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Le Blog de Sylvie Neidinger - Page 323

  • RED ZONE, galerie asiatique à Genève

    A l'occasion de la récente  Nuit des Bains et de pérégrinations impromptues, je découvrais RED ZONE, une galerie  consacrée aux arts asiatiques,red zone.jpeg idéalement placée à deux  grains de riz du Centre d'Arts Contemporains.

    Ouverte en mai 2011 - trop jeune encore pour avoir intégré l'association du Quartier des Bains- elle traite  des cultures par regards croisés entre l'Est et l'Ouest.

    En relation avec « ses »  centres d'arts  amis de Shanghai entre autres,  Brigitte Catherin, ancienne fonctionnaire de l'ONU  poursuit  sa passion orientale qu'elle compte décliner sans contrainte,  au fil de la route de la soie. De l'Inde  au Japon, pourquoi pas : tout un programme.

    Elle  invite des artistes souvent  inconnus de nos contrées,  des chinois, coréens, vietnamiens, japonais tels  Wang XiaoHui, Qiu Jie, Luo ErQi , Xin Song etc.

    La galeriste expose  aussi les... occidentaux résidant en extrême -orient. Christian de Laubadère, était présent le 15 mars dernier à "son" vernissage.

    Cet artiste au  fétichisme sophistiqué  traite de  la nuque féminine par les techniques picturales de la renaissance (dont  le  sfumato )

    Son monde des femmes vues... à l'envers, en contre-point, en contre-exposition, en verso amène au rêve le plus... puissant !

    Le peintre s'intéresse  également aux  villes toutes en mystère  du rendu architecturé, « pagodé »

    Dans l'optique des cultures qui communiquent et se jaugent, Madame Catherin apprécie d'organiser  régulièrement des joutes- miroir.

    Ainsi la prochaine confrontation  -certes  amicale ! - liera  l'esthétique urbaine de Christian de Laubadère aux  traces proposées par Irene Gil Lopez, architecte plasticienne espagnole qui exposera sur panneau ses « empreintes de villes »

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    Le construit et le détruit, l'architecte et l'archéologue : un dialogue  psyché qui promet !

    Au fait que signifie la touche  « asiatique » en art contemporain ?

    Une couleur, très certainement. Sans hasard : le rouge du bonheur et  de la chance !

    Surtout : une énergie, un enthousiasme qui se ressentent également  dès  que l'on franchit  la porte de cette nouvelle venue dans le Quartier des Bains, Genève.

    Sylvie Neidinger
     
     
     

    tags : redzone, brigitte catherin,nuit des bains, genève, laubadère, gil lopez,galerie d'arts contemporains

     

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  • Semaine contre le racisme.ch

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    La diversité est- elle une valeur suisse ? Telles est la réflexion  lancé par les cantons romans et le Tessin, associés autour des  valeurs de l'anti racisme lors d'une semaine médiatique intitulée  Semaine contre le racisme.ch

    Le thème se décline concrètement dans quatre secteurs : à l'école, au sport, à l'hôpital, sur les lieux de résidence.

    Ces Autorités politiques helvètes ont pris très courageusement le taureau par les cornes.  L'air du temps n'est pas très sain.

    Les dénégations de l'Autre (quel qu'il soit : le gros, l'immigré, le coloré de peau, le  handicapé, le frontalier , la femme etc.) deviennent courantes dans le discours ambiant.

    Cela peut tenir de la simple conversation de café généralisante (  telle celle  dénoncée dans le dernier article du blog web )  de simple mots mais à l'impact démultiplié s'ils sont prononcés dans  la sphère publique plus large.

    STIGMATISATION  : LA  RESPONSABILITE SYMBOLIQUE DES POLITIQUES

    L'actualité « raciste » côté France est terrible avec ce tueur fou de Toulouse, comme l'Europe eut  récemment le tueur fou d'Oslo à la "Anders Breivik" (suivant les premiers élements de l'enquête décrivant un homme solitaire déterminé et professionel -sous réserve)

    Une folie très idéologisée (laquelle ?)  car ciblée : des militaires français d'origine antillaise et maghrébine, des écoliers de confession juive, ce  en pleine campagne présidentielle.

    François Bayrou (et quelques autres )  a pourtant cassé volontairement la mise entre parenthèses par les deux grands partis PS et UMP de toute action  médiatique ou meeting autour d'une « union sacrée » ainsi baptisée par la presse.

    Bien au contraire, le centriste demande à réfléchir sur l'opportunité d'aborder certaines  thématiques  en début de campagne par le candidat Sarkozy qui a hyper- droitisé son discours pour attirer à lui  l'électorat bleu Marine .

    Le Président  évoque régulièrement  des thèmes jamais traités ainsi par ses prédécesseurs  tels l'identité, la civilisation,  l'abattage rituel etc.

    Le Premier ministre François Fillon se mèle lui aussi de...boucherie. Il  ajoute que ces pratiques...religieuses (hallal et cacher)  sont d'un autre âge, qu'il faut les moderniser. Le ministre de l'Intérieur poursuit dans cette voie.

    Les confessions juives et musulmanes ont exprimé leur désapprobation à voir une préscription rituelle inscrite au coeurs d'enjeux...électoraux.

    Tout le code historique politique français laic s'en  trouve bouleversé ! Cette nouvelle droite sarkoziste qui intégre les valeurs de l'extrême déroute. La différence est immense entre la conversation de café (supra privée) et la parole publique d'un homme politique.

    Quand les politiciens  abordent sans complexe des thématiques brunes, ils ouvrent les vannes symboliques, hors de contrôle.

    S'y engouffrent les extrêmistes de tous bords bien au delà de ce que l'homme politique pouvait imaginer.

    Certes, directement imputer le passage à l'acte d'un criminel au dernier discours entendu est parfaitement  inacceptable.   Mais poser la question de propositions qui tendent à bouc-émissairiser des catégories de population semble légitime.

    Tout  « Politique » (parti/discours/homme/femme)  en Suisse, en France comme ailleurs est en représentation. Il porte en symbolique la voix du nombre.

    L'anthropologue sait que l'organisation démocratique  vient réguler les violences internes à toute société par la symbolisation collective de la voix unique.  Il s'agit bien de réguler.

    Tenir des discours stigmatisants est dangereux en matière de passages à l'acte.

    Une boucherie spécialisée   subit une explosion la semaine dernière en France. Un passage à l'acte très concret a bien marqué le nauséabond débat carné.

    Un cran au dessus dans la violence sociétale:  le passage à l'acte innommable  d'élimination d'hommes , d'enfants avec les  récents crimes du sud ouest.

    Oui, la campagne électorale française doit repartir sur d'autres bases argumentaires !

    A partir d'aujourd'hui, les cantons de Fribourg, Freibourg, Genève, Jura, Neuchatel, Ticino, Valais, Wallis et Vaud  lancent d'une seule Voix cette semaine contre le racisme.

    Le genre de parole publique officielle et donc politique bien venue dans un air du temps général délétère et xénophobe.

     

    Sylvie Neidinger

    Semaine contre le racisme.ch : web

     

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  • Les français ne sont pas-obligatoirement- des fainéants !!

    Billet d'humeur (sombre) pour répondre à un bavardage de comptoir lu sur un blog TDG ce 11 mars 2012 n'ayant rien à voir avec une pensée académique et universitaire:

    L'article posté ce jour est généralisant, mal venu . Risible, même pas humoristique.

    http://mrhayoun.blog.tdg.ch/archive/2012/03/11/les-suisses-ne-sont-pas-des-faineants.html web

    On cite : " contrairement à leurs chers voisins français, les suisses aiment travailler. Je le vois avec mes étudiants et doctorants de Genève et de Bâle qui font preuve d'un esprit constructif et réaliste...."etc.

    Les frontaliers-français ou autres- par leur présence quotidienne participent à faire tourner la machine économique suisse et genevoise en particulier . Ils sont recrutés parce qu'ils apportent des compétences qui n'existent pas localement et/ou parcequ'ils sont efficaces au travail !

    Sinon pourquoi les Autorités helvètes les feraient-elles venir (plus de 60 000 frontaliers quotidiens environ rien que sur Genève, sans compter les autres statuts)

    Par masochisme ????

    Nier ceci participe de la plus grande hypocrisie.

    Fainéants et bosseurs existent bien ....chez tous les peuples sous toutes les latitudes !

    On m'a signalé un lieu de travail  où les suisses partent pile à l'heure "horlogère" vers 16h30. Précises. En revanche, les hexagonaux peuvent quitter plus tard pour suivre la clientèle.

    Les français sont connus pour bosser vite...mais pas toujours. Et bien évidemment ....des helvètes restent aussi sur le lieu de travail après l'heure légale en cas de besoin par égale conscience professionnelle. D'autres aussi.

    N'entrons pas dans des généralités de nationalité pour contre-argumenter !! Tous les cas sont individuels.

    Le raisonnement est faible au sens où il n'est pas une construction logique mais une conversation de café du commerce.

    Il ne s'agit donc pas de réflechir sur la même base. L'auteur de cette "philosophie de pointe", si " fine" ne représente que lui-même et fort heureusement aucune Institution.

    Une seule chose : ce type de propos stigmatisant un peuple dans sa globalité- ici population française en constante interraction avec la Suisse - est consternant . Car cela s'incrit dans une lourde ambiance de montée des nationalismes.

    Puisque cela a été publié: voici un "droit d'expression" . Mais ce type de papier  d'humeur (noire !) n'est vraiment pas ma... tasse de thé !! Parlons vite d'autre chose ! Du magnifique soleil de printemps qui inonde nos petites habitudes par exemple ?

    Sylvie Neidinger

     

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  • Enfances suisses perdues: le livre document d'En-Bas

    editions en-bas,neidinger,jean-françois haas,enfants misés enfances perdues,le chemin sauvageL'éditeur d'En-Bas, basé à  Lausanne publie  le livre " Enfants placés, enfances perdues" cité avec forte émotion par l'écrivain Jean-François Haas dans sa récente interview accordée à ce blog ( interview web ) . Il est évidemment toujours disponible chez l'éditeur.

    L'écrivain fribourgeois  avait été particulièrement ému par cet ouvrage qui compulse une quarantaine de témoignages vécus. Son témoignage :

    "Un film,  vient d'être réalisé en Suisse alémanique sur les enfants placés et une version sous-titrée ou doublée en français devrait sortir prochainement. Une exposition circule depuis plusieurs années en Suisse sous le titre « Enfances volées ».Il y a dans ce domaine une prise de conscience, plus forte en Suisse alémanique qu'en Suisse romande.

    Les Editions d'En-Bas ont publié un recueil de témoignages : "Enfants placés, enfances perdues". Cette lecture est une descente aux enfers, et je n'emploie pas ces mots pour phraser ; si j'avais eu ces témoignages en main au moment où j'ai commencé à écrire Le Chemin sauvage, je me serais peut-être arrêté, tant mon texte est en-deçà de ce que ces enfants ont vécu"                            

                                                                               Sylvie Neidinger

     « Enfants  placés, enfances perdues » 2009. Editions d'En-bas Lausanne.Isbn : 978-2-8290-3767.9

     

     

    #BlogSylvieNeidinger Suisse: enfants misés

    1- Enfants misés le Conseil Fédéral interpellé par un ....roman! Le Chemin Sauvage du Fribourgeois Jean François Haas 7/03/2012

    2-Enfances suisses perdues aux Edition d'en bas  10/03/2012

    3 L'enfance volée maintenant le film de Markus Imboden 20/04/2012

    4 L'enfance suisse volée sur arte ce soir et en replay 5/09/2014

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  • Enfants misés: le Conseil Fédéral interpellé par un...roman! Le Chemin sauvage du fribourgeois Jean-François Haas

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    INTERVIEW DE L'AUTEUR SUISSE JEAN FRANCOIS HAAS

    SN : Bonjour Jean- François Haas. Vous sortez ce mois-ci Le chemin sauvage.« Lo cammino silvestro » de Dante décrit un enfer. Celui de milliers d'enfants suisses ? Au travers d'un fait divers fictif, un crime, vous faites ressortir des limbes de la mémoire collective helvète l'affaire des enfants misés légalement enlevés pour être placés...

    JF Haas : Ce n'était pas mon projet initial. Ce qui m'est arrivé d'abord, c'est un enfant en moi qui voulait raconter son histoire et qui m'a pris par la main. Il m'entraînait dans mes souvenirs : des jeux d'enfant, des amitiés, des deuils, des fêtes, la pêche, l'école. Et je ne pouvais pas, dans mes souvenirs d'enfant, ne pas penser aux enfants de l'orphelinat qui se trouvait dans mon village. De là s'est imposée à moi cette petite fille dont le narrateur tombe amoureux comme on peut être amoureux à douze ans. En même temps, j'avais en mémoire la mise des enfants, au sujet de laquelle j'avais lu un article il y a plusieurs années, un fait qui m'avait choqué, et c'est peu dire. Et puis, j'ai connu des personnes qui n'avaient pas été misées, puisque cette mise avait été abolie, mais qui, enfants, avaient été enlevées à leurs parents (pour des motifs comme l'alcoolisme, la pauvreté, le fait que la mère était célibataire) et placées dans des familles où on les exploitait.

    SN: En 2007, vous entrez directement dans la cour des grands en  publiant à 55 ans au Seuil « Dans la gueule de la baleine  guerre » immédiatement salué par la critique. Ce premier ouvrage reçoit à Lausanne le Prix Michel Dentan. Avec « J'ai avancé comme la nuit vient »(2010) puis l'actuel « Le chemin sauvage »  trois romans majeurs sortent en 5 ans : quelle force créatrice !  Qui, que  pousse un professeur actif, exerçant à Fribourg,  à suivre au cœur de sa cinquantaine son impérieux et significatif besoin d'écriture ? Fallait-il  « accumuler »  du vécu pour commencer à forger son destin d'écrivain notable de la littérature romande voire francophone ?

    JFH : Aucune envie de devenir un écrivain notable. Depuis mon enfance, j'ai toujours été habité par une sorte de nécessité d'écrire. Aujourd'hui, mes textes sont lus. Je pourrais demain ne plus être publié, je continuerais d'écrire. Bien sûr, je suis heureux que l'on s'intéresse à mes livres. Mais ils ont pris maintenant leur vie propre et devraient pouvoir se passer de moi.

    SN : L'Histoire  apparaît comme le personnage majeur de vos romans. Vous êtes d'ailleurs historien de formation. Au fond n'avez -vous pas plaisir à vous lover comme un poisson «  dans la  gueule de la baleine guerre » par votre écriture ? Comme pour mieux combattre courageusement en face à face  la mort injuste, la mort collective avec l'arme de votre plume ? N'êtes vous pas en fait un hyper- pacifiste ?

    JFH : Pacifiste, certainement. Mais plus largement, je suis citoyen. D'un Etat, bien sûr. Mais du monde aussi. Etre homme, c'est être citoyen. Je me sens responsable, dans mes limites, de tout ce qui arrive aux hommes. Nous sommes dans un immense chantier et j'essaie d'y tenir ma place. Si mes livres interpellent quelques personnes, tant mieux. Mais je ne voudrais surtout pas donner de leçons : nous croulons sous les experts et surtout les autoproclamés experts. En Suisse, l'expert sur l'Islam pour l'UDC, un certain Freysinger qui fait le joli coeur auprès de Marine Le Pen, avait axé une partie de sa propagande dans sa lutte contre les minarets sur l'excision. Comme si l'excision faisait partie de l'enseignement de l'Islam. Alors les experts !!! Je me contente de m'interroger et de partager mes interrogations.

    SN : Vous faites œuvre de création romancée avec vos personnages fictifs mis en bouche par une écriture inventive. On tourne avec délices vos pages juste pour le bonheur de rencontrer des expressions si personnelles, si imaginatives de notre langue française partagée.

    Pour autant votre ouvrage est aussi un document qui s'insère dans de solides  perspectives mémorielles donc politiques. Joseph Yerly,  témoin des mises, est cité en postface. Vous interpellez directement les responsables  helvètes. Je vous cite, page 327 : « la mise a existé jusque dans les années 30 et s'est pratiquée hors la loi dans les années suivantes (...) des enfants ont été par milliers légalement enlevés à leurs parents par les autorités pour être placés dans des orphelinats (...) ou des fermes où ils étaient obligés de travailler, battus parfois abusés. Les autorités suisses n'ont pas jugé nécessaire jusqu'ici de créer une commission de recherche à ce sujet. Toutefois en août 2011, le Conseil Fédéral a tout de même fini par admettre qu'il pourrait présenter des excuses à ces enfants. Ce qui jusqu'à ce jour n'a pas encore été fait... » D'ailleurs, on  lit  dans votre roman  la trame d'une fiction sociale. Pensez-vous qu'un cinéaste s'en emparera pour mettre en scène ces misés oubliés?

    JFH : Un film vient d'être réalisé en Suisse alémanique sur les enfants placés et une version sous-titrée ou doublée en français devrait sortir prochainement. Une exposition circule depuis plusieurs années en Suisse sous le titre « Enfances volées ». Il y a dans ce domaine une prise de conscience, plus forte en Suisse alémanique qu'en Suisse romande. Les Editions d'En-Bas ont publié un recueil de témoignages : Enfants placés, enfances perdues. Cette lecture est une descente aux enfers, et je n'emploie pas ces mots pour phraser ; si j'avais eu ces témoignages en main au moment où j'ai commencé à écrire Le Chemin sauvage, je me serais peut-être arrêté, tant mon texte est en-deçà de ce que ces enfants ont vécu.

    En ce qui concerne mon roman, bien sûr, on pourrait en tirer un film. Je ne sais franchement pas si je le souhaite vraiment. C'est une histoire d'enfance, un film peut-il faire ce que font les mots ?

    Propos recueillis par Sylvie Neidinger

     

    A lire :

    « Le chemin sauvage » Jean François Haas.2012. Editions du Seuil Isbn : 978.2.02.106124.6 

    « Enfants  placés, enfances perdues » 2009. Editions d'En-bas Lausanne. Isbn : 978-2-8290-3767.9 

     

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    1- Enfants misés le Conseil Fédéral interpellé par un ....roman! Le Chemin Sauvage du Fribourgeois Jean François Haas 7/03/2012

    2-Enfances suisses perdues aux Edition d'en bas  10/03/2012

    3 L'enfance volée maintenant le film de Markus Imboden 20/04/2012

    4 L'enfance suisse volée sur arte ce soir et en replay 5/09/2014

     

    Suite 

    2014 Jean-François Haas

    23 10 2021 Que sont devenus les enfants placés? - La Liberté (laliberte.ch)

     

     
    Mots clés : Jean François Haas, Le chemin sauvage, Seuil, enfants misés,enfants placés , Conseil Fédéral, UDC, Freysinger, Le Pen
     
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