Narcissisme médiatique caractérisé.
Harry, petit fils de la Reine d'Angleterre, membre d'une dynastie royale se sentait à l'étroit dans ce monde codifié de privilèges fait de financements publics, usages de palais, absence de travail physique. Certes mais en l'échange d'une représentativité symbolique allant dans le sens de la monarchie.
Celle en fait qu'attendent les britanniques: une attitude neutre, positive. La monarchie britannique fait encore rêver: son principe. Elle reste populaire.
Le frère de William choisit d'épouser une américaine divorcée, actrice de série, déjà people. Ce qui détonna dans le pays. Mais c'est son choix. No comment.
Le Royaume-Uni leur offre un mariage...royal carrément planétaire.
Le couple représente officiellement la Grande-Bretagne dans une tournée africaine d'automne 2018 quand le fiasco arrive: la médiatisation de leur supposé mal-être avec des pleurs devant les caméras et devant la presse mondiale. Un mauvais film commence.
MEGHAN SE LA JOUE DIANA, REINE DES PEOPLE
Harry totalement méghanisé ordonne à la Reine, à l'Institution Royale et donc aux britanniques "ce que Meghan veut, elle l'obtient". Raté. Au final, c'est lui qui va partir.
Il est fasciné par Meghan qui probablement a compris le deal avec son mari: jouer le rôle de sa mère. Elle a pris le contrôle et semble le dominer selon certains observateurs.
A savoir Meghan s'était d'ailleurs- ô lèse-majesté-confrontée directement confrontée à la Reine Elisabeth à qui elle voudrait donner des ordres autour du choix d'une tiare. La guêpe voulant évidemment porter celle de la mère de Harry
Problème Diana attirait les médias en permanence (cf ses virées à Saint-Tropez avec son amant Dodi..sa biographie .) tout en s'en disant victime. La contradiction majeure se reproduit ici avec son fils cadet.
SUSSEX COUPLE PEOPLE
Le couple Sussex imbu de lui-même, autoritaire avec le personnel, avec les autres membres de la famille se sent à l'étroit dans le rôle conventionnel attendu.
Les Sussex font bien appel eux-mêmes aux médias qu'ils alimentent pour les utiliser sur le mode people qui tient du vedettariat, de la starification. Le moindre potin perso doit être connu du monde entier à la seconde...A l'opposé de la légendaire discrétion royale.
Par exemple, Meghan court-circuite volontairement le mariage de la cousine de son mari en annonçant sa grossesse aux médias.
"Immodeste"... l'actrice de Suits entendait "moderniser" la monarchie, en donnant ses ordres à 5h du matin. Calife autoproclamé, elle s'était confrontée à la Reine pour la tiare, à Kate pour une histoire de jupons: une femme dure comme le tungstène avait affirmé Charles...
De nombreux collaborateurs de son entourage ont démissionné. Son narcissisme semble même pathologique. Impudique, le couple se met à nu devant caméras et journalistes dont il entend faire passer ses messages qu'il croit essentiels.
Une stratégie de courte vue. Les Sussex en venant se plaindre médiatiquement n'ont rien compris à la presse qu'elle soit spécialisée people ou non.
Forcément, la presse n'est pas là pour leur servir la soupe, pour leur com'. Les médias ne sont pas le faire valoir de leur ego démesuré au service de leur ambition évidemment planétaire!
COUPLE CONTRADICTOIRE EN DERIVE MEDIATIQUE
Les critiques arrivent et de plus en plus quand leur fonctionnement assez caractériel se fait jour. Alors le couple rue dans les brancards, se la joue victime et s'engage dans les règlements de comptes people public par procès, livres et paroles vachardes distillées contre la Famille, contre the Firm, les tabloïds, les anglais etc.
Les contradictions des Sussex sont massives:
- Etre et se revendiquer "Royals" (Duc et Duchesse Sussex se positionnant même sans vergogne démocratique comme "membres supérieurs royaux" !cf leur message Instagram de départ)
-Appeler à voter aux USA (une démocratie) tout en se désignant comme "supérieurs" aux autres car "royal" est juste insensé.
- Vouloir que leur privée privée soit respectée tout en exhibant leur intimité, jusqu'au fils Archie présenté au monde en couche culotte sur internet par la mère.
- S'hyper-auto-exposer en mode people mais critiquer la presse qui s'intéresse à leur vie privée.
- Vouloir quitter la monarchie et ses obligations tout en comptant garder certaines activités type...le Commonwealth ( leur ego tellement surdimensionné n'en réclamait pas moins)
- Vouloir partir tout en restant dans le système royal pour avoir le beurre et l'argent du beurre.
- Donner à la terre entière des leçons de morale people soit disant écolos en mode californien branché mais se promener comme parfait people en jet avec bilan carbone catastrophique.
- Participer à publier un livre à la gloire du couple mais ensuite réfuter y avoir participé même indirectement.
- Etre autoritaire et dure avec le personnel, la famille (qui démissionne en masse) mais venir devant les médias évoquer le racisme quand la moindre critique sur le comportement caractériel de Meghan se fait jour
- Refuser la liberté de la presse qui fait bien son job en analysant cette attitude souvent peu royale, mesquine.
- Donner ses ordres à tous dont la monarchie, la presse, la justice, les entreprises qui seraient sensées les rémunérer, aux américains pour dire comment voter...
- Leur travail? Une parfaite peoplisation. Des paroles creuses sur internet lors de séquences vidéos qui reprennent les poncifs à la mode, donneurs de leçons de courte vue. Des verbillages pour lesquelles ils demandent désormais des sommes folles.
- Leurs dépenses folles très people de luxe. Tout en se victimisant en permanence.
HARRY ROI DES POMMES
Le petit fils de Elisabeth II a réussi son rêve. Il est devenu un parfait people de la côte ouest. Le moindre de ses faits et gestes de lui et sa famille est commenté. Il se voit même star d'un show de téléréalité sur Netflix pour parler de ...lui même et son couple. Degré zéro de l'intérêt. Degré maximal de l'impudeur.
Au risque d'y laisser sa santé mentale, le Prince Harry mécontent de ne pas devenir un jour Roi d'Angleterre a réussi à devenir Roi des Pommes.
Sylvie Neidinger
Prince... "star"