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  • "America first" le slogan qui a le... mérite d'être clair

    Donald Trump a été élu démocratiquement  président des USA.

    Créant une onde choc par son côté totalement  atypique, décalé, tweetesque, fantasque.

    Il est peu cultivé souvent vulgaire. Les psy lisent en lui une pathologie narcissique.

    Cela ne l'empêche pas de diriger. Certes avec un chaperon..... On lui a collé un général dans son équipe de com, pour limiter la casse.

    Il  garde toujours la confiance d'une partie importante de son électorat et la défiance majeure des autres.

    Les autres pays restent encore stupéfaits, sidérés. Son  récent discours à l'ONU était agressif.

    Certains en Europe ironisent et disent que c'est l'occasion de s'affranchir d'un tel partenaire imprévisible qui remet en question unilatéralement  les traités qu'il signe.

    L'occasion de fonder une UE puissante.

    Dans ses leitmotiv, Trump n'a que ce mot à la bouche "America first" .

    Un slogan qu'il compte appliquer de courte vue, ne se rendant pas toujours compte des dégâts qu'il peut commettre dans sa bonne intention (comme ses ordres donnés aux industriels pour les investissements)

    Car la réalité économique est toujours plus complexe que les slogans de pub. En effet, défendre à outrance un pan de l'économie peut en fragiliser un autre.

    Toutefois ce slogan a le mérite d'une immense clarté.

                             FIRST... UNE VIEILLE IDEE!

    A noter, les USA qui  se voient Empire agissent dans le monde pour  être "first" depuis le début du... 20ème siècle. L'idée est  loin d'être neuve!

    Soit en interne (actuelle politique de Trump pour l'emploi national favorisé par exemple)  soit en externe (guerres pour contrôle de ressources, de positions géostratégiques etc., activisme en Europe de l'est contre la Russie, mer, espace)

    A titre personnel je trouve nettement plus CLAIRE cette position américaine trumpienne  à celle qui prévalait avant.

    Même si elle est à son "corps défendant". Il ne se rend même pas compte de l'image qu'il donne de son pays.

    Je me souviens d'une discussion animée avec un ami, vétéran américain âgé,  lors de la première guerre irakienne, fin des années 80.

    Je n'étais pas d'accord sur l'invasion d'un pays tiers, hors du cadre de l'ONU et sur un casus belli fallacieux. Comme par hasard l'Irak... pays riche en pétrole. Quelle qu'en soit sa gouvernance.

    Lui était dans une toute autre logique "Nous sommes un peuple moral et apportons la démocratie".

    Un type de slogan qui sur le terrain apporte surtout les.... guerres.

    Bizarre d'ailleurs d'associer le concept de guerre à celui de moralité!

    Nous n'avons pas réussi à joindre nos deux points de vue à ce moment précis. Lui gardant  le sien et moi le mien. En toute amitié...démocratique.

    Léonard eut toutefois un retour vers moi après l'enlisement de son pays lors  de la 2ème guerre américano-irakienne des années 90. Avec ses doutes sur sa position initiale...

                                     SINCERITE CASH DE TRUMP

     

    Combien cet "apport de démocratie par la force" a-t-il été vanté sous les précédentes présidences. ...Mais : comme une avancée masquée.

    Jusqu'aux printemps-hivers arabes qui étaient "vendus" de la sorte. Avec en prime une supposée démocratie numérique prônée surtout...par les médias !

    D'ailleurs à propos du monde arabe, l'étape suivante  de ces guerres   proche-orientales récentes fut l'évolution dangereuse du  concept de  "démocratie importée"  pour intégrer  le jeu local .... confessionnel.

    On a vu le résultat avec la montée de islamisme, l'EI et autres coupeurs de têtes.

    C'est un échec cuisant.

    L'Amérique qui parle de démocratie pour en fait,  aller gérer les affaires de pays regorgeant de ressources naturelles ou de bonnes positions géostratégiques n'est pas exacte sur les buts réels.

    Et tous les observateurs le savent. Elle tient dans ce cas un discours sur elle-même non conforme à la réalité de ses ambitions.

    Au moins, l'Amérique de Trump qui clame hors et fort "America first" est-elle brute de décoffrage certes mais  hyper sincère.

    Avec Trump les cartes sont sur la table.

    Il faut reconnaître au  président TRUMP le mérite de sa SINCERITE.

     

                                                                            Sylvie Neidinger

     

  • Nicolas Martiau, l'ancêtre huguenot de Georges Washington et Elisabeth II

     Qui connait ce noble rétais né en 1591 ?nicolas martiau,île de ré,georges washington,usa,mayflower,virginie,francis bonaventure,elisabeth ii

    Il vient au monde vingt ans après la Saint-Barthélemy dans une famille calviniste dans un contexte ilien soumis aux influences apportées par marins et navires.

    L'enfant  apprend à lire dans la bible et parler anglais évidemment.

    Nicolas Martiau Cet inconnu est juste l'ancêtre du premier  président américain Georges Washington et celui de l'actuelle Reine Elisabeth II d'Angleterre !

     

    Le contexte de l'île de Ré ici rappelé (cf site Huguenots de France) :


    "C’est en 1591, que naquit Nicolas Martiau dans une famille de notables rétais Calvinistes, dans ce climat de guerre de religions qui sévissait à l’époque. La population de l’île de Ré compte alors 6000 habitants dont les deux tiers sont analphabètes. C’est seulement dans les familles aisées qu’une petite minorité, principalement Huguenote, sait lire. Ils ont tout naturellement appris par la lecture des évangiles. La principale activité de l’île est la récolte du sel, la culture de la vigne, la pêche et le travail du bois. En fonction de ces commerces, de nombreux navires étrangers y font escale. Ces marins étant pour la majorité des protestants, l’île de Ré devient très influencée par les doctrines de Calvin. La Reine, Jeanne D’Albret, qui avait fait de La Rochelle sa capitale, y fait de fréquents séjours avec son fils, Henri de Navarre, futur Henri IV.

    C’est dans cette ambiance dangereuse, que Nicolas, élevé dans sa famille de vieille souche rétaise calviniste, érudite, «du parti anglais » comme l’on disait à l’époque, décida, à l’âge de 22 ans, d’émigrer à Londres, ville phare des Huguenots. Il parle couramment l’anglais et a un diplôme d’ingénieur en poche. Mais Nicolas désenchantera dans ce paradis britannique, secoué par les rivalités entre l’église presbytérienne et l’église anglicane. Il entend parler des perspectives mirobolantes des terres d’Amérique du Nord où les Anglais soutiennent énergiquement leurs pionniers protestants contre les catholiques français. « De toutes façons cela ne peut pas être pire qu’en Angleterre », se dit Nicolas qui, entre temps, a pris la nationalité anglaise.é

     

    Il quitte l'île de Ré pour l'Angleterre, probablement pour motif de contexte religieux. Mais pas seulement, il semble déterminé à construire sa vie sur un mode ambitieux lié à ces capacités. Il prend la nationalité anglaise.

    Rapidement il déchante à  Londres et passe de l'autre côté de l'Atlantique.

    A idées nouvelles, contexte nouveau !

    On le retrouve en Virginie. Le 16 mai 1620 il arrive dans le nouveau monde à bord du Francis Bonaventure. Il s 'installe  à Jamestown dont il construisit la défense de la ville contre les Indiens et fut dès lors nommé "capitaine ingénieur des palissades"

    A noter il arrive avant les pèlerins  du mythique  Mayflower, bateau tant glorifié..

    Il fait ensuite venir en Virginie dès 1630, sur sa recommandation de nombreux huguenots français souvent  rétais pour exploiter  ce qu'ils savent produire sur leur île d'origine : la vigne , le sel et l'élevage du ver.

     nicolas martiau,île de ré,georges washington,usa,mayflower,virginie,francis bonaventure,elisabeth ii"En octobre 1631 Martiau s'installa à Yorktown, fut élu à la Maison des Bourgeois (l’assemblée qui votait les lois de la colonie de Virginie) de la ville et le Gouverneur lui alloua 600 ha à l’emplacement même où 150 ans plus tard son arrière-arrière-petit-fils George Washington obtint la capitulation de l’armée anglaise de Lord Cornvallis6.

    Il fut nommé commissaire et juge de paix en 1633.

    Le 28 avril 1635, il se révolta contre le Gouverneur, Sir John Harvey, qui avait autorisé le débarquement de colons catholiques : Harvey fit arrêter Martiau dans l'intention de le pendre, mais le colonel Read, secrétaire de la colonie et qui deviendra le gendre de Martiau, devint Gouverneur en remplacement de Harvey.

    Martiau mourut à Yorktown en 1657 après avoir affranchi ses deux esclaves et leur avoir légué de quoi vivre."

     

    Par la voie des femmes, par sa fille Elisabeth Martiau mariée au colonel Reade, par  sa petite  fille Elisabeth Mildred Reade;  le noble Nicolas Martiau attiré par le Nouveau Monde est donc l'ancêtre direct de Georges Washington et d'Elisabeth II d'Angleterre ( Martiau : ancêtre de sa mère Elisabeth Bowes Lyon)

    Quelle descendance pour cet ....inconnu.

     

                                                                         Sylvie Neidinger

     

     

     Arbres (wiki)

     

    Attention le père de Georges Washington porte un prénom qui sonne féminin en français (Augustine)

     

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    Lignée d'Elisabeth II :par  Mildred Reade fille de Elisabeth Martiau

     

     

     

     

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                                                              Rubrique #Protestantisme

  • Macron, une chimère mi-Sarko mi-Trump

    L'homme était inconnu et se révèle à l'usage de sa présidence de trois mois déjà.

    Macron et ses contradictions, Macron et ses références.

    HYPER PEOPLE ET NE SACHANT DELEGUER:  COMME SARKOZY!

    Alors qu'il veut redonner dignité à la fonction, il s'expose en vacances comme Hollande le fit  dans le Var, le bidochon en moins.

    Macron choisit Marseille. Une très bonne idée pour un président de la république que de passer un séjour dans les villes du pays.

    Mais que fait-il de ses vacances à Marseille qui auraient pu être moins visibles ?

    Jogging au Prado ( il y a plus discret comme zone que la plage principale et la corniche d'une ville de un million d'habitants !!!!).

    Visite aux footballeurs avec photo de  lui déguisé avec le maillot. Comme un  "vendeur de marque" marque OM et/ou marque Macron ?

    60 policiers et gendarmes dédiés à sa sécurité pour la visite supposée discrète!. C'est le feuilleton médiatique de l'été imposé et dont les gens en général n'ont que faire. A Marseille, comme ailleurs.

    Aller à Marseille c'est aussi politique. C'est envoyer un message à Mélenchon...

    On note que le premier ministre Richard Philippe est lui très régalien, discret en villégiature. Ce qui est possible pour l'un ne semble pas l'être pour l'autre.

    Macron fonctionne intrinsèquement avec sa com' people. Mais dans le même temps se plaint d'être suivi par la presse  ô contradiction macronienne parfaite.

    Jean-Michel Macron, père du président avait d'ailleurs dit ne pas être en phase avec son fils sur ce côté people...justement.

    Un comparatif direct se fait dans la pratique avec Nicolas Sarkozy, hyper people.

    Les deux hommes semblent s'apprécier d'ailleurs.

    Autre point commun avec Sarko, le côté   "ils sont tellement nuls que je dois tout faire" A commencer par prendre leur  premier ministre pour le larbin de service.

    Macron   plus encore que Sarkozy  joue " pour de vrai" à Napoléon .

    Il veut un gouvernement, des députés...un sénat, un parti sans opposition, sans tête qui dépasse. Tous à  sa botte dans un délire certain.

    Macron est ainsi apparu comme se mêlant de  tout dans les trois premiers mois.

    Jusqu'à virer le général de Villers pour des paroles prononcées à huis clos devant la Commission Défense de l'Assemblée. Beaucoup de ministres virés...

            MACRON, HOMME PARFAIT NE SE REMET PAS EN QUESTION LORSQU'IL RATE

    Et puis patatras la dégringolade dans les sondages de Macron est inédite et majeure.

    Les français prennent la mesure de ses manques, ses contradictions,  son autoritarisme.

    Et Macron, au lieu de se remettre en question...stigmatise....les Autres, le gouvernement, les ministres, les députés, les collaborateurs, les médias évidemment etc.dans une parfaite malhonnêteté intellectuelle.

    Je gagne: c'est moi. Je rate, c'est les autres !

    Macron a été vachard avec ses affidés pour recadrer tout le monde quand les mauvais sondages sont sortis.

    Sa position ambivalente très sarkozyste consiste à  dire une chose ET son contraire. Macron fait volontairement son "quéqué" à Marseille devant les médias et vient en même temps jouer le grand seigneur gêné dans ses vacances.

    Macron  se dit homme à la parole rare voulant redonner du lustre à la fonction présidentielle mais donne à VOIR une image déguisée de lui toutes les cinq minutes...

     

    MACRON HYPER  NARCISSIQUE COMME TRUMP

    Les deux s'étaient bien retrouvés, bien jaugés et bien appréciés.

    Trump présente une instabilité majeure difficilement compatible avec l'exercice du pouvoir.

    On sent la même faille chez Macron. Il a pris le pouvoir alors que personne ne le voyait venir.

    Cela lui donne des ailes pour se sentir pousser des idées nouvelles qui ne seraient pas forcément bienvenues pour le pays et que le pouvoir lui permettrait de mettre en oeuvre sans contradiction. Je pense à la politique étrangère qu'il pratique depuis son élection comme des "coups médiatiques".

    Autant une Angela Merkel ne va pas détonner dans un discours. Autant le narcissisme de Macron peut nuire et le mener à dire n'importe quoi. Il a déjà commencé par des remarques déplacées sur la démographie africaine entre autres remarques choquantes sur les "gens de rien".

    Il est déjà qualifié de Napoléon. L'Italie et l'Espagne traditionnellement méfiantes de la France ( ils ont justement subi Napoléon !) se méfient déjà de Macron et ses projets "européens"

    Comme Trump, il est un peu délirant . Macron ose se comparer à Jupiter, au Christ, à Napoléon, sans rire. C'est sérieux.

    Comme Trump il est népotique et met en avant d'une façon exagérée sa famille; en l'occurrence son épouse.

    Sur  le cas "Brigitte" la démocratie se rappelle actuellement à lu . Une pétition contre toute tentative de donner un statut non élu au conjoint (et des moyens importants) est en train de calmer les ardeurs du couple...

    Le comparatif avec Trump porte  aussi sur le narcissisme.

    Particulièrement une forte immaturité narcissique.

    L'homme élu au sommet (présidence)  à ce poste serait  donc forcément  le plus "beau, le meilleur."

    Tout le monde certes  ne peut  atteindre la fonction de gouvernance mondiale. (il faut   analyser plus précisément les conditions de leurs élections respectives)

    Attention toutefois.  Les deux présentent un narcissisme exacerbé: il  faudrait tresser leur louanges en permanence !

    Macron est délirant à Marseille. Il expose sa vie privée et en même temps porte plainte pour crime de lèse -majesté face à un journaliste. Il sature et en fait trop.

    ( épisode Om)

    Idem:  la même non  relation aux médias  de la part des deux hommes.

    Comme Trump ,Macron refuse la presse qui va forcément avoir du recul et ne va pas transmettre sa com' telle quelle . Pardon: sa propagande.

    Comme Trump il veut entrer en contact "en direct" pour tenter de court-circuiter le 4ème pouvoir qui pourtant l'a installé! (cf campagne anti-Fillon et pro-Macron)

    Macron va utiliser face-de-book à la rentrée, apprend-on.

    Comme Trump qui tweete chaque jour,  Macron  sature l'espace médiatique avec les photos de ses déguisements. Dernier en date, en footballeur.

    Les deux hommes autoritaires vont déchanter de toutes façons.

    Dans un régime autoritaire,  on peut réussir à faire taire toute parole critique.

    En démocratie non. Les tentatives de contrôler les infos les concernant iront à l'échec.

    La France comme les USA sont encore... des démocraties.

    Et le  feuilleton  people médiatique de l'été de Macron peut encore être qualifié de mise en scène de cinéma.

     

                                      Sylvie Neidinger

     

  • TRUMP si proche des WHITE VADORS perd la face et des appuis politiques

    Face aux évènements racistes gravissimes  de Charlottesville, l'assassinat d'une trentenaire, Donald Trump (et  son épouse qui  twitta sur la "liberté d'expression" qui ici, n'a ....rien à voir avec le sujet) n'avait pas bien  pris la mesure de son obligation de signaler que les suprémacistes,  ku klux klan et autres nazillons  n'ont... rien à faire dans l'Amérique d'aujourd'hui.

    Il mettait tout le monde dans le même pot !

    Il a fallu lui arracher de la bouche une déclaration contre les manifestants racistes de cette -normalement - tranquille petite ville de Virginie ( 50 000 habitants).

    Et encore, le 15 août il refait machine arrière

    Aujourd'hui, plusieurs patrons en fonction de " lconseillers" le quittent .

    "Dans le sillage du patron de Merck, quelques heures plus tard Kevin Plank, PDG et fondateur de l'équipementier sportif Under Armour, a également annoncé son départ du groupe de conseillers en soulignant que sa compagnie était «active dans l'innovation et les sports, pas la politique»"

    Problème :

    1-Les suprémacistes, ces protestants radicaux  à l'idéologie raciste white,  anti-juifs et anti catholiques  sont en partie sa base électorale

    2-Trump  porte en lui pour partie cette idéologie.

    3-Son père Fred Trump participa activement à une réunion du KKK. Il avait 21 ans et fut arrêté.

    Ses stigmatisations de  catégories de populations ( latinos etc.) lors de ses premiers mois de présidence tiennent de ce climat malsain.

    3- Trump a dans son équipe le fameux Bannon dit black vador et que j'ai rebaptisé évidemment le "white vador de Trump", un suprémaciste.

    L'Amérique est choquée par ces miasmes qui resurgissent.

    Elle se défend.

    Certains manifestants extrêmistes, racistes de Charlottesville reconnus par leurs patrons à la tv et sur le net ont déjà perdu leur job.

    On ne pleurera pas pour leurs emplois.

    Il manque juste désormais que Donald Trump perde lui aussi son job.

    L'Amérique et le Monde s'en porteront  mieux.

     

                                              Sylvie Neidinger

     

     

  • Trump en harcelant journalistes et médias, humilie les USA (Daily News)

    En humiliant les femmes - les femmes et leur sang, une fois encore (bizarre) -  les hommes journalistes, les médias par tweet, Donald Trump fait bouillir la marmite qui bout sous lui: son pays.trump vautour.GIF

    Moins il met en place une bonne gestion administrative, plus la presse le critique et plus il répond en attaquant la presse au lieu de se remettre en question, lui.

    Lumière brillante, phare d'intelligence autoproclamée, cet homme à la dérive  ne peut se remettre en question puisqu'il est Monsieur Parfait.

    L'Amérique est en grand danger, prise dans le piège du dingo qu'elle s'est choisi comme président.

    Nombreux réagissent avec un énorme sentiment de malaise voire de honte.

    http://www.courrierinternational.com/une/etats-unis-trump-une-honte-nationale

    Le titre du New York Daily News est terrible. Il résume l'ambiance délétère qui s'installe jusque dans les rangs républicains.

     En réponse les deux journalistes attaquée ad hominem s'interrogent sur la santé mentale.

     Il fait l'unanimité contre lui.

     

                         TRUMP HARCELE JOURNALISTES ET MEDIAS

     

    La salve de vendredi ne suffit pas. Il continue dans un jeu sans fin qui s'apparente au harcèlement.

    Dans une focalisation et phobie maladive, le président des Etats-Unis en remet une couche samedi matin. Et dimanche avec son  tweet délirant où il tabasse ....CNN.

    Qu'il publie à l'heure où des manifestants réclament son départ dans les rues de 50 villes US pour destitution.

    Les journalistes et médias signalent que cette vidéo violente met un scène un tabassage symbolique de journaliste : image dangereuse pour eux.

    Le monde entier commence à se moquer.

    Le roi est nu, désormais déclaré fou suite à l'observation de SON comportement et non par attaque politique contre lui (comme ses soutiens pourraient le dire).

    Le président  passe son temps à attaquer les médias au lieu de diriger le pays.

    Il est complètement dingo, taré, givré, cinglé. Amérique humiliée.

    Un titre au hasard : paranoia.

    Jusqu'à quand? Et jusqu'à quel incident ?  qu'il provoquera immanquablement ....

     Le Washington Post publie  l'article le plus court de son histoire." Stop. Just stop."

    Mais la machine folle Trump semble impossible à se calmer.

                                                                            Sylvie Neidinger

    usa,trump ; cinglé,fou;journalistes,femmes,sang,harceleur,malade mental médias

                                                                                           

     

     usa,trump ; cinglé,fou;journalistes,femmes,sang,harceleur,malade mental médias*On se souvient de la terrible Une du Spiegel

    * Donald Trump is not well Washington Post Version originale

    *bon résumé sur Slate 'article " Roi fou":"Reste que le résultat n'aura été que chaos et confusion, contradiction et paralysie. Il est désormais évident que le président des États-Unis est quelqu'un qui ne lit pas ses dossiers, n'écoute pas les conseils des experts du renseignement ou de n'importe quel autre domaine, pérore sans réfléchir à la cohésion entre ses paroles et l'action de son gouvernement, est apparemment incapable de construire une phrase avec un sujet, un verbe et un complément, est susceptible de révéler des secrets d’État à une puissance étrangère et ne semble respecter ni la vérité ni la Constitution (du moins en ce qui concerne la liberté religieuse et la liberté d'expression). Trump n'est peut-être pas fou, mais on entend de plus en plus qu'il pourrait souffrir de démence sénile, qu'il serait intellectuellement déficient ou atteint d'un quelconque trouble de la personnalité."

    *Excellente analyse du fake sport de Trump : le catch comme sport bidon

    *La réponse humoristique de CNN à Trump !"Mon nom est CNN et j'ai été agressé par le Président des USA"Lundi, l'écrivain Mark Humphries a tweeté en réponse une vidéo créée par Viceland (la chaîne du site d'infos Vice) et qui reprend les codes de la vidéo diffusée 24 heures plus tôt par le président américain. La séquence démarre d'ailleurs par celle-ci, suivie du témoignage du logo CNN agressé par Trump: "Il y a beaucoup de risques associés au métier de journalisme mais je ne savais pas qu'être tabassé par le président en serait un et pourtant. Mon nom est CNN et j'ai été agressé par le Président des Etats-Unis".