Malade. C'est la conclusion d'un article du un Point.qui fait ici un bon titre
Le bavardage de François Hollande s'apparente à une logorrhée.
Actuellement l'info surgit en raison du nombre hypertrophié de livres de journalistes sur lui et le nombre surréaliste d'entretiens (61 juste pour le davet/lhomme) et ce n'est qu'une petite partie du bavardage de François Hollande. Les entretiens dépassent la centaine juste pour trois livre. Ce alors qu'il aurait reçu la ministre des affaires sociales à peine trois fois...
Les estimations varient entre 30% et 60% du temps présidentiel consacré à son autopromotion médiatique. Les livres ce n'est rien. Dans cette analyse il faut ajouter les émissions et même dans son travail institutionnel, ses discours forts nombreux et forts longs souvent insipides.
Une caractéristique qui alerte: il parle de LUI, il s'écoute, se met en scène, rit de ses blagues, se décrit.
Ce #BlogNeidinger avec déjà signalé, bien avant la prise de conscience actuel le caractère BAVARD bizarre du président commentateur de son action et de facto commentateur de son inaction. Hier il était en Lorraine pour...parler de lui.
Cet article de septembre 2014 http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/archive/2014/09/20/conf-de-presse-elyseennes-100-surannees-259934.html
(dictionnaire) La logorrhée est un terme qui caractérise le besoin constant de parler. Le flux de parole est considérablement augmenté, et le sujet s'exprime pendant de longs moments. Elle est fréquemment associée à une tachyphémie qui s'en rapproche, mais caractérise une accélération de la vitesse du langage avec un flux verbal qui devient très rapide. La logorrhée peut être un symptôme d'une affection psychiatrique : état maniaque, schizophrénie... Elle témoigne souvent d'une tachypsychie associée, qui est une accélération du cours de la pensée.
La plupart du temps, la logorrhée est rencontrée chez la personne bipolaire - il s'agit du nouveau terme pour désigner la maniaco-dépression, caractérisée par le passage de phases de dépression avec tristesse, perte d'envie, baisse de motivation, repli sur soi, culpabilisation... et de phases maniaques avec tachypsychie, logorrhée, tachyphémie, comportement désinhibé, hyperactivité...
La logorrhée recouvre un besoin fort de parler, souvent de façon incohérente, généralement avec un débit rapide et continu.
Elle peut être associée à certaines maladies mentales, lorsqu'elle prend la forme d'une pulsion irrépressible de parole (troubles bipolaires par exemple). On constate aussi une logorrhée chez les enfants souffrant d'une hydrocéphalie.
Elle recouvre aussi par extension un langage verbeux et peu compréhensible qui couvre des banalités, des incohérences ou contrevérités, ou un manque d'argumentation claire.
On la nomme aussi diarrhée verbale ou incontinence verbale
Symptômes Les manifestations de la logorrhée sont aisément identifiables. Les patients logorrhéiques :
- parlent beaucoup et longtemps ;
- leur discours peut être décousu et passer du coq à l'âne. On parle parfois de fuites des idées ;
- la tachyphémie est distinguée en pathologie psychiatrique, mais elle est également très fréquemment présente sous la forme d'accélération du flux de parole.
Diagnostic
Le diagnostic de logorrhée résulte d'un simple constat, qui est souvent établi par les proches. Une famille de gens maniaques ou souffrant de troubles bipolaires identifie aisément un passage en phase maniaque de leur parent.
Étymologie
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Incontinence verbale (1) :
Une logorrhée (de logo-, la « parole » et de -rrhée, tiré du grec
A cette parole continue s'ajoute le caractère parfois abscons des phrases et les jeux de mots.
Cela décrit parfaitement François Hollande hyper bavard dont certains disent que quelquefois lui seul comprend sa pharese et son attitude de jeux de mots et blagues permanents.
Egotique, narcissique, il passe son temps à parler de lui, émerveillé par lui-même.
Il blague même sur le livre Confidences, nullement gêné avoir démoli magistrature, footballeurs, la gauche, le ps, Ayrault, validé les exécutions extra-judicaires...Consternant. Mais surtout signe de sa maladie.
(Lab Europe 1)"Comme s'il ne pouvait pas s'en empêcher, François Hollande a donc réussi à blaguer sur un sujet qui plombe sérieusement son avenir politique, et notamment ces livres qui auront perturbé son quinquennat.
Peu importe les polémiques, là avec ces "lâches" magistrats, là avec ces footballeurs pas bien futés, là sur ces révélations, au calme, sur des "assassinats ciblés" opérés par l'État. Peu importe les critiques lancées contre Jean-Marc Ayrault ou Claude Bartolone. Peu importe même qu'en coulisses, certains, et non des moindres, estiment que l'ouvrage discrédite considérablement le chef de l'État en vue de son hypothétique réélection. Peu importe tout ça pour François Hollande qui peut, contre vents et marées, compter sur sa légendaire bonhommie.
Car l'intéressé n'en démord pas : 1) il voulait absolument "restituer [son] action à chaque étape du quinquennat et 2) il ne faut pas sortir de leur contexte les différentes citations extraites du livre.
Une fois ces dispositions rappelées, il peut sans doute s'accorder quelques minutes de rigolade. "
Un média évoque le streep tease médiatique du Président avec la "parution en avalanche de livres d'entretiens accordés à la presse. Après "Jusqu'ici tout va mal" de Cécile Amar, "Le stage est fini" de Françoise Fressoz, "L'Elysée selon Hollande" d'Hervé Asquin, "Le pari" de Bastien Bonnefous et Charlotte Chaffanjon, "Le premier secrétaire de la République" de Cyril Graziani, "Ça n'a aucun sens" d'Elsa Freyssenet, "Conversations privées avec le Président" de Karim Rissouli et Antonin André, voici donc "Un président ne devrait pas dire ça" des journalistes du Monde Gérard Davet et Fabrice Lhomme." (Huffington post)
Des symptômes...
Un problème médical a priori ne concerne que l'individu en question.
Problème ici, il dirige un Etat.
Et compte en plus....se représenter!
Sylvie Neidinger