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Le Royaume-Uni sous un sale jour avec le fonctionnement particulier de ses Sévices sociaux.
L'affaire est un scandale, au coeur d'un pays dit "moderne" au XXIème siècle.
Cela commence à se savoir à l'international.
Les mères britanniques qui veulent sortir des griffes de cet organisme dit social qui a la capacité juridique de prendre de "voler" un enfant à la naissance à sa mère pour le "protéger" vont accoucher à l'étranger !
Le documentaire est visionnable en replay pour deux jours encore.
Et rediffusé le 2 décembre prochain sur la 5.
Les services sociaux britanniques déraillent.
En raison du Children Act de 1989. Du pur Dickens.
L'enquête montre qu'ils peuvent "monter"un dossier, faire valoir leurs "preuves" alors qu'une enquête de police opposée au résultat n'est même pas entendue.
Des parents perdent leurs(s) enfants sur des bases légères au nom d'une loi putative sur leur "potentiel à maltraiter des enfants".
Comme par hasard sont concernées les classes sociales les plus fragiles.
LOI PUTATIVE, ENFANTS COMME DES CHIENS
Les enfants sont retirés de leurs familles aimantes pour être confiés aux services sociaux sur des bases accusatoires floues, aveugles.
Qui nient toute autre hypothèse (maladie, scorbut, os de verre etc...) et la capacité des familles à élever leurs propres enfants
La machine est devenue folle.
Soigner les enfants coûte cher à l'état.
Une loi impose donc aux Comtés un quota d'adoption obligatoire. David Cameron a appuyé cette disposition pour que cela coûte moins cher au royaume.
Pour atteindre le quota des enfants sont retirés sur des bases légales totalement montées.
Ces jeunes êtres humains sont ensuite proposés à l'adoption sur catalogue et internet, avec leur photo!
Comme des animaux de compagnie....
Angleterre....
Stupéfaction du monde face à cette mentalité utilitariste, eugéniste actuelle.
Le documentaire par les cas réelsétudiés parle d'enfants volés.
Les deux leaders acharnés anti-européens pro-brexit, Nigel Farage et Boris Johnson filent à l'anglaise, une fois mis devant la réalité du vote anti-européen.
Devant les conséquences en cascades non prévues, non analysées.
Leur forfait commis, leur campagne violente, nauséabonde pliée (qui comparait l'Europe à Hitler et a vu le meurtre de la député Cox par un néo-nazi) leur campagne mensongère derrière eux (pluri-mensonges notamment sur les chiffres de transfert d'argent) ils se défilent!
Assez lâches en fait.
Ils ont vendu un retour vers la grande Grande-Bretagne ce pays mythique encore dans les têtes simplistes prêtes à le croire.
Au point de ne pas avoir écouté la jeune génération et voté Leave.
Farage s'était même offert une bataille navale ridicule de petits bateaux sur la Tamise et lui se la jouant Amiral Nelson.
On parle aujourd'hui sur place d'une situation shakespearienne autour de crimes et trahisons.
Avec Johnson et Farage il faut parler plutôt de burlesque, de tragi-comédie. Un Laurel décoiffé, bizarre, excentrique et son Hardy bien sapé.
Johnson comme "journaliste"à Bruxelles dans le début de sa carrière écrivait des articles de moquerie sur l'Europe...ses uniques faits d'armes avant de prendre la tête de Londres.
Les britanniques ont très nettement voté pour ces individus avec plus d'un millions de bulletins d'écart.
En connaissance de cause. Tout avait été dit. Ils avaient été prévenus.
ENGLISHNESS
Ils se trouvent pris à leur propre piège d'un difficile Brexit.
La Grande-Bretagne se vit comme "indépendante". Elle réclame par ce vote une sorte d'englishness, tout en contrôlant le monde depuis la City.
Image surfaite des propres ressources et capacité solitaires en selfy orgueilleux...
En réalité le Royaume veut de l'Europe le beurre et l'argent du beurre: les avantages sans les inconvénients (libre circulation des capitaux mais refusant la libre circulation des personnes, un des quatre piliers).
Avec une morgue et une suffisance exagérée et déplacée. Cameron en février jouait la carte du chantage, une habitude.
Farage est venu parader/insulter le Parlement européen après le Brexit . Il lui a été demandé "mais que faites vous encore ici?"
Le Royaume-Désuni, cette île humoristique, capable de considérer le continent comme coupé... en cas de brouillard tient à son libre-arbitre politique.
Mais alors, qu'elle laisse les autres tranquilles et qu'elle vive dans son coin !
Le problème est que ce schéma ne lui convient pas. Elle réclame le beurre et l'argent du beurre.
Exemple majeur: la Grande-Bretagne qui n'était pas dans la zone euro détenait à la City lachambre de compensation des milliards d'euros en circulation....
Paradoxe de cette tragédie grecques: plus les britanniques ont voulu contrôler leur destin et plus ils ont décroché. Ils viennent de lancer leur pays sur la planète mars, en apesanteur.
La classe politique déboussolée a l'illusion de croire qu'elle va encore pouvoir peser sur les négociations futures à son avantage et grâce à son habituel chantage.
Les désormais 27 ont répondu fermement. Le scénario UE est le suivant
1-La Grande-Bretagne annonce officiellement qu'elle quitte l'EU et les négociations commenceront APRES.
2- Accéder au marché unique c'est respecter la libre circulation des personnes
La livre sterling a diminué de 10% environ.
Des scènes d'un racisme certains sont enregistrées contre les étrangers, même sur les campus.
L'armada Farage ne sait plus sur quelle rive accoster. Une débandade des pro-brexit.
La reine,élément fédérateur, lors d'un déplacement en Irlande du Nord a indiqué " je ne suis pas encore morte"signe de sa grande inquiétude. Elle mesure toutes les difficultés à venir.
Drôle de spectacle sur la Tamise...
Sylvie Neidinger
Jean-Claude Junker et les eurodéputés se moquent des lâches qui "quittent le navire". Il est rappelé que Nigel Farage n'a pas encore démissionné de son siège d'euro-député....pour continuer à en toucher le salaire..
SUITE juillet : Boris Johnson revient, comme ministre des affaires étrangères. Il ne s'est donc pas défilé. Mais la nomination de celui dont le langage n'est pas diplomatique a surpris Bruxelles.
Lendemains d'ivresse "nationaliste" et de victoire du camp Brexit: la tête tourne pour les britanniques, désintégrés.
Les conséquences du Non à L'UE s'invitent immédiatement avec la baisse de 10% de la livre en quelques heures, Ecosse(Nicola Sturgeon, 1er ministre)etIrlande qui évoquent leur indépendance (unification de l'Irlande demandée par le Sinn Fein), Espagne qui veut récupérer les 7 km carrés stratégiques deGibraltar, les accords du Touquetremis en cause par les nordistes qui réclament que les anglais gèrent leur frontière chez eux et non sur le territoire français...
La boîte de Pandore des conséquences en cascades absolument non maîtrisées voire non apparentes est ouverte.
Le vote fut net pourtant, sans ambiguïté avec un écart de plus de un million de voix.
Enorme problème sociologique: les villes et les jeunes (à 3/4) ont misé sur l'Europe, les campagnes, les retraités, les personnes âgées ont voté non.
Jeunesse en colère. Britanniques expatriés inquiet. City de Londres aux abois.
La campagne fut violente avec tout un raout anti européen, une haine de fiel marqué par l'assassinat d'une jeune mère de famille, député (Jo COX) par un nationaliste d'extrême droite.
Ce, alors que la Grande -Bretagne bénéficiait d'un régime de faveur de l'UE et d"un" rabais" suivant le langage des boutiquiers!
POPULISME MENSONGES ET AMATEURISME
Incroyable. Sur les trending topics de google la recherche la plus forte au Royaume-Désuni au LENDEMAIN du vote est "qu'est ce que l'UE ?"
Question: ils ne pouvaient pas se renseigner AVANT???!!!!
(preuve qu'un référendum est faussement une bonne idée démocratique, c'est un choix politique caricatural, en fait !)
A ce manque d'info, le N°1de Ukip Mickael Farage avoue hier un mensonge dans la campagne de son camp autour des 350 millions de livres/semaine que le Leave aurait soit-disant permis de rétrocéder au système social de la NHS.
Avec l'Europe, la Grande-Bretagne a toujours eu cette relation de boutiquier qui compte ses sous, de '"petite monnaie".
Comme au temps de Thatcher qui voulait sa monnaie "back"...
Les britanniques et leur vision de petits épiciers...
CAMERON A-T-IL EU RAISON ?OUI/NON
La démarche du référendum semble une voie démocratique.
En l'espèce, les enjeux étaient trop lourds pour une réponse par oui ou non, entre populismes, petits mensonges etc..
Le référendumest en réalité un piège démocratique.
Tous les excès furent permis ici. Boris Johnson n'hésita pas à comparer l'UE à Hitler ....!
Bruxelles et les européens étaient lancés à la pâture publique comme le diable qui empêchait la Grande -Bretagne de redevenir le superbe Empire Britannique dans son superbe isolement mais toujours à la manette pour tout contrôler....chez les autres.
Un incroyable pêché d'orgueil qui se retourne magistralement aujourd'hui.
Alors Cameron ???
Il entre dans l'histoire mais pas comme lui l'entendait. Avec le mauvais rôle.
Tous les problèmes à venir lui seront reprochés, c'est évident.
Il a fait prendre un risque inouï pour des petites questions de politique intérieure.
Les européens sont d'ailleurs actuellement à nouveau étonnés, une fois le vote OUT décidé, de voir Cameron vouloir décider du timing de sortie comme bon lui semble. C'est exactement cette attitude pénible qui a marqué les relations GB-UE depuis l'origine. Boris Johnson dit ne pas être pressé lui non plus . Une façon de "tirer un max" des futures négociations ...
In c'est In, out c'est out.
Il commence à être demandé de rapidement mettre en oeuvre la sortie et de ne plus entrer dans les négociations de marchands de tapis!
JC Juncker est clair ( article du point) :"Sortir de l'Europe, "ce n'est pas un divorce à l'amiable, mais après tout, ce n'était pas non plus une grande relation amoureuse". C'ette sortie de Jean-Claude Juncker montre assez l'exaspération de Bruxelles devant l'attitude de Londres. Car après avoir signifié à l'Europe sa décision de rompre, la Grande-Bretagne se montre peu désireuse d'accélérer le départ effectif de la maison commune. Ce qui agace prodigieusement le président de la Commission européenne, qui a exigé que Londres dépose "immédiatement" sa demande de quitter l'UE. "Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement britannique a besoin d'attendre jusqu'au mois d'octobre pour décider si oui ou non il envoie la lettre de divorce à Bruxelles. J'aimerais l'avoir immédiatement", a-t-il déclaré."
"Quand on peste du lundi au samedi sur l'Europe, il est difficile de passer pour un Européen convaincu le dimanche", a accusé M. Juncker. Pour le président de la Commission européenne Bruxelles ne porte "aucune responsabilité" dans les résultats d'un scrutin voulu par M. Cameron "et non par le Parlement européen, la Commission ou le Conseil européen".
Au sein de l'Union Européenne la sidération règne en ce premier jour de résultat.
Pour autant, certains affirment que ce vote a permis de clarifier les positions imbuvables des britanniques des dernières années ni dans l'euro, ni dans Schengen, avec avantages financiers mais voulant imposer leur vision et rythme.
Comme effectivement autour de l'euro.
Une monnaie qu'ils n'avaient pas adoptée mais qu'ils se plaisaient à gérer impérativement depuis la City de Londres (Euribord)
Le Royaume-Désuni qui s'est endormi en se rêvant maître unique de son destin et de ses petits sous, maître du monde de l'Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais... se réveille face à une incertitude qui sape les fondements de son Etat, un premier ministre qui démissionne, en plus.
Grande-Bretagne: splendidement auto-isolée.
Pour l'Europe, le mérite de la clarification est puissant.
A la fois pour repenser l'Europe autour d'un noyau dur et au delà les autres (27 ) à réfléchir sur les éventuels élargissements.
"Les six membres fondateurs de l'Union se retrouvent aujourd'hui à Berlin pour des pourparlers post-Brexit. Je suis sûr que ces États vont envoyer comme message qu'on ne laissera personne nous prendre notre Europe, ce projet de paix et de stabilité".
Ils vont certainement enlever décapiter quelques prêtres comme ils l'ont déjà fait...
Al-Nosra -sectaires extrêmistes -comptent sur l'aide active des belligérants occidentaux qui fournissent les armes pour éliminer les minorités qui ne leur conviennent pas dont la chrétienne et installer l'islamisme qui, en 2013, sied bien aux Etats du Golfe, à la Turquie et à ....l'Otan.
SN
SUITE: C'est seulement le 11/12/2013 que Washington, Londres et l'UE cesseront de fournir les armes létales à ces groupes issus de l'opposition : jusqu'à cette date, ils en fournissaient
François Hollande lui prône d'intensifier la livraison d'armes aux groupes rebelles sachant qu'elles se retrouvent pour partie entre les mains des groupes classifiés type Al Nosra.
Les Soeurs de Maaloula enlevées Le 14 avril 2014 :
Les attentats de Toulouse, Londres et la Défense présentent strictement le même modus operandi : des piétons assassinent des militairespiétons - même si les victimes militaires peuvent être habillées en civil ( Toulouse, Londres)
Où ? Dans un lieu proche du casernement (comme à Toulouse avec Merah et à Londres)
Les autorités anglaises ont utilisé la notion de "loup solitaire" pour expliquer l'attaque ultra violente commise à la machette et au couteau en par deux individus que l'enquête décrit comme passés à l'islamisme et consommateurs de drogues. Le militaire se nommait Lee Rigbi (ici en uniforme de parade)
Merah fut présenté lui aussi, comme un"solitaire" bénéficiant juste de son reseau perso familiale et/ou amical. [avec pour compliquer l'analyse dans son cas le fait qu'il était fort probablement un indicateur des services de l'Etat, plongé en milieu radical, suivant les premières informations données tout au début de l'assaut du domicile où il s'était caché. Il est décédé dans la fusillade et on ne saura jamais ses liens exacts entre la filière radicale qu'il a suivie à l'étranger, et son activité de terrain en France en éventuelle liaison avec .... Avec qui d'ailleurs précisement? ]
L'agresseur au cutter de la Défense n'est pas encore arrêté.
OR LE SCENARIO DE L'OUT COMING SOLITAIRE N'EST PAS CREDIBLE
Car problème : la notion même de "loup solitaire" appliquée à ces individus aux passeports européens, ayant grandi en Europe, commettant un acte de guerre en solo, comme on va acheter son paquet de cigarettes est plus que difficile à croire comme interprétation des faits !
Tout simplement parce qu'il s'agit du même mode d'action dans les trois cas de figure.
Voire les mêmes revendications: ces victimes militaires individuelles, prises au hasard qui paieraient selon les termes des assassins pour les Armées : Toulouse et Londres.
Piéton assassinant un piéton, lié professionnelement à une Armée (très spécifiquement ciblée: d'autres uniformes, ceux des policiers ne sont pas visés. Heureusement pour eux d'ailleurs )
En plein jour signifie "aux yeux de tous."Pour mieux terroriser les populations.
Bizarre cette notion de "solitude"....!
Sylvie Neidinger
* Pour ajouter la notion de "piéton" à un autre cas récent : les deux frères tchétchènes piétons posent des bombes à l'arrivée du marathon de Boston et tuent cettte fois des piétons civils.