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RH-Ressources Humaines - Page 3

  • Le chef de service, son fils et les mots doux...

     "Ma petite boîte genevoise RH 2.0" est une nouvelle chronique d'anecdotes REELLES recueillies en entreprise à Genève.

    Chronique inscrite au sein de la rubrique RH du blog. Entreprises non citées.

     Quand certains évoquent les ressources humaines 2.0, on a la surprise de constater ici en Suisse, en 2018  des pratiques gratinées d'un autre âge.

    ...C'est ici l'histoire d'un chef de service qui, ayant des problèmes de nourrice visiblement menait régulièrement son jeune enfant carrément à son boulot un jour par semaine.

    Surprise pour tout le monde sur place d'autant que ce responsable est  d'une exigence extrême avec les autres. Surtout hiérarchiquement inférieurs.

    Il se permet lui, tout et n'importe quoi en revanche. Sa hiérarchie étant  non informée, évidemment.

    Les employés ne caftent pas à la direction au dessus, un peu lointaine (suisse alémanique)

     La venue de l'enfant se passe sur place dans la gentillesse évidemment.

    Mais l'histoire ne s'arrête pas là.

    Anecdote. Le petit bonhomme qui est présenté aux salariés écorche le nom de l'un d'entre eux. Ce qui a donné un sobriquet assez insultant. Rire général. Rire du salarié en question. Un peu jaune tout de même.

    La bonne humeur règne toutefois. Rire gras surtout  du père de la  progéniture, le dit  chef de service.

    L'anecdote banale serait déjà oubliée de tous.

    Sauf que le responsable va dès lors continuer  à  nommer ce salarié par le sobriquet en question et devant tout le monde. C'est tellement spirituel...

    On entre ici dans une phase qui peut alors  se nommer "insulte  à employé devant témoins". La nature du problème s'épaissit.

    L'employé  va attendre trop longtemps... plusieurs semaines avant de remettre en place son responsable précisément sur ce point de la manière insultante avec laquelle il s'adresse à lui.

     

                          LES VANNES SONT LACHEES

    En tout état de cause, à Genève, les vannes de l'insulte semblent être lâchées.

    Sur le ton de la plaisanterie,  ce même chef de service, après avoir cessé le fameux sobriquet lié à son fils, continue à animer les conversations de couloirs et de machines à café puis celles des  réunions formelles de travail en se jouant des identités, thème ô combien sensible. Sans filet.

    Toujours sur le ton de la semi plaisanterie, il annonce tout de go "j'aime pas les vaudois", "j'aime pas les français"'j'aime pas les frontaliers" "j'aime pas..."x et y.

    (il s'aime beaucoup lui...)

    A peine aime-t-il les genevois. Il n'est pas genevois d'origine.

    Ses parents viennent d'ailleurs et paradoxalement, l'individu passe son temps à jouer des identités du personnel qu'il a sous sa coupe.

     

       QUAND LES VALEURS PRONEES PAR L'ENTREPRISE NE SONT PAS SES VALEURS REELLES

     

    La direction cette fois a eu vent de ces paroles là. Et, surprise...n'en a rien dit!

    En Suisse, on n'aime pas celui qui organise une certaine rupture de consensus.

    Ici,  selon la hiérarchie, celui qui aurait   organisé la rupture de consensus n'est pas du tout.... le chef de service qui insulte les identités des employés mais bien le ou les salariés qui ont rapporté les paroles d'exclusion !...

    Le monde tourne à l'envers au bord du lac.

    A Genève, un chef de service peut donc  agir ainsi  sans retour de bâton....Cela se passe ainsi dans le meilleur des mondes.

    Dans une entreprise   qui prône évidemment toutes les valeurs de tolérance et de respect mutuel.... comme il se doit.

    L'hypocrisie, le différentiel  de la confrontation entre les valeurs morales respectées par cette entreprise   et son attitude réelle vis à vis du réel vécu est aussi importante que le débit du Rhône au Pont de la Machine.

                                                        Sylvie Neidinger

     

    (Blog Série n°15)

    Ma petite boîte genevoise RH 2.0"

    Dérive RH sur Genève: question de Röstigraben ou...autres explications?

    Le chef de service, son fils et les mots doux

    Quand le chef de service exerce en cachette un second job

    Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés

    Suisse à l'heure des RH de Grand-mère Eugénie

    LES RH suisses, le licenciement "guillotine" et l’entreprise… «guillotineuse»

                                 RUBRIQUE RH

  • Genève: quand le chef de service exerce en cachette un job...au bureau!

     "Ma petite boîte genevoise RH 2.0" est une nouvelle chronique d'anecdotes REELLES recueillies en entreprise à Genève.

    Chronique inscrite au sein de la rubrique RH du blog. Entreprises non citées.

     Quand certains évoquent les ressources humaines 2.0, on a la surprise de constater ici en Suisse,  des pratiques gratinées d'un autre âge.

     Ce jour, l'histoire  d'un chef de service embauché pour un job technique qui dérape, en cachette.

    Son profil a séduit la direction car   dans une période précédente, il avait travaillé pour une fiduciaire. Il a  de fait, carte  blanche et entière confiance de son employeur. Ce qui est parfaitement légitime.

    Faire du cost killing est une bonne idée pour toute entreprise.

    Rapidement, l'individu en place n'y va pas de main morte,  acharné à traquer tout ce qui lui déplait en omni-puissance.

    Au delà du droit, cet intermédiaire entre une direction et les salariés,  va rapidement avoir ses têtes et médire auprès de l'échelon supérieur sur des bases liées à  sa fantaisie plutôt qu'à la raison. Il va traquer  ceux qui pourtant  "connaissent bien  leur job", leur métier, qu'ils exerçaient ...fort bien dès avant l'arrivée du sire.

                 SON ORDINATEUR PERSONNEL ALLUME AU BUREAU !

    Fait époustouflant, à certaines périodes de l'année, ce chef de service arrive au bureau avec son propre  Pc qu'il garde allumé tout la journée, posé ...à côté de l'ordinateur de l'entreprise.

    Certains employés ont vu sur cet écran de la comptabilité non liée à leur boîte. Il se dit qu'il bosse pour une comptabilité ...externe.

    Bien entendu les salariés qui voient le petit manège  sont polis et ne dénoncent pas cet état de fait à la direction. D'ailleurs quelle preuve produire...Leur parole se serait pas écoutée."dénoncer " n'est pas non plus une action digne.

    Bien élevés, ils ne signalent pas le comportement illégal  de celui qui lui, dénonce en permanence à l'échelon supérieur les comportements des salariés qu'il juge atypiques... vu de sa fenêtre .

    C'est un cas de figure inédit.

    Jamais entendu parler et nulle part avant  de ce fait divers dans le monde RH.

    Inédite cette large distorsion morale et légale entre la lessiveuse que ce chef de service fait passer aux autres et son comportement carrément illégal qu'il s'autorise, tout puissant.

    Son attitude de celui qui visiblement ne rend de compte à personne (hormis une comptabilité pour fiduciaire, pour particulier ami ?  )

    On connaît dans le tiers monde le cas de l'employé qui n'est à pas son poste car il est à son deuxième travail. Ici, le deuxième boulot se pratique dans les bureaux du premier !

    Cela se passe à Genève dans un univers où normalement les RH sont professionnelles.

     Employés dépités, impuissants.

    La Direction ne voit rien. Elle est à Zurich. Tout va donc pour le mieux dans le meilleur des mondes.

                                                          Sylvie Neidinger

     

    (Blog Série n°15)

    Ma petite boîte genevoise RH 2.0"

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    Le chef de service, son fils et les mots doux

    Quand le chef de service exerce en cachette un second job

    Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés

    Suisse à l'heure des RH de Grand-mère Eugénie

    LES RH suisses, le licenciement "guillotine" et l’entreprise… «guillotineuse»

                                 RUBRIQUE RH

     

  • Genève. Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés!

    "Ma petite boîte genevoise RH 2.0" est une nouvelle chronique d'anecdotes REELLES recueillies en entreprise à Genève.

    Chronique inscrite au sein de la rubrique RH du blog. Entreprises non citées.

     Quand certains évoquent les ressources humaines 2.0, on a la surprise de constater ici en Suisse,  des pratiques gratinées d'un autre âge.

    Juste pour dire que cela existe bel et  bien au bord du lac,  en 2017 et en  2018.

    Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés

    Le chien du chef de service visiblement s'ennuie à domicile et perturbe le voisinage par ses aboiements intempestifs.

    Du coup son maître  a décidé de mener  son animal de petite taille, mais fort en gueule (c'est proportionnel..)  avec lui, sur son lieu de travail.

    On ne sait jamais, dès fois qu'il pourrait le ranger dans un tiroir...? Dans la boîte à trombones ? Sous la machine à café?

    Le chihuahua se trouve malheureusement très perturbé par tous ces individus qu'il croise au bureau.

    geneve,chien au travail,rh,rh 2.0,mordre,chienAgressif, il s'attaque aux pantalons des employés.

    Il se rue, toutes dents sorties sur le  textile des salariés qui ont le malheur et surtout la... prétention d'oser se déplacer au sein des locaux professionnels.

    Score à ce jour : deux bas de pantalons de deux personnes différentes troués.

    Sur place, on est prié de rire.geneve,chien au travail,rh,rh 2.0,mordre,chien

    On doit  plaisanter  autour et avec le toutou du chef de service: c'est si mignon, ces petites bêtes....

    La Direction au dessus, informée tardivement (car les salariés en question, d'une grande dignité eux,  ne sont pas cafteurs)  n'a finalement rien trouvé à redire.

    Il faut dire que la Direction, basée  à  Zurich, ne voit pas grand chose à Genève. Ni le chien , ni le reste.

    Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes...

       

                                                          Sylvie Neidinger

     

     

     

     

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    Ma petite boîte genevoise RH 2.0"

    Dérive RH sur Genève: question de Röstigraben ou...autres explications?

    Le chef de service, son fils et les mots doux

    Quand le chef de service exerce en cachette un second job

    Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés

    Suisse à l'heure des RH de Grand-mère Eugénie

    LES RH suisses, le licenciement "guillotine" et l’entreprise… «guillotineuse»

                                 RUBRIQUE RH

     

     crédit images capture d'écran

  • LES RH suisses, le licenciement "guillotine" et l’entreprise… « guillotineuse »

     La guillotine n’est pas du tout un instrument  culturel suisse. L’exemplaire historique que possède la maison Tavel (Genève) fut en usage au bout du lac lorsque la France installait un Département  du Léman à la période révolutionnaire.

    Pour autant il est un domaine où la guillotine s’abat régulièrement sur les têtes en Suisse : le secteur professionnel !

     Ce que je nomme « guillotiner » c’est basiquement  le fait 1) de dire à un employé qui arrive le matin que d’une part il ne fait plus partie des employés, ce qui arrive... cela se nomme un licenciement !

    ...mais  en plus 2)  de lui demander de quitter les lieux  dans la journée, qu’il ait 10 20 ou 30 ans d’ancienneté.

    Une méthode fort  cavalière ! Autre terminologie: la  "mise à pied". Ce vocabulaire est d'ailleurs issu de la cavalerie...quand il était demandé au cavalier de descendre du cheval. C'est à dire de vaquer aux tâches basiques.

    Une expérience potentiellement traumatisante telle que décrite par une employée de Globus partie dans la journée « comme une voleuse » et ce après dénigrement -selon elle- "vous êtes nulle".

    Cas rapporté, un employé  ayant subi un tel licenciement est aujourd'hui déclaré "disparu" par sa famille. Toutes les hypothèses sombres le concernant sont permises.

    La méthode est potentiellement traumatisante.

     Toutefois certain choisissent  d'en rire. « Si une entreprise tombe si bas à employer ce genre de méthode injustifiée par rapport au dossier,  qu’est-ce que je faisais à bosser pour elle ? ». Pas une minute de plus pour cet employeur indélicat....

     

    LE LICENCIEMENT PARTICIPE  AUSSI DE LA SOUPLESSE DU MARCHE DU TRAVAIL

     Sur le mode de licencier en général: dans tous les cas de figure l’annonce d’un licenciement n’est jamais agréable à entendre. Les médias suisses évoquent régulièrement des cas d’une inhumanité particulière, pas seulement dans le fait de licencier mais dans la procédure, par une mise en oeuvre problématique.

    Toujours chez Globus : une employée mise à pied  déplore de l'avoir appris dans le couloir ….devant ses collègues.

    Il y a plus fort. Dans certaines entreprises mal ficelées, tout le personnel peut même être  informé.... avant la personne concernée ! C’est une claire atteinte à la dignité. Une méthode sauvage, de pratique courante.

                          DROIT DU TRAVAIL SUISSE: FAIBLE RECOURS

    Le marché du travail est comme son nom un ...marché. Donc une croisée de chemins entre une offre et une demande.

    Sur le fond, il n’y a pas à remettre en cause le licenciement,  le parfait droit de l’entreprise. Il rend  le marché du travail hyper souple. Et la souplesse profite à tous.

     On débauche, on embauche facilement. L’employé peut lui aussi aller voir ailleurs si l’herbe est plus verte !

    Il y a bien un  droit du travail mais évidemment pas de droit obligatoire au travail.

     En Suisse,  le droit du travail   est relativement  peu développé au regard de l’hypertrophie du voisin  français (juste comparer le volume des textes juridiques) On peut même licencier à Genève  sur une argutie juridique légère et vague appliquée à toutes les sauces "la rupture du lien de confiance".

    Attention. Le problème se pose  tout de même quand on se débarrasse si facilement au passage des employés  âgés.   Comme le cas récent ABB Sécheron.

    Cette attitude  du jetable (quand âge mûr) n’est certes  pas propre à la Suisse. Le doux gag pour les individus de  s’entendre dire « à trente ans ne pas être assez expérimenté mais à 45 déjà trop vieux ! » est finalement international.

    Toutefois, le fait de licencier facilement à la journée et pour motifs relativement futile semble hyper courant en Suisse.

     

    LE LICENCIEMENT GUILLOTINE POUR HUMILIER HUMILIE AUSSI… L’ENTREPRISE QUI PROCEDE DE LA SORTE

     

    Attention à l'effet boomerang facilement détectable en termes de communication : le mauvais retour d’image de l'employeur.

     Cette méthode qui consiste à   demander à un employé au matin de son arrivée de quitter les lieux immédiatement est une pratique sauvage.

    A y réfléchir, l’employeur gagne-t-il à exercer cette violence interne publique (publique au sens « devant tous les employés ») ?

    Probablement pas car son image sociale est en jeu !

    On ne parle pas spécialement ici de l’image évidemment négative issue des éventuels articles de presse consécutifs type Globus ABB Sécheron   cités. Car tous les licenciements ne sont pas médiatisés.

    On évoque ici les entreprises qui en catimini sans tambour ni trompette procèdent de la sorte.

    Quand ce genre de demande de départ immédiat  se produit ( et pour un motif non lié à une « faute grave » sur laquelle le consensus ..moral est de mise et accepté par tous comme  pour un  vol par exemple)  la société qui procède ainsi se met dans de sales draps.

                                          EMPLOYES KLEENEX

    Tous les autres salariés dès lors  face à ce qui est vraiment une "mise en scène couperet" de l’employeur se disent qu’ils peuvent eux aussi devenir un jour  cet employé kleenex littéralement jeté dans la journée.

    Cela jette un froid.

    Celui qui bosse à outrance  le week-end pour sa boîte, qui répond tard le soir à ses courriels depuis son domicile peut finalement réduire son activisme, sachant à quel point l’employé est une brindille jetable.

     Pour analyser l'image retenue et conclure,  quand il y a exécution, en Suisse, par  guillotine sur le lieu de travail, devant collègues:

    -Il y a du sang : ici le malaise interne qui suit.

    -Il y a des spectateurs : les salariés devant le spectacle de cette mise à mort immédiate.

    -Il y a surtout un bourreau. Et l’entreprise de se coltiner malgré elle l’image de « guillotineur »....

     Son choix. En toute "souplesse" du droit du travail suisse.

                                                                                         Sylvie Neidinger

    suisse,rh; licenciement guillotine,mise à pied

     

     

     

    (Blog Série n°15)

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    Dérive RH sur Genève: question de Röstigraben ou...autres explications?

    Le chef de service, son fils et les mots doux

    Quand le chef de service exerce en cachette un second job

    Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés

    Suisse à l'heure des RH de Grand-mère Eugénie

    LES RH suisses, le licenciement "guillotine" et l’entreprise… «guillotineuse»

                                 RUBRIQUE RH

  • Suisse à l'heure des RH de grand-mère Eugénie

    L'édito de Stéphane Haefliger, directeur RH, CBH Compagnie bancaire helvétique, pour la newsletter  du Salon RH  de Genève version 2017 soulignait avec humour un certain passéisme des ressources humaines locales qui côtoie le plus avancé.

     En fait, le plus avancé côtoie le plus ringard.

     "Notre communauté RH se trouve  propulsée dans le nouveau monde: internationalisation, recrutement 3.0, « ubérisation », digitalisation, robotisation, big data, e-leadership, management intergénérationnel, MOOC, et j’en passe.

    Que de perspectives stimulantes et fascinantes! Mais que de défis...
    Entre nous, sommes-nous réellement capables de les relever?
     
    Et lui de constater les blocages pour imposer un nouveau visage des RH : 
    "mais nos efforts semblent encore contrecarrés par les logiques
    conservatrices des organisations, par des conceptions métiers obsolètes (ah!
    le temps bénis des chefs de personnel), par des logiques budgétaires castratrices
    ou pire par une conception moyenâgeuse du design organisationnel"
     
    L'expert en appelle même à sa grand-mère Eugénie  !!!! Laquelle lui rappelait sans cesse que "l'échelon du haut ne vaut que par celui du bas."
    Dans un même système hiérarchique, il ne peut effectivement y avoir de la gestion RH 3.0 pour les cadres et du ringard pour les "échelons inférieurs".
     
    Mais ce qui étonne le plus en Suisse : des lieux de travail encore au XIXème siècle.
     
    Je connais une entreprise  où le chef vient avec son toutou. Lequel a déjà "bouffé" deux bas de pantalons d'employés.
    Le chien du chef ? On est prié d'en rire et de ne pas se plaindre !
    Rien que du très normal dans cette "boîte".
    Ses supérieurs ne sanctionnent pas  ...
    Bizarroïdes, les "Ressources Humaines  suisses de papa", ou plutôt de ...mamie Eugénie.