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Société- FEMME/HOMME - Page 2

  • Paris, Ministère de la culture urinaire

    L'affaire révélée du haut fonctionnaire du Ministère de la Culture, DRH pervers qui droguait les femmes postulantes  aux diurétiques pour mieux les voir uriner ensuite, les filmer, noter sur des fichiers excel choque.

    Les faits sont gratinés. Mais surtout la durée. L'individu a sévi une dizaine années. Les signalements étant mis de côté.

    Le scandale majeur étant la protection de cet homme par l'Administration. Ni les ministres de la culture Fleur Pellerin et ensuite Audrey Azoulay n'ont lancé une enquête suite aux alertes  de victimes.

    Cette semaine  ressort l'affaire Polanski avec un nouveau témoignage de femme Valentine Monnier qui dit avoir été violée en Suisse par le réalisateur en 1975. (sa parole/prescription des faits)

    Elle intervient publiquement, choquée elle aussi de voir le réalisateur  Polanski affirmer que son film J'accuse (qui sort cette semaine) est aussi pour lui une accusation de ceux qui l'ont accusé lui (cf le dossier de presse du film)

    Récupérer ce que subit le capitaine Dreyfus au XIXème siècle pour contrer les accusation de  viols (dont plusieurs établies devant la Justice) est juste inadmissible de la part de Polanski.

    Le  mouvement #MeToo semblait aller un peu loin dans les dénonciations en mode procès publics médiatiques  pouvant être diffamatoires. Semblait. Car depuis cette dénonciation les affaires sortes!

    Au vu de ces deux affaires récentes, celle du ministère de la culture  l'urine et celle du réalisateur violeur Polanski qui ose récupérer Dreyfus à sa cause, il est effectivement TEMPS que la parole des femmes s'exprime. Et que les actes délictueux soient jugés.

    Les tribunaux (les vrais, pas les médiatiques) sont là pour trier les faits et les diffamations éventuelles. 

                                                     Sylvie Neidinger 

  • Médias français machistes: Julie Graziani virée très... incorrectement!

    Certes Julie Graziani a commis une bourde en stigmatisant la femme célibataire. Mais fallait-il pour autant la virer manu militari comme une malpropre. 

    Sa position de la chroniqueuse est hyper raide"lundi 4 novembre, invitée de l'émission "24 Pujadas" sur LCI, la chroniqueuse réagissait au témoignage d'une femme célibataire face à Emmanuel Macron lors d'un déplacement à Rouen. "Seule avec deux enfants, au smic, je ne vois pas trop comment on peut s'en sortir", déplorait-elle. "Qu'est-ce qu'elle a fait pour se retrouver au smic ? Est-ce qu'elle a bien travaillé à l'école ? Est-ce qu'elle a suivi des études ? Et puis si on est au smic, il ne faut peut-être pas divorcer non plus dans ces cas-là", avait estimé Julie Graziani. "

    C'est un scandale derrière le premier et que personne ne souligne! Aucun média ne critique cette hyper rapidité. D'autant qu'elle réagit comme INVITEE et exprime son opinion.

    Aucun média ne vole à son secours.

    Avec quelle facilité et rapidité on élimine les femmes en France.

    On se souvient des Jupettes ; ce féminicide politique sous Juppé qui vire les femmes de son équipe six mois après pour en garder 12% .

    Le polémiste Zemmour  développe lui ses insanités que la Justice reprend au vol. Il a toujours son poste au Figaro et autres cuisines médiatiques.

    Une sorte de "bienséance" générale applaudit à tout va l'élimination guillotine de Julie Graziani, polémiste de sensibilité droite traditionaliste catho.

    Dans une démocratie, elle  représente une tendance de l'opinion. On peut ne pas être d'accord avec elle. Mais rester juste choqué de voir avec quelle facilité on trucide médiatiquement une femme.

    Elle réagit sur Twitter

    France: machisme pas mort. #Féminicide journalistique avec bénédiction médiatique, en silence sur la méthode et la rapidité.

                                                                 Sylvie Neidinger

    #féminicide,julie #graziani,l'incorrect,guillotine,jupettes,#scandale,#féminisme,#machisme

     

  • Kechiche, voyeuriste à Cannes... déconsidéré. Le Festival avec!

    Comment le Festival de Cannes a-t-il pu inscrire en sélection officielle le non-film de Abdellatif Kechiche lors de cette 78ème édition?

    "Intermezzo" donne selon un témoignage:  20 mn de cinéma + 3h  de porno !

     

            VERNIS INTELLECTUEL (Ô PICASSO...) POUR DU... PORNO VOYEURISTE

     

    Le réalisateur  se complet, se plait à filmer des corps féminins nus et sexualisés (pas des corps masculins nus ...) en  de longues séquences pornos.

    Des fesses, des fesses, des fesses. Overdose de fesses. 

    Suite à la projection, Abdellatif  Kechiche déboule en conférence de presse pour défendre son "oeuvre" supposée être   «d’inspiration impressionniste et cubiste» selon lui.

    Présentée avec un vernis intellectuel en plus ! "Pour beaucoup de spectateurs, la séance aura été plus synonyme de porno que Picasso. Les fesses, il y en a un paquet dans cet intermède. À croire que le réalisateur de La Vie d’Adèle rentrerait dedans avec sa caméra s’il le pouvait."dixit. Accusé de "male gaze" (voir infra en pied d'article) 

    Le degré Zéro artistique atteint.

    Un second Harvey Weinstein????

    Kechiche : un probable pervers qui exige en tournage de ce film des scènes de sexe réelles.

    Les actrices et acteurs  refusèrent. Il leur distribue alors de l'alcool, les épuisant par des tournages de nuit pour qu'ils "craquent" et acceptent ses désirs pervers.

    Kechiche est en état de récidive car les actrices avaient DEJA dénoncé le tournage de La Vie d'Adèle :" Léa Seydoux et Adèle Exarchopoulos n'avaient pas démenti les pressions du réalisateur pour obtenir la scène parfaite : d'abord au Daily Beast où elles ont avoué qu'elles ne voudraient plus travailler à nouveau avec lui, puis au Magazine Première à qui elles ont raconté en détail les conditions d'un tournage qui s'est avéré une expérience traumatisante, voire un calvaire."

    A l'heure où les femmes du cinéma ont lancé un arrêt à leur instrumentalisation avec le mouvement #MeToo , à Hollywood ,  ce non-film cannais détonne.

    Le même dégoût gagne. Les spectateurs ont quitté en masse la projection: du jamais vu. L'actrice principale, une certaine Ophélie Bau aussi ! Débandade...

    Qui a financé le film de Kechiche?

    Dans quelle société vit-on ? Les corps féminins nus placardés à outrance dans les pubs des couloirs de métro, des magazines est devenu  une habitude,  les longues scènes sexuelles féminines en sélection officielle à Cannes. Corps de femmes devenus objets d'un mâle voyeurisme.

    Que Kerchiche soit pervers est une chose.

    Qu'il traite d'imbécile le journaliste de l'AFP qui pose des questions sur la plainte pour agression sexuelle contre lui est une chose. ( plainte issue d'une actrice)

    Qu'il obtienne tous les financements pour filmer sa vision malade et qu'il obtienne une sélection officielle dans la mecque du cinéma, Cannes en plus est juste insensé.

    Ce voyeurisme "artistique" sur le corps de la femme n'a donc pas de limite??

    A vomir !

                                                  Sylvie Neidinger

     

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  • Banlieues: Macron dit être un "mâle blanc s'échangeant un rapport " !!

    Analyse sémiologique. L'expression employée par Macron a fortement  choqué ce mardi 22 mai.

    1-Le président  a enterré le plan banlieues que lui présentait l'ancien ministre de la ville Jean-Louis Borloo et commandé par lui "Vivre ensemble, vivre en grand, pour une réconciliation nationale" pour ne RIEN FAIRE à la place.

    " Pas de plan banlieues "a-t-il martelé à multiples reprises. Ce, juste la semaine de fusillades contre policiers à Marseille et  Grenoble. Une élue, choquée, Sylvie Thomassin maire de Bondy a quitté la salle de l'Elysée en colère avant la fin. Plusieurs maires se disent écoeurés.

    2-Macron a  en effet discouru une heure et demi "comme un instit face à sa classe" dira-t-elle alors qu'il promettait de faire court.

    Il use comme à son habitude d'une logorrhée. Lui qui avec morgue, avait  annoncé lors de son installation que sa présidence ne serait pas bavarde. Comparé aux verbiages de François Hollande, ce n'était pas difficile a priori...

    Pourtant Macron semble aller vers une des présidences les plus verbeuses qui soit. 

    3-Non seulement il parle beaucoup mais avec des paroles non conformes à  sa fonction. Un choix de vocabulaire inadapté.

    Son argument pour justifier de  ne rien faire  de la proposition Boorlo choque.

    On le cite:« Quelque part ça n’aurait aucun sens que deux mâles blancs [lui-même et M. Borloo], ne vivant pas dans ces quartiers, s’échangent l’un un rapport et l’autre disant on m’a remis un plan, je l’ai découvert. C’est pas vrai, ça ne marche plus comme ça »

    La classe politique est outrée, à droite et extrême-droite  évidemment. Pas seulement:  les éditorialistes aussi (Sophie Coignard : un président ne devrait pas dire ça)  . Et d'autres!!

     

    "MALES BLANCS S'ECHANGEANT DES RAPPORTS": ANALYSE SEMIOLOGIQUE...

    1-Mâles : on rencontre régulièrement cette expressions genrée dans les séries ....animalières. Bon, comparer même indirectement banlieue et animaux...ça fait un peu zoo.

    2-Blanc: Macron  introduit ici le communautarisme anglo-saxon et particulièrement américain. Pays où l'on classe par couleurs et "origines" sinon races. Les blancs y sont qualifiés de caucasiens. Hyper choquant pour un président français que d'usiter ce vocabulaire d'une culture atlantiste.  

    "Blanc" c'est ouvrir une différenciation en technicolor. Comme Macron, on va en France désormais parler de blancs, jaunes, noirs, café au lait, rouges????? La parole de Macron tient  du ici racisme pur car de différenciation basée sur couleur de peau!

    3-L'expression "mâles blancs" se rencontre en France chez les Indigénistes, ces racistes anti-blancs. Que Macron popularise leur terme de prédilection est scandaleux. 

    4- Mâle fait penser à mâle dominant/dominé. A propos de Macron, ces termes sont précisément revenus dans la presse américaine lors de la récente visite d'Etat à Washington à propos de la gestuelle particulière des deux hommes qui se touchaient beaucoup. Leur "bromance" a fait rire aux USA et ailleurs.

    5-Pour prendre conscience de la trivialité du terme "mâle blanc"  employé par le chef d'état, on le fait passer dans ses oppositions sémantiques . Femelle blanche ? Valérie Pécresse lui répond"« J'ai été profondément choquée par ses propos sur les mâles blancs qui ne peuvent pas parler des banlieues. Je suis une femelle blanche et je revendique d'avoir quelque chose à dire sur ces quartiers populaires. Il ne faut pas ouvrir la porte au communautarisme [...]. Racialiser le propos politique est plus qu'une erreur, c'est dangereux pour l'avenir », a lancé la présidente LR de l'Île-de-France."  "Femelle jaune", rouge, noire ? Quelle folie de Macron...

    6- Point n'est besoin d'être psychanalyste pour une lecture ouverte psy derrière les mots. C'est assez incroyable que  Macron lui même vienne dire  "deux mâles blancs qui s'échangent des rapports": c' est pile  l' image de l'homosexualité masculine  employée ici en toute inconscience de la lecture sous-jacente.

    Il vient lui même apporter de l'eau au moulin de la rumeur sur ce thème à son propos. Rumeur par ailleurs démentie. Allez comprendre...  

    On se moque finalement de qui il est ou n'est pas, refoulé ou pas. C'est sa vie privée. 

    Mais dans le Saint des Saints, le palais de l'Elysée  il  a usité une terminologie sexuée et raciale (= mâles blancs en rapport) totalement déplacée.

    Ce pour discours sur la banlieue:  totalement inadapté!

    7- La France ne s'est jamais reconnue politiquement par une couleur de peau! (édito sévère de Rioufol)

                             SCANDALEUX  POUR UN PRESIDENT

    Finalement, en enquêtant  on  s'aperçoit que Macron emploie très souvent l'expression de "mâle blanc".... à propos  de lui et de  tout ! De l'intelligence artificielle, de ses études, des recalés du gouvernementconfidence à une ancienne de sciences po, etc.

     C'est un trait  narcissique.

    On se souvient alors que pendant sa campagne, il s'était  comparé sans rire  au Christ, à Jeanne d'Arc, à Napoléon. Alors ajouter les mâles blancs ne le rebute pas...

    La  bizarre insistance de Macron  à se comparer à un "mâle blanc" ouvre aux psys un champ immense d'analyse.  Mais  eux seuls peuvent le faire. Et c'est une donnée privée le concernant.

    "Mâles blancs en rapport " est juste inconvenant à prononcer pour un président de la république  dans une prise de parole publique.

    On le répète, surtout  à l'Elysée et à propos des ...banlieues pour lesquelles il martèle avec insistance qu'il n'y a  "pas de plan" !

    Deux journalistes  publient une analyse des "Un an" de discours d'Emmanuel Macron. Livre intitulé " Le poids des mots " Adrien Gaboulaud et Anne-Sophie Lechevallier se sont plongés dans ses mots. Ils ont passé au tamis de leur logiciel 68 discours du candidat (premier et second tours) et 229 discours du chef de l’Etat. Soit quelque 2,1 millions de mots triés, compilés et disséqués. "

    Avec les expressions type "les gens qui ne sont rien" et autres "mâles blancs"...

    Signe d'une présidence hyper bavarde. Il parait que cela promet. A suivre...

                                                                                                                                                                                                    Sylvie Neidinger

     

  • Les Carmen et Eleanor tempêtent contre l'usage météo de leur prénom !

    Je connais des Carmen qui ne furent pas à la fête en cette période de réveillon.

    Des Eleanor aussi. Voire des Eléonore.

    Deux tempêtes majeures s'abattent sur l'Europe et se voient baptisées par un prénom. Humain par définition.

    Les femmes concernées ont pu subir de l'humour un peu gras en cette période.

    Et trouver choquant l'association entre leur prénom à des cataclysmes qui entraînent la mort.

     

                                                         RAPPEL HISTORIQUE

     

    Un évènement cyclonique partage avec un humain le fait d'être historiquement  unique car daté dans le temps et dans l'espace. Il nait. Il meurt.

    Il est dès lors important de le nommer.

    On pouvait choisir un banal numéro. (genre A 6709  ou B2375)

    Des noms furent utilisés puis des prénoms, Selon cet historique:

    "Dès le début du XXe siècle, on a commencé à baptiser les phénomènes météorologiques. C’est le météorologue australien Clement Lindley Wragge qui a, le premier, nommé les cyclones après des personnes. Il choisissait à l’époque des noms issus de la mythologie polynésienne ou des noms de politiciens.

    Attribuer ces noms permettait alors une meilleure communication avec le public et entre les experts eux-mêmes.

    Par la suite, pendant la seconde guerre mondiale, ce sont les militaires américains qui ont pris l’habitude d’appeler les tempêtes selon les prénoms de leurs femmes. À partir de 1950, le BUREAU METEOROLOGIQUE AMERICAIN a commencé à nommer systématiquement les cyclones selon l’alphabet phonétique, puis dès 1953 selon des prénoms féminins, soit disant pour refléter la croyance populaire que les humeurs des femmes sont aussi imprévisibles que les ouragans.

    Il faudra attendre 1979 pour les mouvements féministes, mécontents de cette association négative, obtiennent gain de cause et une alternance dans le genre des prénoms attribués aux tempêtes.

    Aujourd’hui, l’Atlantique Nord utilise 6 listes annuelles réutilisées tous les six ans. Elles ont été définies par le Centre nationale des Ouragans (National Hurricane Center) de Miami, en Floride et comprennent chacune 21 prénoms, le premier commençant par la première lettre de l’alphabet, et ainsi de suite. Seules Q, U, X, Y et Z ont été exclues à cause du manque de prénoms commençant par ces lettres.

    Par ailleurs, les noms des ouragans les plus fatals ne sont pas réutilisés. Il n’y aura donc pas un deuxième système appelé Katrina. Les cyclones féminins sont les plus meurtriers.

    Mais ce changement a donné place à l'interprétations des statistiques. Des chercheurs en sciences de la communication et en statistiques on publié en juin 2014, dans la revue américaine Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS), une étude démontrant que les cyclones du genre féminin sont les plus meurtriers.

    Loin d'être une blague, l'article s'appuie sur les données de 94 cyclones tropicaux ayant frappé les États-Unis entre 1950 et 2012, en excluant cependant Katrina (2005) et Audrey (1957) tant leur caractère hors norme auraient pu altérer les résultats

     Selon l'étude, le bilan humain serait plus lourd lorsque l'Ouragan porte un nom de femme. «Un ouragan avec un nom à consonance masculine cause en moyenne 15,15 morts tandis qu'un ouragan avec un nom féminin tue environ 41,84 personnes», peut-on lire dans l'article.

    Selon l'auteur, ce constat s'expliquera par le report des préjugés de genre. Ainsi, une tempête appelée Victoria ferait moins peur qu'une tempête appelée Victor, et donc la perception du risque (et de sa prévention) en serait différente. 

    Conclusion ? Selon l'auteur, il faudrait « inventer un nouveau système d'appellation pour réduire l'influence des préjugés sur l'évaluation des ouragans et permettre une amélioration de la préparation».

                                            ASSOCIATION NEGATIVE

     Comme indiqué, les féministes ont commencé à juste titre à s'offusquer de cette association systématique et négative. Les humeurs des femmes étant supposées tempétueuses...

    Elles sont supposées avoir  obtenu gain de cause avec usage d'un prénom féminin puis masculin.

    Alors pourquoi Eleanor succède-t-elle à Carmen ?? Les Eleanor n'ont pas changé de genre ! La tempête devait se nommer David dans le système de coopération météo français-portugais-espagnol.

    Mais comme elle a touché la côte irlandaise, c'est le système irlandais-anglais qui a choisi. D'où la succession de deux prénoms féminins.

                                            LES VOITURES AUSSI...

     Dans le même registre du détournement des prénoms, on peut également s'offusquer de voir les fabricants de voitures nommer ces objets commercialisés par des prénoms féminin (zoé, mégane etc..) les prénoms devenant carrément des marques commerciales.

    Traditionnellement un prénom est lié au calendrier en lien avec un Saint. Une manière de sacraliser, de mettre cet enfant qui nait dans une tradition hagiographique en disant en quelque sorte "bienvenue dans la communauté des humains". On ne peut nommer un enfant "lit" ni "chaise."

    Les grecs anciens nommaient leur dieux : Athena, Zeus...

    Il est donc inconvenant dans l'autre sens d'attribuer un prénom réservé aux hommes, aux saints et aux "dieux" à un objet pour en retirer profit commercial..

    Pourquoi d'ailleurs  nommer les tempêtes par des prénoms qu'ils soient masculins ou féminins???

    Donner des prénoms à des phénomènes  météos graves est une pratique récente....confuse.

                                                                                     Sylvie Neidinger

     

     Suite: Prénom Carmen. Pour revenir aux Carmen, se souvenir que pour commencer, elles se font trucider à l'opéra !(rire..) 

    L'individu qui reçoit à la naissance le prénom connu d'Antigone reçoit de facto autour de cette dénomination une histoire longue, antique mais elle tient  du registre de" l'humain"  et pas d'un phénomène physique météo  ni d'une voiture.

     

    SUITE en 2022: Encore une tempête au prénom féminin : Fiona