire très violent pour mettre en scène la violence qu'elle dit subir.
Elle vient de réitérer cette propension dans un écrit que les réseaux sociaux ont critiqué abondamment: sa réponse à Mickey Rourke.
Le texte est très particulier. Carrément maladif. Il semble que cette dame ne tourne pas rond...?
( c'est une traduction, plusieurs traductions circulent) Merci pour cette belle pensée Mickey", : "J'ai des petits hauts et beaucoup de bas. Je m'effondre et puis je me relève encore et encore. Toutes ces premières fois sans mon homme sont extrêmement violentes. La douleur fait partie de mon quotidien aujourd'hui, malheureusement. Je dois apprendre à vivre avec, autant que vivre sans lui il me manque terriblement. Il était une béquille sur laquelle je pouvais me reposer confortablement, une épaule sur laquelle je pouvais laisser couler mes larmes, et des bras dans lesquels je pouvais me blottir et me laisser aller.Jade et Joy, mes amours m'aident tellement .. Elles sont exceptionnelles, elles sont mes meilleurs alliées et d'une certaine façon, elles me guident dans cette traversée. Elles sont éblouissantes de sagesse et de paix. Elles sont extraordinaires, elles sont uniques. Comme leur père, elles ne sont qu'amour et gentillesse. Je suis fière de les voir grandir avec tant de force et de résilience. L'amour est plus fort que tout".
LAMENTATIONS PUBLIQUES EXAGEREES
Elle se plaint publiquement sur un compte Instagram. D'où le droit ici à analyser ...publiquement.
Elle impose un vocabulaire dramatique, irréfutable. Voire culpabilisant.
On note un abus des pronoms personnels (je, me) 17 pour 12 lignes : c'est énorme.
Elle se met en scène, tournée vers elle telle une narcissique pathologique dont elle semble faire partie.
Caractéristique du narcissisme pathologique: parler de soi, tourner tout vers soi+ se vivre en termes victimaires.
Son vocabulaire du registre victimaire est particulièrement démonstratif. Comme une scène de film de cinéma : " haut-bas-effrondre-relève-encore-encore-violentes-douleur-malheureusement-manque-larmes-"
Laeticia usite d'un terme ultra possessif à propos de Johnny (déjà usité avant) :"mon homme".'
JOHNNY, SA BEQUILLE
Sa possession de son époux se lit aussi avec l'incroyable image de la "béquille" qu'elle choisit pour évoquer le rockeur.
Elle chosifie l'artiste Johnny Hallyday et le range au rang de "béquille" : soit un objet sur lequel on s'appuie de tout son poids : (Au secours la psychanalyse ! ) Effectivement on conçoit qu'elle appuyait de tout son poids sur la personnalité de son mari ...!
Elle confie ici que même lorsqu'il était vivant, il lui SERVAIT de béquille pour "qu'elle se repose confortablement" ! Pour " qu'elle puisse pleurer"!
Elle se met en scène comme un jeune enfant (car seul l' enfant "se blottit" dans les épaules d'un adulte ! Un enfant pleure régulièrement dans les épaules, pas une épouse !)
Le mari, Johnny Hallyday, était donc au service de la DOULEUR de Laeticia exposée.
Les fans ont particulièrement peu apprécié ces paroles, c'est évident !
Désormais Johnny, sa "béquille-mouchoir réceptacle de ses pleurs" lui manque. On se rappelle la phrase de son ami Sébastien Farran " Johnny flottait dans son caleçon".
Décidément quelle démolition organisée !
On comprend pourquoi Laeticia a évacué tout l'ancien monde de Johnny jusqu'à ses enfants: les aînés de Johnny l'empêchaient de chosifier l'artiste comme elle le voulait.
Seule, elle prenait le pouvoir. Elle a donc viré tout le monde jusqu'au chien!
EXAGERATION MALADIVE
Sa béquille étant décédée, Laeticia née Boudou ose affirmer que ses filles (des enfants!!!) le remplacent lui dans la fonction de soutien. Elles la guident, elles sont ses alliées, affirme-t-elle (sans rire).
Bon...normalement en tant que mère, c'est à elle de les guider. Elles sont jeunes.
Comme Jade et Joy assument ce que leur mère attend d'elles pour la rassurer elle, elles sont forcément décrites comme " magnifiques et formidables, extraordinaires, uniques".
Et pleuvent les compliments. Mais jeunes filles complimentées par ce qu'elles lui apportent...à elle. Centre de l'univers.
Farran dira que Jade, Joy et Laeticia dormaient à même le sol sur un matelas autour du chanteur mourant. Est-ce bien la place de deux enfants ? Bizarre de sa part de leur imposer physiquement l'agonie de leur papa! Quelle violence éducative.
COUPEZ !
Le visuel du lamento de Laeticia née Boudou est une incroyable scène de cinéma : elle tombe, elle se relève, elle chancelle, cherche sa béquille ( "son" chanteur ), retombe, se relève.
Coupez!
Dans la vie réelle, de retour à St Barth, elle a été vue....presque allongée sur la tombe : cinéma public en 3D!
LAMENTOS REVELATEURS DE LA SITUATION REELLE
Les lamentos de l'épouse, Mme 100%, sont très révélateurs. Elle veut tout contrôler, tout ramener à soi, se poser en éternelle victime.
"Agneau innocent sacrifié" qui a trouvé ses sacrificateurs... les enfants aînés de Johnny !!
Laeticia née Boudou aurait "mal à en crever" dit-elle
Des paroles narcissiques exagérées, hyper théâtrales autour de la douleur. Surtout hyper maladives.
Avec de telles dispositions d'esprit, on continue à imaginer l'écran qu'elle a formé entre le chanteur et ...ceux qu'elle virait. Dont Laura et David.
Laura et David ont totalement raison de réclamer l'application du droit français également pour protéger personnellement leurs deux petits soeurs et garantir leur part. Le droit californien semble ne les faire hériter que par l'intermédiaire de leur mère. Sous réserve.
Sylvie Neidinger
C'est assez rare pour être souligné. Un mineur vient de soutenir son doctorat (sujet de thèse: la cybersurveillance) à l'Université de Lille.
Hugo Sbai, 17 ans lors de la soutenance a juste... six d'avance.
En plus du doctorat, il a pris le temps de.... deux masters dont l'un à l'EPFL.(informatique) l'autre en droit à Paris
Il vient d'engager un second doctorat à Oxford...
Le parcours est exceptionnel, piloté semble-t-il par ses deux tantines elles mêmes docteurs à Oxford.
Bon point: durant les années de sa scolarité précoce, il a toujours refusé d'en parler dans les médias, alors que les sollicitations ne manquaient pas.
Il communique pour la première fois avec la...réussite au doctorat et aux deux masters.
Logique. Il n'y a pas de mal à informer autour de ce parcours exceptionnel.
L'Université de Lille n'a jamais vu cela.
Probablement en France aucun doctorat n'a été soutenu à cet âge. Ni dans le monde. C'est une première !
Sylvie Neidinger
C'est l'histoire (assez originale) de Jacob Nufer (Siegerhausen) en 1500.
Une anecdote racontée en 1581 par François Rousset qui publié alors son Traité sur l'enfantement qui pour la première fois en occident évoque la césarienne et illustre son propos par le cas d'une césarienne réussie.
François Rousset (1531-1587), médecin du Duc de Nemours , publie le Traitte nouveau de l'Hysterotomotokie ou enfantement caesarien, qui est extraction de l’enfant par incision latérale du ventre et matrice de la femme grosse ne pouvant autrement accoucher, et ce sans préjudicier à la vie de l’un ny de l’autre, ny empescher la faecondité maternelle par après ».
Rousset semble surtout théoricien, n'ayant pas pratiqué l'acte lui-même.
Attention on ne dit pas que cela fut la première césarienne de l'histoire de l'humanité. Impossible évidement à identifier. C'est la première attestée en occident sur femme VIVANTE.
On ne sait ce qui se passait à la période préhistorique (avec silex..)...
L'Antiquité s' empare du thème avec le mythe Asclepios.
Un texte romain évoquait la nécessité d"ouvrir le ventre d'une femme ...décédée en couches:
(Je cite)."Il est difficile d'écrire un récit circonstancié de l’histoire de la césarienne. L’opération chirurgicale que nous connaissons aujourd’hui puise notamment ses racines dans les mythologies indo-européennes. Avant d’être un acte technique, elle est d'abord l’enjeu de réflexions sociétales, telles par exemple celles relatives à la Lex Regia édictée par Numa Pompilius 1, Roi Romain régnant de –715 à –673 avant JC et qui ordonnait que toute femme enceinte mourant subitement (en couches ou juste avant le terme), devait être césarisée dans l’espoir de sauver l’enfant s’il était encore en vie. Cette loi, selon Pline l'Ancien, a permis la survie de Scipion l'Africain, Général et homme d'état romain.
La césarienne est également l'enjeu de réflexions religieuses et philosophiques. A l'époque médiévale, une grande question théologique est de déterminer le moment où le fœtus est digne de recevoir le baptême. La question peut étonner de nos jours, mais elle est très importante à cette époque ; en effet, toute personne non baptisée doit rejoindre les armées de Satan au moment du jugement dernier, alors que les êtres ayant reçu le baptême rejoignent celles de Dieu. La césarienne post-mortem devient donc au Moyen-âge un des moyens de baptiser le plus grand nombre de personnes possible."
CHATREUR!
L'histoire suisse vaut son pesant d'or. Le mari "chirurgien" est en fait châtreur de porcs de métier !!
Derrière cette anecdote se lit une logique impeccable.
Le profession qu'il exerce explique le geste qu'il ose pratiquer :
1) avec un outil tranchant 2) sur le vivant 3) avec implicitement des notions d'asepsie.
La période de la Renaissance était bien organisée.
Jacob Nufer dut demander à une autorité administrative, la "magistrature locale" l'autorisation de pratiquer l'acte.
Sylvie Neidinger
L'hôpital public français est malade.
L'affaire du décès de la jeune femme mourante qui appela en vain le Samu de Strasbourget se voit répondre que "l'on va tous mourir" en rajoute, avec un grand non dit supposé mais pas forcément réel autour d'un potentiel traitement différencié de cette jeune femme d'origine africaine. Elle meurt 5 heures plus tard. L'IGAS enquête sur cette affaire choquante. La justice est saisie.
L'hôpital semble être le microcosme d'un (dys)fonctionnement général.
L'opératrice du Samu a commis une grave faute professionnelle ne passant pas l'appel au médecin régulateur qui seul pouvait juger d'envoyer ou non des secours.
A savoir, bémol, le Samu, les Urgences sont souvent saturés. Le Samu recevant des appels totalement farfelus et les urgences des personnes ne relevant pas de l'urgence. Voilà pour l'externe.
En interne, l'hôpital français va mal.
Une administration interne froide manage ce service public.
Les directeurs des Agences régionale de la Santé ont plus de pouvoir que les ministres. Pour autant comme "administrateurs" ils ne rendent pas compte puisque n'étant que des "administratifs". Ce pouvoir... caché n'est pas très démocratique !
Une administration malade surtout suivant certains.
La tarification à l'acte qui intervient en 2009 ( Loi Bachelot) génère ce que certains salariés vont nommer une violence institutionnelle:
"Parmi les victimes de cette « recherche du profit », les praticiens hospitaliers. Ou du moins certains d’entre eux, pour qui l’hôpital, leur outil de travail, est devenu un lieu de souffrance, parfois jusqu’à s’en donner la mort. De Paris à Grenoble, de Toulouse à Besançon, l’ouvrage ébauche une carte de France des situations où, ces dernières années, des médecins ont perdu pied face aux injonctions de l’administration, victimes de « harcèlement moral »."
Le personnel subit.
Pressions. Pressions et encore pressions.
Les burn-out sont légions. Gâchis. On a même retrouvé un étudiant en 7ème année de médecine, démissionnaire, cuistot en station de ski. Les abandons sont pléthore.
Moindre mal que de quitter la médecine plutôt que se supprimer.
Un livre, Hôpitaux en détresse a tiré le premier la sonnette d'alarme: le personnel se suicide sur le lieu de travail suite à des soucis professionnels.
Le professeur cardiologue Jean-Louis Mégnien "placardisé"s'était défenestré à l'hôpital Georges Pompidou le 17 décembre 2015. Décès qui cause un électrochoc dans toute la profession.
La liste continue. Une jeune interne récemment à Paris.
Ceux qui alertent ne sont pas pris au sérieux. Tel le professeur Christian Marescaux dont la parole fut niée, négativée par son autorité de tutelle. Il fut même écarté. L'administration ayant osé porter plainte contre lui. La justice n'a pas suivi déclarant la plainte irrecevable. Celui-ci, imperturbable continue a rassembler les témoignages. Et parle de "gouvernance légale toxique". Un ouvrage est donc publié.
Une alarme. Un réquisitoire contre loi bachelot 2009 qui donne les clefs de l'hôpital aux directeurs-manageurs. alors que l'administration hospitalière n'a pas reçu de formation managériale.
MALTRAITANCE disent-ils
« Dans le milieu hospitalier, le harcèlement a été utilisé, consciemment ou non, comme technique de management », dénoncent les auteurs. Pour eux, les règles instaurées il y a une dizaine d’années, dans la foulée de la tarification à l’activité, ont contribué à mettre en place dans cet univers consacré au soin une « maltraitance institutionnelle » qui a longtemps été passée sous silence."
Une gouvernance administrative toxique.
Le CHU de Grenoble est lui entré en colère froide suite au suicide d'un neuro-chirurgien sur son lieu de travail .
La direction est mise en cause. Le management y est accusé d'être déshumanisé. La froide administration perd du terrain face aux t. émoignages outrés qui remontent.
Mais au fait, qui sont ces "lanceurs d'alerte" qui ont réalisé le film ?
"Le documentaire consacré au CHU de Grenoble fait partie d'une série baptisée "Hôpital à la dérive", lit-on sur la page facebook de Caroline Chaumet, l'une des 2 réalisatrices. Cette dernière est la fondatrice de l'association Passeur d'Alertes (ex murdesinsoumis), un média dédié aux lanceurs d'alerte. Le film a quant à lui été financé par des donateurs en ligne sur la plaeforme de crowdfunding Ulule."
Le documentaire CHU de Grenoble : la fin de l'omerta est mis en ligne par les lanceurs d'alerte.
(cliquer sur le site web FR3)
C'est la fin de l'omerta dans tous les hôpitaux de France.
Désormais les dysfonctionnements administratifs sont de notoriété publique.
Les données sont désormais sur la table (d'opération ). Et ensuite ?
Sylvie Neidinger
Hôpitaux en détresse, patients en danger », sous la direction de Philippe Halimi et Christian Marescaux, avec Eric Maitrot et Brnard Nicolas, Flammarion.
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