Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Pays-Suisse - Page 50

  • Genèv'Opéra

    P1100748.JPGLe Grand Théâtre de  Genève

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    P1100757.JPG

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     L'historique des théâtres antérieurs sur cette place est mouvementé puisque l'actuel bâtiment est le ....4ème construit. après destruction des précédents.
    theatre.GIF

    1-Théâtre de Rosimond. 1766, en bois.

    Eclairé à la bougie de suif. Incendié

    2-Théâtre de Neuve. 1783. En pierre. Démoli.

    3-Grand Théâtre. 1880

    4- Incendie de 1951/Reconstruction en1962       

    reconstruction.GIFLe 1er mai 1951 à 12h08, lors de la préparation d'un tableau du troisième acte de La Walkyrie, un violent incendie éclata, détruisant la scène et toute sa machinerie, les installations mécaniques et électriques, cintres, grils, passerelles. Le rideau de fer s'effondra et le sinistre gagna la salle - du parterre à la troisième galerie -, la grande peinture décorative du plafond et toutes celles des médaillons et des cartouches du plafond d'avant-scène. Il restera, de la partie non-sinistrée du théâtre, le foyer, l'avant-foyer, l'entrée principale ainsi que les façades jusqu'au bâtiment de scène compris. Le théâtre dut fermer ses portes pour une décennie entière, période pendant laquelle les spectacles furent transférés à la salle du Grand Casino ou Kursaal.

    Lire l'Historiquegeneve,opera,grand- théâtre,jonas kaufmann

     Le Grand Théâtre est accessible également par abonnement. Festival Wagner actuellement.

    A savoir la séance -unique- du 30 mars 2014 19h30 qui accueillera la star internationale, le ténor  beau gosse Jonas Kaufmann  estkaufmann.GIF déjà ...complète.                   

    Son site web est très  pro, avec des extraits.

    Lisible uniquement en anglais ou en allemand.

    En attendant d'accéder-ou non- à la séance future au Grand Théâtre..

      Sylvie Neidinger

                         

     

     P1100753.JPG

     

     

     

    P1100763.JPGP1100765.JPG

  • 18 écrivains suisses à Moscou avec le Salon du livre de Genève

    Communiqué de presse publié en intégral:

    -  Le 28 ème  Salon du livre et de la presse de Genève  se tiendra à Palexpo du 30 avril au 4 mai 2014.

    -  Dix huit écrivains suisses à Moscou avec le Salon du livre :

    "La Suisse sera l’hôte d’honneur du 15e Salon du livre de Moscou, qui se tiendra du 27 novembre au 1er décembre 2013. Pro Helvetia, maître d’oeuvre de la présence suisse, a donné mandat au Salon du livre de Genève d’organiser le contenu de cette présence. Le Salon du livre de Genève invitera 18 auteurs suisses de toutes les régions linguistiques, romanche compris. A Moscou, ces écrivains participeront à des débats, des séances de dédicaces, des lectures publiques et des rencontres avec les médias, des étudiants et des artistes moscovites.  

    Un pays, quatre langues : il n’existe pas une seule littérature suisse mais quatre traditions littéraires, chacune liée à l’une des langues officielle du pays – l’allemand, le français, l’italien et le romanche. C’est ce message que le Salon du livre de Genève va porter à Moscou, en y invitant sept auteurs alémaniques, autant de Romands, deux Tessinois et un Grison d’expression romanche.
     
    Au nombre des auteurs invités, Metin Arditi, Anne Cuneo, Dominique de Rivaz et Corinne Desarzens, les écrivains alémaniques Charles Lewinski, Lukas Bärfuss ou le Russe établi en Suisse et écrivant en allemand et en russe, Mikhail Shishkin ; l’auteur romanche Arno Camenisch et l’écrivain tessinois Andrea Fazioli, ainsi que les auteurs pour la jeunesse Jürg Obrist et Haydé Ardalan. Le Salon du livre de Genève a cherché à inviter des auteurs traduits en russe ou ayant écrit sur la Russie.
     
    Durant le salon de Moscou, débats avec des professionnels du livre et avec le grand public et dédicaces alterneront avec des lectures publiques au Centre Culturel de Tchaïkovski et au Tchékov Art Theatre, ainsi qu’avec des rencontres avec les médias, des étudiants et des artistes moscovites. Anne Cuneo, spécialiste du roman historique, réalisatrice de films et metteuse en scène, auteure de « Le trajet d’une rivière », « Le maître de Garamond » ou « La Tempête des heures », et Corinne Desarzens, grande voyageuse et amoureuse de la Russie (« Un roi », « Poisson-Tambour »), parleront de la place des femmes dans la littérature suisse. Avec Andrea Fazioli et Lukas Bärfuss, Anne Cuneo évoquera le fait d’écrire en italien, allemand ou français sans appartenir à la culture de ces pays.
     
    Jürg Obrist, illustrateur de plusieurs volumes des « Enquêtes de Lenoir et Blanc », et Haydé Ardalan, créatrice du très populaire personnage Milton le chat, participeront chaque jour à des animations à l’intention du jeune public. L’identité suisse, traversée d’influences multiples, sera développée par Charles Lewinsky, auteur de « Melnitz » ou de « Retour indésirable », et Lukas Bärfuss, dramaturge et romancier, auteur notamment de « Hundert Tage » (Cent jours).
     
    La présence suisse à Moscou sera mise sur orbite fin octobre à l’occasion de la visite en Suisse de cinq journalistes russes représentant d’importants médias de ce vaste pays, Kommersant FM, Kommersant Newspaper, RBK Daily Newspaper, Russia Newspaper et ITAR TASS. Accompagné de représentants du Salon du livre de Genève, ils passeront un jour à Zurich, à Bâle, à Lausanne et à Genève, rencontrant à chaque fois des auteurs suisses.
     
    La présence suisse au salon du livre de Moscou s’inscrit dans le cadre du programme «Swiss Made in Russia. Contemporary Cultural Exchanges 2013-2015» mis sur pied par Pro Helvetia. Ce programme vise à accroître la notoriété de la scène littéraire suisse en Russie et à permettre la signature d’accords de traduction et de distribution, mais aussi à donner aux éditeurs suisses une meilleure connaissance de la scène littéraire russe et du marché du livre dans ce pays.
     

    Le Salon du livre et de la presse de Genève se tient à Palexpo du 30 avril au 4 mai 2014.
    Plus d’informations sur www.salondulivre.ch.

  • La ligne éditoriale de ce blog est celle du "vieux couple-franco-suisse"

     

                                         LA  LIGNE EDITORIALE DU BLOG

     

    "dubordduboutdulac"...Ce blog désormais  nommé blog Neidinger par commodité a démarré  le 22 juin 2011 autour d'une réflexion transfrontalière.

    Le bord du bout du lac est un lieu indéfini, à la fois en Suisse et en France.  Grand Genève avant l'heure.

    Aujourd'hui, la ligne éditoriale reste la même et traite des deux cotés. Définitivement un blog grand genevois.

    "Le vieux couple franco-suisse                        article initial du blog

    Surprise à la lecture des Une de presse, lorsque vous arrivez en genevois. Avec un drôle d'objet médiatique "non identifié" bien  local, du cru : le frontalier, découvert à cette occasion. Jamais entendu parler avant ! Son  statut bizarre et convoité  "tombe" littéralement sur celui qui a la curieuse idée de travailler à Genève. Comme une seconde peau qu'il lui faut endosser de force. Une image qui se plaque.

     Côté français, il est vu comme un chercheur d'or qui aurait trouvé le filon. Côté suisse, un mal à supporter avec patience, juste pour faire tourner l'économie, voire un envahisseur selon le parti politique qui s'exprime.

    Je ne suis moi qu'une simple saute-frontière, une curieuse [donc pas une frontalière stricto sensu]  observatrice, analytique..

    Profitant de cette arrivée  à proximité  de  la fameuse ligne de séparation entre deux Etats,  je pris l'initiative d'un passe-temps favori nommé : " la chasse aux grand-mères". A savoir: remonter une branche généalogique locale du début XXème siècle.

    Nous ignorions tout de cette Suzanne du cru. Sa réalité dépasse..... l'imagination transfrontalière.

    Elle est fille d'un haut-savoyard de Samoëns et Mieussy ( Joseph Baudet 1820-1877) et d'une vaudoise né à  Morges ( Louise Adèle Dill 1837-1917)

    Des Suisses  tailleurs de pierre venus de Berne, de Vinelz et Nidau précisément . En fait  une lignée protestante  aux noms germaniques.

    Cette ancêtre unit dans mon sang.... Berne,  pays de  Vaud et Haute-Savoie, Suisse et France, bord de lac et haute montagne, catholicisme et protestantisme. Elle fait plonger  aux racines de l'Etat civil savoyard avec ses dates extrêmes du XVIème siècle.mcg,frontalier

    Et fait partir l'ascendance du côté bernois vers des archives à  l'écriture gothique pour les recherches en langue suisse allemande.

    Mais où donc vivait cette famille franco-suisse???

    Pile.....à la frontière, bien sûr. Comme négociants d'étoffes à Etrembières, bien placés pour vendre à tout chaland qui franchissait le fameux axe de séparation.

    Finalement, les magnifiques paysages locaux des deux bords  sont aussi mes paysages génétiques !

    Appartenir par le sang aux deux côtés devient carrément une information pétillante d'humour pour une néo-saute-frontière qui l'ignorait !

    Au fait : qu'est ce qu'une frontière sinon un insurmontable problème philosophique?

    Cette ligne invisible relie aussi ce qu'elle sépare. Sépare ce qu'elle unit.

    Oui, le no man's land imaginaire supposé frontal rassemble  côte à côte  ce qu'il différencie dans un rapport de proximité immédiate.

    La meilleure option métaphysique serait de considérer les espaces franco-suisses issus de la coupure axiale comme ....un vieux couple sage.

    Deux individualités qui par leur communauté de vie forment une entité juridique supérieure "pour le meilleur et pour le pire" suivant les termes du contrat conjugal privé.

    Les enfants sont élevés, les disputes pimentent un peu la vie: place au mariage de raison devenu sérénité mature.

    D'ailleurs le vocabulaire témoigne de la connivence : Genève (Suisse) pays... genevois (France). Le lac sans le Salève serait comme un soleil sans chaleur...

    Depuis des centaines d'années, la complémentarité territoriale et....mentale régit les inter-relations, au delà des bisbilles de forme.

    De facto. Cette réalité là, personne ni aucun Parti politique ne peut la contester !

                                                                  Sylvie Neidinger            juin 2011


                                                             

                                                                               

     
  • Le trajet huguenot: Fort Barreau à... Genève

    Après 1 et 2 ...3ème article sur le thème.

    Article n°1) - Visite du Fort-Barraux en Isère et la découverte du lien très fort de ce lieu  avec l'histoire du protestantisme par le passage des huguenots:

    http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/archive/2013/08/24/randos-huguenotes-245968.html

    En Suisse : via-huguenots.ch/ fort-barraux,isere,base kora,centre ionographique de geneve,rue fort-barreau,geneve

                                                                   *************

    Article n°2)- Lien établi avec la rue Fort Barreau à Genève ( remarque une modification d'orthographe)

    http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/tag/fort-barraux Le nom serait  lié à une auberge construite en 1663 et démolie en 1900.

                                                                 **************

    Article n°3)-Suite de l'enquête mémorielle autour de cette "auberge" dite le Fort de Barreau, lieu genevois que l'on va essayer d'analyser  en fonction du ...peu d'éléments dont on dispose.

    En s'aidant du fonds du Centre iconographique de Genève par la base Kora.

    fort-barraux,isere,rue fort-barreau,geneve

     a) La date de sa construction du lieu (1663) est légèrement antérieure à la révocation de l'Edit de Nantes (1685) Et correspond bien au   démarrage de l'exil huguenot.

    b) Son usage dit d' "hôtel" signifie par définition un  lieu d'hébergement  pour gens de passage. Sur un trajet, en direction soit du nord vers l'Allemagne. Soit en entrant à Genève par la porte du Bastion Cornavin.

    c) Son nom reprend bien celui du Fort-Barraux de France, distant de 110 à km. Logique. Ce fortin d'Isère correspond à une sorte de lieu de passage difficile. Une épreuve pour les huguenots. D'autres explications au choix du nom sont bien évidemment possibles.

    Fort de Barreau. Le fait de porter le nom de la précédente étape permet de visualiser le trajet Fort-Barraux/Genève. Ce nom de lieu genevois  est fort ancien. Probablement dès la construction. Il est déjà mentionné  sur un plan de 1715.fort-barraux,isere,rue fort-barreau,geneve

                                           Le Fort-Barreau de Genève :fort-barraux,isere,rue fort-barreau,geneve

    fort-barraux,isere,rue fort-barreau,geneve

    Observations: Fort de Barreau est une construction hors les murs. Unique bâtisse  dans un champ. Extraordinairement bien placée:

    a) Pile face à la porte d'entrée de la ville de Genève  dite Cornavin

    b) Et pile à la croisée de trois routes , celle qui vient du sud (Chambéry, Fort-Barraux) nommée "chemin de Peney à Genève." Celle nommée "chemin de France à Genève"(direction Gex, Jura)Enfin "chemin de Suisse à Genève" vers Lausanne.

    fort-barraux,isere,rue fort-barreau,geneve

    fort-barraux,isere,rue fort-barreau,geneve

    Les plans suivants montrent  que le nom de Fort de Barreau est hyper valorisé, comme un nom de quartier pratiquement.

    1851
    fort-barraux,isere,base kora,centre ionographique de geneve,rue fort-barreau,geneve

    fort-barraux,isere,base kora,centre ionographique de geneve,rue fort-barreau,genevefort-barraux,isere,base kora,centre ionographique de geneve,rue fort-barreau,geneve



     

    et 1854
    fort-barraux,isere,base kora,centre ionographique de geneve,rue fort-barreau,geneve


    fort-barraux,isere,base kora,centre ionographique de geneve,rue fort-barreau,geneve

     

     

     

     

     

     Toute info complémentaire sur l'hôtel Fort de Barreau est toujours la bienvenue.      

                                                                        Sylvie Neidinger

     

                                                            Rubrique #Protestantisme

     

  • InterroGe.ch fonctionne bien! Testé sur "rue Fort-Barreau"

    Ce blog avait signalé le nouveau service offert par les Bibliothèques genevoises-donc par la Ville de Genève:  répondre aux Interrogations émises par le public, par le biais d'un site numérique : InterroGe.ch

    Le test s'est effectué sur la base d'un commentaire bâtisseur. C'est ainsi que je nomme les commentaires qui apportent de la matière à un article, qui l'enrichissent.

     L'article en question est publié sur ce blog Neidinger le 24 août 2013 à propos de Fort-Barraux, place forte  isèroise aux porte de la Savoie. Dont la basique visite touristique avait montré combien ce site était lié à la...Suisse. Une garnison de Neufchatel  l'ayant  même gardé.ville de genève,gresivaudan,rue fort-barreau,fort-barraux,barraux,isère,interroge.ch,blog neidinger

    Ce fortin est désormais inscrit dans le parcours huguenot composé par l'association surlespasdeshuguenots.

    Cette frontière ultra précise entre France et Savoie est très symbolique pour les protestants. Car si ils y étaient attrapés par le Duc de Savoie en la franchissant, ils étaient renvoyés côté France à Fort-Barraux justement. D'où ils partaient en exil pour les...galères. Une mort assurée.

    A la lecture de cet article sur Fort-Barraux,  Jean d'Hôteaux émet son commentaire avisé:

    "Merci pour ce billet et les liens qui y sont assortis. Le tout fort intéressant !En découvrant Fort-Barraux (Isère) par le biais de votre blog, j'ai immédiatement pensé à la rue du Fort-Barreau à Genève, en me demandant si il pouvait y avoir une relation entre les deux, ceci malgré une orthographe différente ?
    Je me suis parfois demandé d'où cette rue, qui se trouve derrière la Gare Cornavin, tirait son nom. Serait-ce une trace des Huguenots de passage à Genève ? Cordialement !

    Le lien entre le Fort-Barraux lié au protestantisme et une rue de Genève nommée était très judicieux de la part du commentateur. Ce malgré la différence d'orthographe.

    Personne n'ayant pû ensuite donner la moindre information en commentaire, j'ai testé justement InterrGe sur le sujet.

    Le thème  correspond d'ailleurs parfaitement à la typologie de question à proposer à un service de bibliothèques. On peut comprendre qu'une question trop large du genre  : "pourquoi les oiseaux volent ?" ne conviendrait  pas trop à leur offre de service. Car les réponses dans ce cas partiraient en multiples directions : de histoire des espèces à  la portance de l'air. Soit plusieurs thèses universitaires avec bibliographies fournies...

    Retrouver le lien historique entre  Fort-Barraux et rue Fort-Barreau  est, lui,  à 100 % coeur de cible de cette recherche en ligne sur InterroGE. Car les bibliothèques genevoises possèdent effectivement  à la fois les ouvrages locaux et le savoir-faire des bibliothécaires qui connaissent leur fonds.

    Voici leur réponse :

    "Bonjour, Nous vous remercions d'avoir fait appel au service InterroGE, voici le résultat de nos recherches :

    La rue du Fort-Barreau, située dans le quartier des Grottes à Genève, nous est décrite dans "Le Dictionnaire des rues de Genève" de Jean-Paul Galland,
    http://data.rero.ch/01-1071672, à la page 62 :
    "Une auberge de ce nom était située dans cette rue. Elle existait depuis 1663 et fut démolie en 1900."

    Nous avons également consulté l'ouvrage d'Eugène-Louis Dumont "La Genève des Grottes" où la rue du Fort-Barreau est citée à deux reprises, mais sans plus d'explication, http://data.rero.ch/01-0983942.

    C'est le récit de Jean-Michel Olivier "Notre-Dame du Fort-Barreau" qui nous apprendra toute l'histoire, lisez à la p. 31 :
    http://bit.ly/1edmweN
    "... la rue du Fort-Barreau : Le nom est une réminiscence de l'occupation française : de 1798 à 1813, Genève devient un département de l'Empire napoléonien. Mais alors Fort-Barreau ? C'est le duc de Savoie, Charles Emmanuel 1er, vaincu par Lesdiguières, qui fait construire dès août 1597 un fort à Barraux, petit village de l'Isère sur la route qui mène de Chambéry à Grenoble. (...) Le Fort Barreau (ou Barraux) apparaît aussi dans les fameux "Voyages dans les Alpes" d'Horace-Bénédict de Saussure."

    Il y a donc bien un lien entre cette rue genevoise et le village de Barraux et son fort, situés dans la vallée du Grésivaudan en Isère.

    L'histoire de ce fort peut se découvrir à travers plusieurs sites web : http://www.fort-barraux.fr/ et http://barraux.reseaudescommunes.fr/fr/information/19159/fo
    rt-barraux
    et http://www.isere-annuaire.com/chateau/fort_barraux.htm.


    Nous espérons que ces éléments vous aideront dans votre recherche. N'hésitez pas à nous recontacter pour tout complément d'information ou toute autre question.  Cordialement,

    La Bibliothèque de Genève pour InterroGE

    http://www.ville-ge.ch/bge
    http://www.interroge.ch"

    Cette réponse nous apprend que le nom de la rue Fort-Barreau est lié à une auberge genevoise construite dans cette rue en 1663 et démolie en 1900.

    L'information InterroGe n'est pas complète. Il manque le rapport avec la protestantisme, avec le parcours huguenots, la montée de la Drôme, des Cévennes en direction de la Rome protestante !

    ville de genève,gresivaudan,rue fort-barreau,fort-barraux,barraux,isère,interroge.ch,blog neidingerIl manque la liaison  entre deux histoires transnationales, celle d'un bâtiment en France, gardien de la croisée des vallées dont celle du  Grésivaudan [qui voit la montée des protestants de la Drôme et de plus loin encore en direction de Genève] et celle de cette rue proche de Cornavin en Suisse.

    Les deux sites semblent liés par...la trace du passage des huguenots.

    Info extraordinairement significative:  l'existence d'une AUBERGE dans cette rue  signale justement une problématique de voyage, de déplacements.

    Des huguenots?

    Et cette découverte du lien entre Fort-Barraux et le protestantisme est justement celui décrit  dans  ....l'article du blog Neidinger daté du 24/8/2013.

    La boucle est bouclée: l'info part du blog, se booste par un commentateur actif (merci à lui)   passe par InterroGe et revient au blog pour conclusion provisoire sous réserve de recherches plus approfondies

    La "petite note d'un simple blog" vient d'aider à remettre en actualité numérique Fort-Barraux, perdu dans sa somnolence depuis la magnifique vallée du Grésivaudan qu'il domine.

    Le fortin  que des passionnés essaient de sauver de l'outrage du temps, s'avère être un site majeur dans l'histoire mémorielle  du protestantisme dans sa version douloureuse.

     Dont l'histoire précise  est très certainement à découvrir plus amplement encore.

    Par des recherches aux archives et ... dans les bibliothèques. De France et de Suisse.

                                                                                                                  Sylvie Neidinger

                                                                                       

    ville de genève,rue fort-barreau,fort-barraux,barraux,isère,interroge.ch,blog neidinger

    ville de genève,gresivaudan,rue fort-barreau,fort-barraux,barraux,isère,interroge.ch,blog neidinger

    Rubrique #Protestantisme