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Non seulement Trump, le bizarre président orangé des Etats-Unis, est mufle avec Angela Merkel car il ne lui serre pas la main, ne la regarde pas et produit à la place une grimace mémorable mais il est impoli avec l'Allemagne.
Cet homme est indigne de la direction d'un pays, ne comprenant rien aux règles diplomatiques de base.
Bizarre équipe trumpiste au pouvoir avec cette conseillère bien nommée, Conway, en jupe, jambes écartées, à cheval, pieds sur un canapé lors d'une visite officielle dans le Bureau Ovale, laquelle assure sans rire qu'un micro onde surveillait Donald et sa Tour.
Pauvre Amérique du Nord tombée bien bas dans les affres de l'outrance et des mensonges rebaptisés "faits alternatifs".
Elle ne se laisse pas impressionner. Et reprécise sa position.
Les 2% de PIB promis pour augmenter les dépenses militaires ne sont pas intégralement dédiés à l'Otan mais "pour construire un concept de sécurité moderne dans lequel on ne verse pas seulement des sommes à l'Otan mais on investit dans une collaboration européenne en matière de défense et avec les Nations-Unies."
Magnifique tacle en réponse qui considère le parapluie étatunien de l'Otan comme utile mais démodé, appartenant au passé.
Le nouveau président de télé-réalité instaure actuellement la guerre froide avec...ses partenaires historiques !
Trump est un véritable cauchemar pour les Etats-Unis, il est une superbe chance pour l'Union Européenne et ses projets de défense intégrée et d'autonomisation: l'opportunité de se détacher de ce partenaire "étatsunien"instable et doit-on ajouter un peu fou.
D'autant que le Royaume-Uni brexiteur ne sera plus là pour entraver cette intégration.
Sylvie Neidinger
(suite) Mme Merkel annonce sa visite prochaine à Poutine, ce après avoir échangé avec le n°1 chinois sur le libre échange. Histoire de largement relativiser l'impact Trump en montrant que les alliances ne sont pas définitives et que l'agressivité de Trump vis à vis de l'Europe peut facilement disqualifier son pays au plan international.
"Le nouveau pilier de la Maison-Blanche semble avoir une attraction particulière pour la noirceur. «J’aime l’obscurité. Dark Vador, Satan… C’est le pouvoir», affirmait-il encore l’année dernière, après avoir été nommé par Trump. Une référence au «côté obscur de la force» qui, selon lui, permet d’aveugler ses ennemis «en leur cachant ce que sommes en train de faire». Dans la même interview, Stephen Bannon s’en prenait une fois de plus à la «bulle métrosexuelle» (merci Seinfeld!) mais aussi à «l’élite» de manière générale, qu’elle soit libérale (au sens américain) ou conservatrice. L’ennemi à abattre: c’est ce qu’il appelle le «parti de Davos», en référence au forum du même nom.
Il n’est pas étonnant que son entrée au sein de CSN alarme aujourd’hui bien au-delà des cercles démocrates. En 2013, lors d’une autre interview, le Dark Vador de la Maison-Blanche avouait une autre admiration: «Lénine voulait détruire l’État, et c’est aussi mon but. Je veux que tout s’effondre et que soit détruit l’ensemble de l’establishment actuel.» Il n’était alors que le propagandiste de Breitnews. Une plateforme dont la fréquentation du site internet a doublé ces derniers mois: 16 millions de visiteurs par mois."
Il semble être le maître à penser voire celui qui tire les ficelles du nouveau président américain. Il entend diffuser largement son idéologie. Sa nomination au NSClui en donne le pouvoir. Un analyste évoque "la limite d'un coup d'état"avec cette nomination à un poste clef..
Les étudiants de Berkeley viennent de refuser une intervention liée à son site d'extrême droite Breitbart (ouvertement raciste et sexiste) sur leur campus.
Mogherini a rencontré il y a quatre jours l'administration Trump pour une claire mise en garde: lui demander de ne pas s'ingérer dans les affaires européennes (dont le brexit, les élections françaises et allemandes.)
Ce après les violentes attaques verbales et twittesques de Trump contre l'UE.
Le Château de Penthes accueille un ensemble exceptionnel de cent gravures du Maître de Leyde jusqu'au 18 septembre 2016.
Le collectionneur hollandais, Jaap Mulders a voulu partager au bord du Léman la vive passion qu'il éprouve pour un certain Van Rijn, prénommé Rembrandt.
Notamment les oeuvres de son célèbre compatriote qu'il possède, les ayant patiemment réunies depuis 1997....
D'où la présence du diplomate néerlandais Roderick van Schreven , en poste à Genève. Un sportif de haut niveau, en toute simplicité cordialed, hyper intéressé par l'expo. Lui même intéressant. Il portait une cravate... orange évidemment.
Cette expo rappelle que la culture est un patrimoine mondial partagé. Et par la même occasion valorise la relation séculaire entre la Suisse et les Pays-Bas.
Le contact entre les deux entités passe certes par le protestantisme comme on peut facilement le souligner mais surtout par un lien immémorial transfrontières: le Rhin, ce fleuve d'ailleurs patronyme de Rembrandt, fils du meunier...van Rijn!
De nombreux helvètes tel Jean-Pierre Saint-Ours se sont largement inspirés des artistes flamands.
L'écrin du musée de Pregny convient parfaitement à ces gravures intimes, de petite taille quelquefois, posées aux murs comme on y exposerait la photo d'un membre de la famille ou celle de sa demeure.
Le Maître de l'Ecole hollandaise en auto-portait, ou Saskia sa femme bien aimée, son chat, les moulins...Du selfie avant l'heure !!
REMBRANDT PHOTOGRAPHE DU XVIIème SIECLE
Japp Mulders présent lors du vernissage le 22 juin dernier (soit il y a un millier d'années car....avant le Brexit!) validait.
Il oriente ses analyses vers cette comparaison avec la photographie. Par l'usage des clairs obscurs. Du noir et blanc, profondeur et perspective. Ou des regards.
Tels les nus féminins réalistes, très atypiques pour l'époque: des corps dans leur réalité, non sublimés ni masqués par des codes.
Ces femmes dévêtues plantent leur regard dans le nôtre, comme surprises sur l'instant: de la photo, je vous dis!
Très novateur pour le XVIIème siècle ce regard féminin direct!
Il y a un "avant" et un "après" Rembrandt quant au traitement du naturel.
"Des siècles avant l'avènement de la photographie, des musées et du tourisme, la gravure était l'unique moyen de toucher une large audience aux quatre coins de l'Europe"
La passion du collectionneur JP Mulders pour Rembrandt s'exprime à fleur de peau.
Le plus ému de nous tous devant les oeuvres était celui qui pourtant les connait dans le moindre recoin...Il ne se lasse pas, en parle avec enthousiasme.
Et le collectionneur de penser à la meilleure visite possible de l'expo. Comme un hôte très à l'aise à Penthes et qui veut favoriser un passage parfait:"une tablette vous donnera toutes les informations sur chaque image et vous permettra de l'agrandir à volonté afin d'en apprécier la finesse des lignes et des détails"
On ressent l'attachement très solide qui relie Jaap Mulders à Rembrandt. Il le représente. Comme un arrière petit-fils?
Rembrandt est assurément parent de tous les néerlandais. De nous tous aussi...
Sylvie Neidinger
En collaboration avec la Fondation Rembrandt Op Reis,
La Mission des Pays-Bas auprès de l'ONU
Retrouver les gravures dans un magnifique catalogue d'expo, Editions Penthes isbn 978-2-33474-692-2:
crédit images photos Neidinger et photos J B Mulders
Lendemains d'ivresse "nationaliste" et de victoire du camp Brexit: la tête tourne pour les britanniques, désintégrés.
Les conséquences du Non à L'UE s'invitent immédiatement avec la baisse de 10% de la livre en quelques heures, Ecosse(Nicola Sturgeon, 1er ministre)etIrlande qui évoquent leur indépendance (unification de l'Irlande demandée par le Sinn Fein), Espagne qui veut récupérer les 7 km carrés stratégiques deGibraltar, les accords du Touquetremis en cause par les nordistes qui réclament que les anglais gèrent leur frontière chez eux et non sur le territoire français...
La boîte de Pandore des conséquences en cascades absolument non maîtrisées voire non apparentes est ouverte.
Le vote fut net pourtant, sans ambiguïté avec un écart de plus de un million de voix.
Enorme problème sociologique: les villes et les jeunes (à 3/4) ont misé sur l'Europe, les campagnes, les retraités, les personnes âgées ont voté non.
Jeunesse en colère. Britanniques expatriés inquiet. City de Londres aux abois.
La campagne fut violente avec tout un raout anti européen, une haine de fiel marqué par l'assassinat d'une jeune mère de famille, député (Jo COX) par un nationaliste d'extrême droite.
Ce, alors que la Grande -Bretagne bénéficiait d'un régime de faveur de l'UE et d"un" rabais" suivant le langage des boutiquiers!
POPULISME MENSONGES ET AMATEURISME
Incroyable. Sur les trending topics de google la recherche la plus forte au Royaume-Désuni au LENDEMAIN du vote est "qu'est ce que l'UE ?"
Question: ils ne pouvaient pas se renseigner AVANT???!!!!
(preuve qu'un référendum est faussement une bonne idée démocratique, c'est un choix politique caricatural, en fait !)
A ce manque d'info, le N°1de Ukip Mickael Farage avoue hier un mensonge dans la campagne de son camp autour des 350 millions de livres/semaine que le Leave aurait soit-disant permis de rétrocéder au système social de la NHS.
Avec l'Europe, la Grande-Bretagne a toujours eu cette relation de boutiquier qui compte ses sous, de '"petite monnaie".
Comme au temps de Thatcher qui voulait sa monnaie "back"...
Les britanniques et leur vision de petits épiciers...
CAMERON A-T-IL EU RAISON ?OUI/NON
La démarche du référendum semble une voie démocratique.
En l'espèce, les enjeux étaient trop lourds pour une réponse par oui ou non, entre populismes, petits mensonges etc..
Le référendumest en réalité un piège démocratique.
Tous les excès furent permis ici. Boris Johnson n'hésita pas à comparer l'UE à Hitler ....!
Bruxelles et les européens étaient lancés à la pâture publique comme le diable qui empêchait la Grande -Bretagne de redevenir le superbe Empire Britannique dans son superbe isolement mais toujours à la manette pour tout contrôler....chez les autres.
Un incroyable pêché d'orgueil qui se retourne magistralement aujourd'hui.
Alors Cameron ???
Il entre dans l'histoire mais pas comme lui l'entendait. Avec le mauvais rôle.
Tous les problèmes à venir lui seront reprochés, c'est évident.
Il a fait prendre un risque inouï pour des petites questions de politique intérieure.
Les européens sont d'ailleurs actuellement à nouveau étonnés, une fois le vote OUT décidé, de voir Cameron vouloir décider du timing de sortie comme bon lui semble. C'est exactement cette attitude pénible qui a marqué les relations GB-UE depuis l'origine. Boris Johnson dit ne pas être pressé lui non plus . Une façon de "tirer un max" des futures négociations ...
In c'est In, out c'est out.
Il commence à être demandé de rapidement mettre en oeuvre la sortie et de ne plus entrer dans les négociations de marchands de tapis!
JC Juncker est clair ( article du point) :"Sortir de l'Europe, "ce n'est pas un divorce à l'amiable, mais après tout, ce n'était pas non plus une grande relation amoureuse". C'ette sortie de Jean-Claude Juncker montre assez l'exaspération de Bruxelles devant l'attitude de Londres. Car après avoir signifié à l'Europe sa décision de rompre, la Grande-Bretagne se montre peu désireuse d'accélérer le départ effectif de la maison commune. Ce qui agace prodigieusement le président de la Commission européenne, qui a exigé que Londres dépose "immédiatement" sa demande de quitter l'UE. "Je ne comprends pas pourquoi le gouvernement britannique a besoin d'attendre jusqu'au mois d'octobre pour décider si oui ou non il envoie la lettre de divorce à Bruxelles. J'aimerais l'avoir immédiatement", a-t-il déclaré."
"Quand on peste du lundi au samedi sur l'Europe, il est difficile de passer pour un Européen convaincu le dimanche", a accusé M. Juncker. Pour le président de la Commission européenne Bruxelles ne porte "aucune responsabilité" dans les résultats d'un scrutin voulu par M. Cameron "et non par le Parlement européen, la Commission ou le Conseil européen".
Au sein de l'Union Européenne la sidération règne en ce premier jour de résultat.
Pour autant, certains affirment que ce vote a permis de clarifier les positions imbuvables des britanniques des dernières années ni dans l'euro, ni dans Schengen, avec avantages financiers mais voulant imposer leur vision et rythme.
Comme effectivement autour de l'euro.
Une monnaie qu'ils n'avaient pas adoptée mais qu'ils se plaisaient à gérer impérativement depuis la City de Londres (Euribord)
Le Royaume-Désuni qui s'est endormi en se rêvant maître unique de son destin et de ses petits sous, maître du monde de l'Empire sur lequel le soleil ne se couche jamais... se réveille face à une incertitude qui sape les fondements de son Etat, un premier ministre qui démissionne, en plus.
Grande-Bretagne: splendidement auto-isolée.
Pour l'Europe, le mérite de la clarification est puissant.
A la fois pour repenser l'Europe autour d'un noyau dur et au delà les autres (27 ) à réfléchir sur les éventuels élargissements.
"Les six membres fondateurs de l'Union se retrouvent aujourd'hui à Berlin pour des pourparlers post-Brexit. Je suis sûr que ces États vont envoyer comme message qu'on ne laissera personne nous prendre notre Europe, ce projet de paix et de stabilité".
Micheline Calmy-Rey, actuellement Professeur au Global Institute de l'Université de Genève, bien évidemment Présidente de la Confédération Suisse (2007 et 2011) après avoir été conseillère et chef du Département Fédéral des Affaires Etrangères (2003-2011) venait présenter son récent ouvrage dans un contexte politique helvète particulier : le "post-votation du 9 février."
CONTEXTE 9-FEVRIERISTE
Après les mots de bienvenue spirituels de l'Ambassadeur de Suisse Luzius Wasescha, qui la présenta sous son célèbre acronyme MCR, la Présidente introduisait la séance sur le même registre par un tonitruant et remarqué "Mesdames, Messieurs les immigrés de masse" adressé à la salle composée de diplomates, universitaires, humanitaires, financiers etc.
S'ensuivit un discours ultra-structuré, brillant. Il reprenait en partie le dernier chapitre du livre qu'elle vient de sortir aux Editions Favre de Lausanne: " La Suisse que je souhaite".
Nota-Les membres du Forum FSPI -dont le siège est à Genève -se rencontrent régulièrement pour réfléchir à l'évolution du monde, aux rapports intergouvernementaux et bilatéraux.
Ce Cercle avec ses débats éclairés par des témoins de premier plan se trouvait réellement ce vendredi aux premières loges de l'actu ! Dommage que ces séances ne soient pas enregistrées...
"NOUS SOMMES ENFANTS DE ROUSSEAU"
A sa propre question"Pourquoi la Suisse est-elle si méfiante en matière de politique étrangère ?" MCR a proposé deux réponses:
1- La Suisse développe un concept international général qui repose sur ses particularités " Nous sommes enfants de Rousseau !" rappelle-t-elle. Les particularités viennent quelquefois en contradictions avec les intérêts supérieurs du mode fédéraliste.
2-Sa neutralité depuis 1647. Un atout qui peut toutefois peser car "dans le monde globalisé actuel, l’isolement ne permet pas toujours de résoudre les problèmes"
Le pays, trop souvent discret, a intérêt selon elle à renforcer sa présence dans le monde international pour une meilleure efficacité.
Son ouvrage donne des éclairages concrets de son propre passé politique récent à la tête de la Confédération (avec par exemple un chapitre intitulé: Téhéran ou la photo avec un voile) Mais pas seulement...
Cette fille de Rousseau propose un Contrat social.
Sa vision à la première personne du singulier rédigée en août 2013 entre en direct dans l'actualité helvète de ce début d'année 2014 si mouvementé, avec la votation immigration:"Un sentiment de crise morale, d'indifférence, comme une grande désillusion domine (...) La Suisse est à la croisée des chemins"(p 204)
Sa solution: l'ouverture à l'UE. "La Suisse ne gagne pas à un jeu dominé par les rapports de force. Elle a donc intérêt à développer ses engagements à la fois bi et multilatéraux. Dans un tel contexte, la neutralité est un atout (...), facilitée par la réputation de négociatrice honnête de la Suisse."(p 206)
Un tel positionnement implique de ne pas favoriser l'un ou l'autre.
"Convient-il dès lors de mener une politique étrangère propre ?" se demande-t-elle. "J'ai eu de la peine à faire comprendre aux Suisses les avantages d'une politique étrangère à la marge de l'Union Européenne. (..) Faut-il choisir d'être composante d'un ensemble plus grand et plus compétitif ? ( p207) Autrement dit nous abriter sous le parapluie de la grande Union Européenne? Négocier une adhésion qui pourrait être assortie d'exceptions concernant la neutralité, la monnaie, les service publics ou le marché du travail ?".
Auquel cas la Suisse s'assurerait une "influence sur toutes les décisions de l'Union, le meilleur accès au grand marché pour ses entreprises et pourrait faire valoir son habileté diplomatique dans un cadre élargi".
UE: DANS...46 ANS !?
Elle même en est convaincue mais sait nombre de ses concitoyens pas encore prêts.
Un intervenant fit remarquer avec humour que, entre la date de création de l'Onu et l'entrée de la Suisse à cet organisme en 2002, il s'est passé... 46 ans. On peut imaginer un tel scénario pour l'UE.Ou jamais ?
Micheline Clamy-Rey en tous cas donne de sa personne pour ses convictions. Elle évoqua à Penthes un récent duel à la télévision alémanique avec Christophe Blocher avec qui elle a ferraillé sec sur des bases radicalement opposées dans l'émission bien nommée Arena.
On la cite lors de ce débat du 21 février à l'attention de son adversaire:«Vous êtes énervé car la Suisse romande ne ressemble pas à ce que vous voulez! Vous voulez renvoyer les étrangers et maintenant vous voulez renvoyer les Romands», a commenté la Genevoise sans langue de bois. ( média SRF)
Style direct et franc. Toujours si calme.
MCR dit recevoir de temps en temps quelques lettres d'insultes lui demandant d'...habiter à Bruxelles ! Et dans le même temps des courriers d'encouragement.
Elle prône une Suisse ouverte. Un combat difficile pour ce peuple libre dans ses montagnes et ses lacs. Elle le sait.
Anselme Zurfluh, Directeur du Musée des Suisses dans le Monde- ce véritable ...repaire genevois d'historiens!- clôtura ainsi la séance à son égard: "Madame, l'objet de votre livre est l'objet de notre institution"
En cette journée de la Femme, on admire cette Suissesse du Monde pour la netteté et la force de ses convictions. Engagée et indépendante d'esprit.
Sylvie Neidinger
La Suisse que je souhaite. Micheline Calmy-Rey. Préface de Romaine Jean Editions Favre isbn 9782828913182