Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ecologie

  • Laver ses masques chirurgicaux!

    Lutte anti-covid-19. Quel gaspillage tous ces masques chirurgicaux  jetés (souvent à base plastique). On ne parle pas ici de ceux "balancés" dans la rue (ô scandale)covid-19,#masque,réutiliser les masques; lavage masques,écologie,économies

    Mais de ceux qui passent à la poubelle, en bonne conscience après parfois quatre heures d'usage seulement.

    Ils sont supposés "à usage unique".

    Leur utilité après lavage  a été testée en laboratoire UFC Que Choisir: ils peuvent être lavés une dizaine de fois!

    UFC :« Au-dessus des exigences minimales »Les masques,  restent par ailleurs suffisamment respirables pour être portés plusieurs heures « sans trop d'inconfort ». « Même en ayant subi plusieurs cycles de lavage, ils sont bien au-dessus des exigences minimales des masques en tissu portant la garantie filtration officielle Afnor/DGA », qui ont servi de référence au test."

    Tel le masque ici à droite. La couleur se modifie légèrement.

    Bonne nouvelle pour la planète. Et les porte-monnaie.     

    Alors, utilisons un max les masques!                          

                                                      Sylvie Neidinger

    covid-19,#masque,réutiliser les masques; lavage masques,écologie,économies

     

     

  • Annecy, deux courts métrages suisses en compétition: Laurence Bonvin et Milva Stutz

    Off-Limits comme son nom l'indique présente des oeuvres particulières parfois bizarres.
    Laurence BONVIN présente sa vision du glacier ALETSCH NEGATIVE
    Vision écologique négative du plus grand glacier des Alpes appelé à disparaître progressivement: un voyage "visuel et sensoriel au coeur du glacier"  Une production suisse de 2019, 11mn30. Photos et vues réelles. Son : Bojan Milosevic Et de glace il devint eau...
     
    Laurence Bonvin est issue de l'univers de la photo, formée à l'Ecole Nationale Supérieure d'Arles ENSPA. Ici la photographe réalisatrice valaisanne  fait voyager au coeur minéral du glacier
     
    Aletsch Negative
     

    L'autre court-métrage est intitulé MY DEAR LOVER , "Un personnage en manque de caresses. L'amant tant désiré représente peut-être un corps imaginaire sur lequel se jouent les inquiétudes autour des relations entre humain et non-humain"

    Voix off, film curieusement cérébral :ode à la prothèse de l'...absent, ode à la main.

    Une réalisation de Milva STUTZ. Année 2019. Durée : 09 mn 57 s Technique: ordinateur 3D et pâte à modeler. Couleurs. Public adulte et jeune adulte.Générique

    Réalisation, production, direction artistique, scénario,décors, montage : Milva STUTZ

    Animation : Sandro Lochau, Alessandro Holler, Milva Stutz

    Compositing : William Crook, Milva Stutz

    Musique, son : Roland Widmer

    Voix : Nathalie Stirnimann

     

    My Dear Lover
     

    Ces oeuvres suisses donnent à voir deux univers pratiquement opposés.

    Celui de Laurence Boivin exprime le  réel haut placé les glaciers alpins et leur devenir, pris en photos. Posant les questions écologiques actuelles.

    Celui de Milva Stutz, portail  de l'intime, univers imaginaire repris par 3D avec la technique  plastique de la pâte à modeler.

    Intéressant!

                                                                    ANIM'ANNECY

     
  • Pour la planète: bien vider les fonds de récipients

    Une amie de bobologie certaine -gros revenus mais conscience aigüe du cycle des objets- est venue me rendre visite, me donnant la leçon sur le nombre important de récipients qui finalement sont hébergés à domicile: shampoings, savons  liquides etc.

    Je lui réponds en reconnaissant la présence  de ces "plastiques" issus du pétrole, flacons de verre mais dont une fois terminés, les emballages repartent pour le tri sélectif comme il se doit.

    Pas assez me dit-elle. Il faut désormais fabriquer ses produits avec du vinaigre blanc, du bicarbonate etc...

    Sur ce point  je commence doucement, à utiliser le vinaigre blanc par exemple.

    Doucement  car n'ayant pas encore fait le choix justement d'éliminer  les produits issus de l'industrie.

                                                TESTING

    Mais alors qu'il fallait jeter un tube de dentifrice normalement "terminé' je me suis amusée à le tester. Une paire de ciseaux, une découpe. Et la surprise de constater la part importante de pâte qui restait dans le tube et qui allait être tout bonnement  jetée.

    Plus du dixième.

    Et cela est valable pour le reste: les lessives liquides peuvent au niveau de la dernière versée, subir une addition d'eau+ secouer et vider en machine.

    Alors calculons. Si tous les habitants de la terre en perdent un dixième a minima,  c'est ENORME comme gaspillage du produit pur. 

    Tous ces emballage plastique, verre  dont un dixième repart en poubelle génèrent un gros gaspillage de contenu et de facto de contenant.

    Alors, en 2017, ce n'est plus de la radinerie que d'aller chercher la dernière goutte de produit.

    C'est une pensée pour la planète en attendant de faire mieux avec moins de récipients.

    Quitte alors à moins faire tourner la machine économique des industriels fabricants.

    Mais en l'état, à défaut de se passer de son shampoo  bien précis acheté en pharmacie, parfumerie ou grande distribution : chasser le gaspi...

    Cela donne meilleure conscience "pour la planète" en tous cas.

     

                                                    Sylvie Neidinger

     

    http://blogdesylvieneidinger.blogspirit.com/archive/2014/06/05/lessive-digitale-vraiment-256660.html