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Pays-Suisse - Page 54

  • La SNCF, Prism et la surveillance généralisée

    1-L'affaire Snowden dévoile Prism, le système de surveillance mondial généralisé par les USA, exhorbitant en terme de droits, respect des libertés individuelle. A plusieurs égards illégal.

    2- La Société Nationale du chemin de fer  confie volontairement à un sous-traitant américain son informatique de paiement:

    Le sous traitant américain de la SNCf agace

    La SNCF défend son choix de terminal de paiement

    3- Conséquence : un pays tiers aura systématiquement accès par Prism, sans autorisation de la justice locale, française en l'occurence, à toutes les données persos: qui voyage, quand et où.

    4- A un certain moment, il faut cesser de dire que nos démocraties européennes fonctionnent. A ce stade nous sommes entrés dans l'ère du colonalisme numérique, informatique. Et les non américains sont bien les colonisés. G.Orwell comme prophète.

    5- Il suffit d'avoir le courage de le reconnaître et de le dire médiatiquement. Bien évidemment la SNCF n'a pas décidé seule, ni son sous-traitant comme elle le précise !C'est une décision politique de premier plan. Mais il ne faut surtout pas le dire !

    (Actuellement la France vit une  deresponsabilisation. La ministre de la culture n'assume pas les fautes d'orthographe de son tweet et incrimine ses collaborateurs! Tout comme le timbre de Marianne version  Femen raciste supposé avoir été choisi par des lycéens! version officielle !)

    Ceux qui ont donné le feu vert à la SNCF sont bien aux abonnés absents !!

    Un parti- nationaliste-  le FN est seul à réagir.

    L'affaire concerne évidemment aussi  les citoyens suisses qui voyagent et peuvent acheter un billet à Paris (Lyria etc.)

    C'est ça, l'Europe??

    Ils sont où les députés du Parlement européen: en vacances ??

                                                                                                     Sylvie Neidinger

     

                                                                   

  • Recruteurs suisses: les français soit-disant "arrogants et paresseux"

     Le  conducteur décédé dans le terrible accident de train survenu récemment au nord de Lausanne était un  français de 24 ans. Ni arrogant, ni paresseux.

    Décédé au travail par la faute d'un autre qui ne s'est pas plié à la signalisation.

    Cette nouvelle téléscope le buzz "franco-suisse"  du week-end précédent  autour des non-recrutements spécifiques des hexagonaux par les agences hèlvétiques pour les motifs de paresse et d'arrogance. Info parue dans le Matin Dimanche du 28 juillet sous la plume de Marie Maurisse.

    Cette nouvelle a tenu le haut du pavé, largement reprise dans la presse hexagonale. Mais telle qu'elle, non commentée.

    France un peu surprise de cette image rendue de la part d'un pays voisin que, à vrai dire, elle met très peu, elle-même, à la une de son actualité habituellement. Si ce n'est par cliché pour franco-suissestigmatiser  l'éternel "paradis fiscal" et le chocolat...

    Mine de rien cette info est extrêmement révélatrice si on prend le temps de l'étudier.

    Commençons à différencier trois niveaux de réception: national, politicien, local. Ce pour chacun des deux  pays et avec une dualité  détectée: la nuance entre la symbolique et le réel:

    *1) Côté Suisse :

    Suisse/échelon national:la Confédération  entretient une politique d'immigration sélective, malgré les accords de libre -échange. Sans souci. Vu son niveau de vie très élevé, toute l'Europe voire plus loin encore, se précipite pour y travailler. On a même parlé de...londoniens frontaliers.

    Suisse/échelon politicien:

    a) le message symbolique politicien: des partis de droite extrême et d'extrême droite font leur gras -comme beaucoup en Europe aujourd'hui- sur le traitement de l'étranger, du français en particulier puisque les deux pays partagent une large  frontière.

    Jusqu'au très officiel Office Cantonal de l'Emploi (OCE) qui en avait tiré une caricature présentant le français baptisé "Robert" comme prototype du paresseux. Aucune réaction  politique officielle française à l'époque. Sinon chez les frontaliers, premiers concernés et leur Groupement associatif (GTE)

    Caricature assumée politiquement puisqu'elle n'a pas été retirée. Isabel Rochat, conseillère d'Etat l'assume en signalant que c'est le "fraudeur" qui est visé dans la video et non le "français". Sauf que la lecture induit que le  fraudeur est systématiquement français. Et induit la logique du "français fraudeur". Jamais les autres...Dont les suisses qui vivent en France sans se signaler aux autorités.

    Dans l'affaire du train, celui qui n' a pas respecté la signalisation à l'origine de l'accident n'était pas français. On parle ici de "défaillance humaine"...

    Restons logiques. Aller stigmatiser un ensemble sur la base d'un cas exemplaire pris pour représenter une certaine nationalité n'a pas de sens. Cela correspond parfaitement à la définition de "nationalisme" -Mais attention pas ici à celle de  racisme - car ces débats portent bien sur les nationalités et non sur  les races.

    Caricaturer l'ensemble des frontaliers autour des 120 "roberts" signalés est bien réducteur.

    Il s'agit de toutes façons d'un ...message politique. Les partis populistes l'entendent ainsi. Le parti d'extrême droite MCG a par exemple  pris pour cible nominativement Michel Charrat, président du Groupement qui a porté plainte, dans le cadre d'une campagne électorale d'affichage du printemps dernier.

    Trouver comme cible une population étrangère  n'est d'ailleurs pas une spécialité suisse. La France est un maître dans le genre. La crise économique générale explique ces poussées de populisme.

    Suisse/échelon local:

    a) Suisse /local : message symbolique.

    Cela fait bien longtemps (deux ans?) que le rétrécissement  du marché du travail suisse se pose spécifiquement autour des "français". Ce débat local  peut être suivi régulièrement  dans les discours des politiciens MCG, UDC et autres partis, sur les  Blogs Tribune de Genève. A savoir  "à compétences égales choisir un suisse " devient en 2013 "même à compétences inégales choisir un suisse".

    De fait, choisir un suisse en Suisse semble  logique tout de même.

    RECRUTEMENT: LE NON DIT

    Remarque : chacun est tout de même  encore libre de s'organiser dans son pays et la Suisse de choisir qui elle veut en réalité.

    De quelle manière  contourner la loi européenne sur le libre échange ? Tout simple.

    Dans le bureau du recruteur: retirer des prétendants de nationalité française sans ouvrir les dossiers de candidature.

    Il se dit  que cela se pratique aussi du côté de la fonction publique de l'Etat de Genève. Désormais, les agences privées de recrutement l'ont très officiellement signalé.

    Ne pas croire toutefois que la volonté de travailler en Suisse soit immuable pour les hexagonaux. Il semble depuis deux ans également  que les  hôpitaux de Annemasse et de  Saint-Ju ne vivent plus un turn-over infernal d'infirmières qui traversent la frontière au moindre recrutement helvète. Elles se stabilisent localement et beaucoup ne veulent plus du tout travailler de l'autre côté. Les discours  entendus sont fermes : pas question. Le travail est bien un marché basé sur la loi de l'offre et de la demande !

    A propos du volet  "paresse ", on est bien dans une phraséologie  à vocation ultra politique de message public.

    Le réel, le terrain est bien différent :

    b) Suisse/local: le réel.

    LES SUISSES NE SONT PAS MASOS !!!

    Ce pays libéral qui permet des licenciements soudains, dans la journée aurait déjà renvoyé  les milliers de travailleurs frontaliers s'ils étaient vraiment les  fainéants qu'une certaine  Suisse politicienne se plait à bouc-émissairiser. IIs ne seraient plus en poste, évidemment.

    Dans la vraie vie. Pas dans la symbolique politicienne, qui les présente comme des éternels ...Roberts.

    Si les français  sont en poste, c'est bien qu'ils assument leurs tâches !  La Suisse bonne samaritaine ne va tout de même pas jusqu'à entretenir une armée fantôme de travailleurs arrogants et paresseux, non? Que ce soit à Bâle, Genève ou Lausanne...

    Voire même dans la vraie vie -pas celle fantasmée- de certaines entreprises, certains  employés suisses  quittent quelquefois  leur boulot pile à l'heure horlogère. Pas une minute de plus. Alors que les autres collègues-  de toutes autres nationalités d'ailleurs -assurent le suivi du client retardataire, du surplus de travail.  Ces retours du terrain réel existent. Il est plus intelligent ici, de ne pas porter de jugement hâtif autour des nationalités. Idem, certains suisses choisissent de manger leur sandwich sorti du sac  quand les collègues français dépensent le resto. Contrairement à la caricature inverse généralement rapportée. Il s'agit bien de  comportements individuels. Point barre.

     Or, les recruteurs qui ont fait la Une de  Matin Dimanche ont bien raisonné "nationalités". Ils signalent par exemple que dans le BTP, on préfère les portuguais et espagnols aux français. Problème: cette info date.... d'un demi-siècle !!!!!!! Depuis les années 60, le BTP embauche nombreux  portuguais et espagnols que ce soit en Suisse ou en France.

    Remarque: on trouve peu de suisses dans les travaux pénibles du BTP et de la restauration. Peu de français dans le BTP. Doit-on en conclure qu'ils sont paresseux? Non évidemment. Cela tiendrait d'un jugement hâtif, là encore.

     Une chose est certaine sur le terrain: la Finance suisse se ferme aux français.

    Jusqu'alors ils y étaient relativement bien vus. La France produit effectivement des matheux et des informaticiens de l'ingéniérie financière de très haut vol. Combien de traders français à Londres ou New-York ....

    La donne a changé.

    L'article du Matin Dimanche repris par les nombreux médias en explique les raisons :"
    "Le journal prend en exemple un poste proposé sur l'Internet dans une banque genevoise pour un collaborateur dont la mission consiste notamment à ouvrir et fermer des comptes de clients. "Les patrons craignent d'engager des Falciani ou des Condamin-Gerbier en puissance", fait valoir le journal. Pierre Condamin-Gerbier est un ancien collaborateur de la banque Reyl & Cie qui est actuellement en prison à Berne pour son témoignage dans l'affaire Cahuzac. Des critiques similaires avaient également refait surface en 2009 lorsqu'Hervé Falciani, un ancien informaticien de la banque HSBC en Suisse, avait vendu un fichier volé comportant une liste d'évadés fiscaux."

    Et de citer deux noms au coeur des faits divers: Falciani et Condamin-Gerbier.

    Ces deux individus ont fermé la porte de leurs compatriotes à la carrière bancaire.

    Les Suisses ne sont pas masos. Pourquoi embaucheraient-ils ceux qui vont voler des listings au profit d'un tiers ??? La confiance est entâmée.

    Et cette fois, il faut porter l'analyse de l'autre côté de la frontière :

    *2.Côté France

    France/échelon national

    a) France /national: message symbolique. La  France "des Lumières" adore qu'on la regarde plutôt qu'elle même ne regarde ses voisins. Le monde entier doit connaitre la date du 14 juillet. Peu  d'hexagonaux sont capables de citer les dates de fêtes nationales helvètes. On frise la caricature avec la Suisse vue comme  pays du bon chocolat. Du dépôt bancaire. Du chalet de montagne.

     Tout comme sa voisine, la France est par tradition une contrée d'immigration. Au XIXème siècle, l'immigré est intérieur: un breton, corrézien ou savoyard qui monte à Paris.

    Immigrés désormais mondialisés avec lesquels elle n'est pas tendre du tout, non plus...

    Un exemple daté des années 1990 à  propos de l'"importation" de médecins étrangers. L'administration avait inventé  le concept de FFI: " faisant fonction d'interne" Des médecins totalement diplômés dans leur pays,  ultra employés à faire des heures dans les hôpitaux publics. Mais sous payés car n'étant statutairement que des "faisant fonction de" des erzatz, quoi. Plusieurs ont finalement quitté la France à force d'attendre un vrai statut. Certains ont fait de belles carrières aux...USA.

    b) France/ national: le réel. Les français   apprennent avec surprise par le Matin que des compatriotes peuvent  aussi  être les ..immigrés d'un autre ![ Une mauvaise langue a suggéré que ce retour  remet quelques egos en place !]

    Cette information du Matin les inquiète (d'où sa diffusion dans toute la presse hexagonale)  car elle les renvoie aux problèmes structurels d'une économie en berne, un chômage massif. L'image donnée par les suisses des "français revendicatifs et arrogants" les ramène  à  une économie chancelante. Eux de se poser pour eux mêmes -et pas tant pour ce que les suisse peuvent penser en réalité!- la question des congés, des   RTT, des  grèves (ex:dockers de Marseille) de la civilisation du loisir, des retraites à 55 ans pour certaines catégories  (ex: cheminots  etc...)

     France/échelon local. 

    a) France/local: symbolique. Tous les expatriés en Helvétie seraient arrogants et fainéants ??Non. La généralisation est évidemment abusive et populiste.

    b) France/local: le réel. Deux cas nets sont  à distinguer. Entre ceux qui travaillent déjà en Suisse et ceux qui comptent le faire et candidatent.

    Rappel: l'article du Matin est basé sur l'opinion d'un cabinet de recrutement précisément.

    -Oui les français qui sont déjà en interaction professionnelle avec la Suisse la connaissent, l'apprécient, en respectent  les codes, les us. Ils n'importent pas leur fonctionnement "français" et se plient aux usages de leurs employeurs locaux, avec qui les relations sont souvent excellentes. Très peu sont  concernés par l'esprit de revendication. Ils sont   ponctuels. Cela concerne des milliers d'individus. Bien évidemment des cas de revendications prud'hommales existent par les employés français ou autres ....comme dans toute démocratie. Il s'agit alors de mise en oeuvre du droit du travail (identique pour tous suisses et non suisses) et non du code des nationalités.

     -L'opinion du cabinet se base, elle,  sur ceux qui ne sont pas intégrés et se présentent. Exemple : à Genève, un responsable d'agence de recrutement me disait récemment que les jeunes ingénieurs français sont impossibles et "les parisiens encore pires que les autres" ! selon lui  : ils arrivent avec leur préjugés hexagonaux sur leur propre valeur, leurs prétentions,  car sortant de telle école très côtée et avec tel classement. Le recruteur lui veut savoir ce qu'ils peuvent  apporter et comment ils pourraient se caler dans le moule suisse. D'où effectivement ces jugements  intempestifs "d'arrogance"?

    France/échelon politique

    a) France/politique: le réel

    Etienne Blanc, le député de la 3ème circonscription de l'Ain, basé à Divonne-les-bains est un véritable député frontalier. A Paris, il ne cesse d'évoquer tous les contacts  positifs entre Suisse et France. A tel point que ses confrères l'ont raillé d'être si ...suissophile !!!( rapporté par lui dans la presse)franco-suisse,suisse-bashing,grand geneve,etienne blanc,gte,oce

    Il est tout simplement comme tous ceux de la zone frontalière, ceux  du Grand Genève,en lien bien compris avec le pays voisin devenu partenaire sur bien des projets. Partenaire: cela se respecte !

    Echanges trans-frontaliers de tous ordres: dont celui des  travailleurs, entre autres. Cela ne date pas d'aujourd'hui . Combien de panneaux ou de raisons sociales avec la terminologie " franco-suisse"?

     b) France/politique : le symbolique

    A ce stade de l'analyse, on touche du doigt la nature des relations avec la Suisse telles que vues de Paris: de la quantité négligeable?

     Eveline Widmer-Schlumpf avait attendu un certain temps avant d'être reçue par l'actuel Président. L'ancien Sarkozy n'était pas plus pressé pour s'exposer avec tout ce qui de près ou de loin touche à la Confédération. 

    Question d'image !! En effet s'afficher avec ces riches de suisses et leur système bancaire, cela vous plombe une communication politique , semble-t-il..Cela fait mauvais genre, n'est-ce pas ??

    Aujourd'hui les relations s'enveniment carrément  Lire aujourd'hui : Widmer-Sclumpf face à Moscovici : le conflit Suisse-France se complique

     A ce stade, on ne comprend plus rien. Le Qatar non francophone a été accepté comme membre de la francophonie par la France qui elle depuis quelques années joue la danse du ventre devant le richissime émirat jusqu'à lui offrir une fiscalité spécifique avantageuse.

    Les politiciens à Paris ( Gouvernement, Assemblée, Sénat) vilipendent  sans complexe  la Suisse francophone, ce voisin de longue amitié ancestrale. Ce"vieux couple" (cf mon article infra)

    Pays avec certes son système bancaire qui hérisse le poil de plusieurs autres nations.

    Mais aussi Suisse qui  permet des importations bénéfiques pour le PIB français: la manne salariale des milliers de frontaliers qui ont le courage de s'engager professionnellement en  territoire étranger dans des situations de précarité structurelle (possibilité de licenciement rapide et salaire qui dépend d'un taux de change qui varie chaque jour et peut chuter, sécu coûteuse)

    La relation politique  franco-suisse est aujourd'hui  crispée. On parle même de ....conflit !!

    Je ne comprends pas cette approche des politiciens basés à Paris. L'arrogance française se situe probablement ....à leur échelon ?

    Ils ne sont pas d'extrême-droite seulement. Le suisse-bashing se pratique de tous bords de la gauche à la droite. C'est devenu carrément "politiquement correct "sur les bords de la Seine !

    Alors que des milliers de français traversent chaque jour la frontière....

    La Suisse semble s'en moquer. Elle  tourne son regard  vers les zones germanophones de l'Europe.

                                                                                                    Sylvie Neidinger

     Articles du blog ayant déjà traité du sujet:

    -caricature: les pendulaires frontaliers

    -Le vieux couple franco-suisse

     

     

     

  • Le Musée de Penthes...reste vivant. Joie partagée

    Excellente nouvelle. Ici, le communiqué intégral issu du Musée de Penthes qui finalement perdure !!

    Les enjeux étaient mortels pour le site :

    Je  laisse l'annonce  dans sa couleur d'origine, le rouge, signe de l'importance du message.musée de penthes; etat de geneve,charles beer

    Magnifique lieu. Magnifique mémoire de la Suisse.

    Tous les amateurs éclairés qui font leur maximum pour ce lieu, le personnel, l'Association des amis du musée et son Directeur Anselme Zurfluh....  acceuillent certainement cette info avec joie. Partagée.

                                             Sylvie Neidinger



    "CHERS AMIS DE PENTHES,

    NOUS L'AVONS DIT DEPUIS TOUJOURS MAIS C'EST DESORMAIS OFFICIEL: LE MUSEE DES SUISSES DANS LE MONDE NE DISPARAITRA PAS DANS LA NOUVELLE CONFIGURATION DU DOMAINE DE PENTHES VOULUE PAR L'ETAT DE GENEVE. BIEN AU CONTRAIRE, LE MUSEE EST PARTIE INTEGRANTE DU PROJET ET AURA COMME VOCATION D'ETRE LE LIEN PRIVILEGIE ENTRE LA GENEVE INTERNATIONALE ET LE CITOYEN - UN GRAND DEFI QUE NOUS ENTENDONS RELEVER EN PLANIFIANT LE "NOUVEAU MUSEE DE PENTHES" ... A L'HORIZON 2018.

    Le Temps, 30 juillet 2013, Charles Beer, président du Conseil d'Etat :
    Que tous les amoureux du patrimoine se rassurent, "le Musée des Suisses dans le Monde n’est pas condamné"...

    Pour voir l'article en entier, cliquer sur le lien ci-dessous :

    https://www.facebook.com/pages/Mus%C3%A9e-des-Suisses-dans-le-Monde-Museum-of-the-Swiss-Abroad/71211861047

    Pour tous ceux qui n'ont pas Facebook, vous pouvez cliquer sur:

    http://www.penthes.ch/fr/news/bonne-nouvelle-pour-penthes/page:1

    Meilleures pensées de Penthes"

    crédit image photo neidinger

                                                                

  • Suivre l'expédition Planetsolar Deepwater

    Campagne unique de mesures biologiques et physiques. Le plus grand catamaran solaire jamais conçu, le MS Tûranor PlanetSolar est devenu labo flottant. Logique. "Son absence d’émissions polluantes garantit que les mesures atmosphériques ne sont pas faussées par les résidus liés à la combustion de carburant". université de geneve,ms tûranor planetsolar,planetsolar deepwateruniversité de geneve,ms tûranor planetsolar,planetsolar deepwater

    L'expédition Planet Solar Deepwater actuellement en voyage met en interraction le Grand Public, les scolaires et les scientifiques pluri-disciplinaires de l'Université de Genève.

    Ces études sont menées par l'ISE Institut des Sciences de l'environnement pour mieux comprendre les changements climatiques et leurs impacts.

    Des scientifiques de l'Université de Genève sur le Golf Stream dont le professeur Martin Beniston sont à l'origine du projet. Les objectifs scientifiques de cette chaire en efficience énergétique

    Une maquette du "bateau à multi capteurs solaires" avait été présentée lors du Salon du Livre de Genève.

     

    jusqu'au 31 août une expo liée au voyage scientifique est visible dans la rade aux bains des Pâquis. Intitulée : un iceberg dans la rade

    université de geneve,ms tûranor planetsolar,planetsolar deepwaterSur le  blog de l'expédition : les dernières  infos de voyage, à  Halifax;

    Deux challenges Suisses liés aux technologies solaires sont eu lieu en même temps. On a beaucoup parlé de l'avion Solar Impuls, dans lees infos mondiales, notamment enr aison du survol des USA. Et moins de Planet Solar. Dommage.

    L'intitulé du titre était peut-être un peu long en termes de communication "planetsolar deepwater"

    Solar Waters aurait suffi..Mais qu'est ce qu'un nom un peu long  face à cette magnifique machine scientifique de rêve?

    Le bateau est sublime à voir.

                                                            Sylvie Neidinger

     *tout est "solar" cette année dont le roman Solarsystem de Laurent Schweitzer !

    photo: capture site ISE et Planet Solar

                                                                          

  • Suisse: le scandale des enfants parias

    Enfants pris dans une "anormale norme sociale" les concernant.

    La Suisse a encore bien du mal à regarder dans son passé proche....

    Helvétie moderne limite sidérée par des pratiques d'un autre âge relativement récentes puisque des individus en témoignent !romain rosso,suisse,enfants parias

     On parle tout de même de stérilisation de femmes!!

    Comme un  retweet, on signale  le très bon article de Romain Rosso et du photographe : Jean Claude Guilloteau paru hier sur l'Express

    Suisse: le scandale des enfants parias


    Cette manière dont le pays avait maltraité une partie de sa jeunesse et surtout la difficulté à reconnaitre les faits fut l'objet de plusieurs articles de ce blog:

     *Note du 7/03/2012 Enfants misés: le Conseil Fédéral interpellé par un... roman ! Le chemin sauvage, du fribourgeois Jean Fançois Haas

    *Note du 10/03/2012   Enfances suisses perdues : le livre documentit

    *Note du 20/04/2012 L'enfance volée. Maintenant le film de Marcus Imboden en français.

                                                                                                    Sylvie Neidinger

                                              Rubrique Helvétie