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Le Blog de Sylvie Neidinger - Page 123

  • Vocabularia: vivre "aux dépens" ou "aux "dépends" de?

    Dans mon dernier article sur la saga Johnny (cf il  doit  demander pardon à Laeticia en outre.... )  j'avais écrit :

    "En plus de lui léguer sa fortune aux dépends des enfants de sang, Johnny devait aussi se faire pardonner devant celle qui apparait en mante religieuse ( Charlie) dans le cadre de la succession opaque".

    Puis corrigé en "aux dépens" renseignements orthographiques pris.

    Toutefois le doute était permis car la sémantique validait les deux options autour des terminologies liées, chacune ayant du sens pour le propos.

    1) aux dépens (es)

    2) aux dépends au sens du verbe dépendre, dépendance.

     

    Aux dépens, de dépenser est finalement la bonne écriture.

                                                 Sylvie Neidinger

     

    #blogneidinger Rubrique Vocabularia.

     

                                           Rubrique PEOPLE Hallyday Johnny

          

  • "Fired" contre "Poubelle de l'histoire" : bateau ivre au sommet de l'Etat Trump

    An II, Donald Trump  est en roue libre .

    Il limoge à tour de bras en toute violence. Par les actes. Par le contenu des tweets puérils et diffamatoires (cf: son ancienne adversaire nommée... "Clinton la Crapule" comme dans un conte pour enfants)

    Cela donne une image désastreuse des USA.

    Dernière mesquinerie en date, le limogeage de Andrew Mc Cabe à  trois jours de sa retraite, le pénalisant de fait d'un montant correct.

    Vidé. "Fired". Combat de coqs par tweets. La série de téléréalité de troisième zone bling bling d'un milliardaire  en poste pour soit disant "diriger" se joue quotidiennement. Dans la boue.

                                                  DERIVE

    La gouvernance US donne le spectacle pitoyable d'un bateau à la dérive qui toutefois entend continuer à régenter le monde.

    Donald Trump attaque frontalement les institutions de son propre pays! Ici le FBI qui  enquête sur lui.

    A ce limogeage, les responsables à titre divers du service de renseignement visé réagissent.

    James Comey répond....sur les réseaux sociaux qu'il va donner des infos sur Trump dans un livre à paraître en avril prochain. Il demande non pas au président mais  aux américains de  juger la présidence Trump au regard des éléments à venir. Il prend le pays à témoin.

    L'attaque en défense de l'ancien directeur de la CIA Eric Brennan est plus violente encore et incroyable. Qui pouvait imaginer avant la présidence Trump un tel linge sale lavé en public de la part d'institutions aussi ...secrètes que la CIA?:#blogneidinger,#usa,andrew mac cabe,limogeage,bateau ivre,#trump,#cia,eric #brennan

    "Lorsque l'étendue complète de votre vénalité, de votre turpitude morale et de votre corruption politique sera connue, vous occuperez votre juste place parmi les démagogues déshonorés dans les poubelles de l'histoire", a tweeté John Brennan ce samedi 17 mars. "Vous pouvez faire d’Andy Mc Cabe votre bouc émissaire, mais vous ne détruirez pas l’Amérique… L’Amérique triomphera de vous", a-t-il poursuivi.

                                         TRUMP PRESIDENT TARé

    Hors du pays, personne ne doute de la tare de ce président...

    A partir du moment où Trump se vantait d'attraper les femmes par les parties génitales AVANT les élections. A partir du moment où il a tout de même été élu.... c'est aujourd'hui son pays qui doit prendre un miroir et regarder qui il est.

    Un pays d'une violence interne non réglée: armes à feu en masse, tirs dans les universités, les écoles, violences policières contre les minorités, nomination d'une espionne liée à la torture Gina Haspel à la tête de l'agence de renseignement....

    De quelle décomposition sociale et politique tout ceci est le signe ?

    Comment dès lors vouloir ordonner le monde sous la baguette des USA pays en proie aux plus grandes  incertitudes internes?

     

                                                                       Sylvie Neidinger

     

    #blogneidinger,#usa,#torture,gina haspel,bateau ivre,#trump,#cia,eric #brennan,andrew mac cabe,limogeage

     

  • Johnny, "fonds de commerce" de Laeticia, doit lui demander pardon... en plus!

      PARDON?

    On apprend médusé qu'une chanson du futur album serait une demande de... pardon de Johnny à  Laeticia.

    Pardon???

    En plus de lui léguer sa fortune aux dépens des enfants de sang, Johnny devait aussi se faire pardonner devant celle qui apparait en mante religieuse ( Charlie) dans le cadre de la succession opaque.

    Pardon?

    Ce n'est pas une "femme-enfant" (question..âge) mais alors  une véritable marâtre  !

    On apprend également que le chanteur ne supportait pas  le surnom Mamour qu'elle lui affublait.

    Mamour Sarl est pourtant  le nom d'une société commerciale   montée pour engranger certains bénéfices liés au chanteur.

    Johnny, son fonds de commerce.

    Avec tout cela, Laeticia Boudou (qui a choisi une île lointaine comme dernière demeure du chanteur)   est étonnée de chuter lourdement dans l'opinion.

    Elle reste silencieuse sur son comportement de prédatrice autour d'un trust opaque monté en 2014 à son profit exclusif.

    Elle est dès lors carrément  vue comme un gangster ( dixit son avocat) ...version mafieuse. Ou comme une femme d'influence:"

    "Elle a fait le vide autour de l'artiste après son hospitalisation à Los Angeles (Californie, Etats-Unis), en 2009. "C’était une Rambo déguisée en Barbie. Son côté Rambo, c’était 'Touchez pas à mon homme. Moi, je le protège des médias, des intrigants, des profiteurs. Et donc, je sors ma kalachnikov s’il le faut'", raconte Jean-Pierre Pasqualini, directeur de Melody TV. A cette époque, elle est également devenue la directrice artistique de son mari, choisissant les compositeurs qui travaillent avec lui."

    Signe d'une emprise majeure : qu'une chanson de l'album crépusculaire  conçu des mains de Laeticia  mette l'artiste gigantesque Johnny Hallyday en position de ...quémander le pardon de la dite dame !

    Les fans ne PARDONNENT PAS, eux.

                                                                                 Sylvie Neidinger

                                                         

                                          #blogneidinger; #laeticia hallyday,#johnny,#johnny hallyday,pardon,trust,mafia,mante religieuse,#mamour

    photo capture du site web cité en lien

                                       Rubrique PEOPLE Hallyday Johnny

                          

                                                

     

  • Dérive RH sur Genève: question de Röstigraben ou...autres explications?

    Les cas cités dans la série intitulée Ma petite boîte genevoise RH 2.0" soulignent des situations hors normes : le chef qui vient au travail avec son chien lequel mord les pantalons d'employés, lesquels sont priés d'en rire... par exemple.

    Elles ont toutefois  la particularité d'être toutes issues d'entreprises ayant leur siège social outre Sarine. Hasard ou particularisme local?

    C'est connu, la Suisse de langue allemande domine l'économie du pays et notamment celle de la Suisse romande. De facto les services RH sont éloignés, laissant les acteurs en poste à Genève en grande autonomie. Quelquefois trop grande...

    Dans une vision dialectique,  la situation peut être ...positive, par  la confiance accordée aux acteurs de terrain.

    Mais lorsqu'un piranha est installé dans le bocal genevois comme chef de service, cette autonomie peut virer au carnage.

    Les articles du #blogneidinger évoquent des actions totalement surréalistes: sobriquets,  chef -lui même plus qu'exigeant - qui  exerce .... un second job en douce sur son lieu de travail, mépris affiché au niveau des identités (le chef de service qui dit ouvertement et sans frein, sur le lieu de  travail ne pas aimer ni les vaudois, ni les français, ni d'autres.. Il s'aime beaucoup lui-même c'est certain.)

                              COMME EN ZONE DE NON DROIT

    Des situations inhabituelles clairement  classées en zone de "non droit". Qui mettent à mal tout  consensus sur un lieu de travail.

    Serait-ce l'effet d'un"Röstigraben des ressources humaines", cette frontière culturelle qui pourrait se définir ainsi vu de Zürich ou Bâle ?

    Genre: " finalement, on ne vous comprend pas toujours en suisse romande. On nomme justement un chef de service qui parle allemand pour servir d'interface. Alors ne nous embêtez surtout pas avec vos petites histoires locales."

     Dans les cas cités, les salariés délaissés ont effectivement obtenu peu de soutien lorsqu'ils ont (tout de même...) alerté les RH du Groupe basées en zone germanophone.

    Bien au contraire ceux qui eurent  le courage d'alerter n'en ont pas été récompensés car stigmatisés plus encore. C'est bien connu. Dans l'antiquité on tuait celui qui annonçait la mauvaise nouvelle....

    Idem aujourd'hui, malheur à celui qui casse le merveilleux consensus suisse en rapportant des faits pas très audibles.

                                   AMBIANCE GENERALE DELETERE

    Genève est elle la seule impactée ? Que penser ?

    Une autre analyse doit ici  se plaquer. Celle d'une ambiance actuelle totalement délétère en général dans le pays, déboussolé.

    Les insultes fusent très facilement dans le débat public. 

    Alors la protection des salariés dans ce contexte n'est qu'un élément d'une situation générale de dégradation des diverses prises de parole.

    Les vannes semblent lâchées.

    Concernant les seuls frontaliers, le GTE groupement qui les soutient juridiquement  informe que rarement la situation n'a été si tendue depuis  50 ans.

    Toutefois le populisme en arrière fond ne concerne pas uniquement cette catégorie particulière transfrontière  particulièrement visée  au tableau de chasse genevois.

    Les vannes semblent lâchées, en vrai

    Et cela dépasse largement la frontière imaginaire du Röstigraben...

     

                                                                    Sylvie Neidinger

     

    (Blog Série n°15)

    Ma petite boîte genevoise RH 2.0"

    Dérive RH sur Genève: question de Röstigraben ou...autres explications?

    Le chef de service, son fils et les mots doux

    Quand le chef de service exerce en cachette un second job

    Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés

    Suisse à l'heure des RH de Grand-mère Eugénie

    LES RH suisses, le licenciement "guillotine" et l’entreprise… «guillotineuse»

                                 RUBRIQUE RH

     

  • Le chef de service, son fils et les mots doux...

     "Ma petite boîte genevoise RH 2.0" est une nouvelle chronique d'anecdotes REELLES recueillies en entreprise à Genève.

    Chronique inscrite au sein de la rubrique RH du blog. Entreprises non citées.

     Quand certains évoquent les ressources humaines 2.0, on a la surprise de constater ici en Suisse, en 2018  des pratiques gratinées d'un autre âge.

    ...C'est ici l'histoire d'un chef de service qui, ayant des problèmes de nourrice visiblement menait régulièrement son jeune enfant carrément à son boulot un jour par semaine.

    Surprise pour tout le monde sur place d'autant que ce responsable est  d'une exigence extrême avec les autres. Surtout hiérarchiquement inférieurs.

    Il se permet lui, tout et n'importe quoi en revanche. Sa hiérarchie étant  non informée, évidemment.

    Les employés ne caftent pas à la direction au dessus, un peu lointaine (suisse alémanique)

     La venue de l'enfant se passe sur place dans la gentillesse évidemment.

    Mais l'histoire ne s'arrête pas là.

    Anecdote. Le petit bonhomme qui est présenté aux salariés écorche le nom de l'un d'entre eux. Ce qui a donné un sobriquet assez insultant. Rire général. Rire du salarié en question. Un peu jaune tout de même.

    La bonne humeur règne toutefois. Rire gras surtout  du père de la  progéniture, le dit  chef de service.

    L'anecdote banale serait déjà oubliée de tous.

    Sauf que le responsable va dès lors continuer  à  nommer ce salarié par le sobriquet en question et devant tout le monde. C'est tellement spirituel...

    On entre ici dans une phase qui peut alors  se nommer "insulte  à employé devant témoins". La nature du problème s'épaissit.

    L'employé  va attendre trop longtemps... plusieurs semaines avant de remettre en place son responsable précisément sur ce point de la manière insultante avec laquelle il s'adresse à lui.

     

                          LES VANNES SONT LACHEES

    En tout état de cause, à Genève, les vannes de l'insulte semblent être lâchées.

    Sur le ton de la plaisanterie,  ce même chef de service, après avoir cessé le fameux sobriquet lié à son fils, continue à animer les conversations de couloirs et de machines à café puis celles des  réunions formelles de travail en se jouant des identités, thème ô combien sensible. Sans filet.

    Toujours sur le ton de la semi plaisanterie, il annonce tout de go "j'aime pas les vaudois", "j'aime pas les français"'j'aime pas les frontaliers" "j'aime pas..."x et y.

    (il s'aime beaucoup lui...)

    A peine aime-t-il les genevois. Il n'est pas genevois d'origine.

    Ses parents viennent d'ailleurs et paradoxalement, l'individu passe son temps à jouer des identités du personnel qu'il a sous sa coupe.

     

       QUAND LES VALEURS PRONEES PAR L'ENTREPRISE NE SONT PAS SES VALEURS REELLES

     

    La direction cette fois a eu vent de ces paroles là. Et, surprise...n'en a rien dit!

    En Suisse, on n'aime pas celui qui organise une certaine rupture de consensus.

    Ici,  selon la hiérarchie, celui qui aurait   organisé la rupture de consensus n'est pas du tout.... le chef de service qui insulte les identités des employés mais bien le ou les salariés qui ont rapporté les paroles d'exclusion !...

    Le monde tourne à l'envers au bord du lac.

    A Genève, un chef de service peut donc  agir ainsi  sans retour de bâton....Cela se passe ainsi dans le meilleur des mondes.

    Dans une entreprise   qui prône évidemment toutes les valeurs de tolérance et de respect mutuel.... comme il se doit.

    L'hypocrisie, le différentiel  de la confrontation entre les valeurs morales respectées par cette entreprise   et son attitude réelle vis à vis du réel vécu est aussi importante que le débit du Rhône au Pont de la Machine.

                                                        Sylvie Neidinger

     

    (Blog Série n°15)

    Ma petite boîte genevoise RH 2.0"

    Dérive RH sur Genève: question de Röstigraben ou...autres explications?

    Le chef de service, son fils et les mots doux

    Quand le chef de service exerce en cachette un second job

    Quand le chien du chef mord les pantalons d'employés

    Suisse à l'heure des RH de Grand-mère Eugénie

    LES RH suisses, le licenciement "guillotine" et l’entreprise… «guillotineuse»

                                 RUBRIQUE RH