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blog neidinger

  • Nativité 2015 à Bethléem.com

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    24 décembre 2015. @JosephCharpentier sur WhatsApp à @Marie:

    "Maryamti, ils disent qu'en Allemagne, en Suède, en Europe quoi, on nous donnera un appart', un travail, de l'argent.....Une voiture, même ! C'est plus chouette que l'étable, non? On y va?

    - Franchement @Joseph, tu crois vraiment au Père Noël, toi !

                                                                Rubrique caricatures Nativités

     

  • Charte des commentaires du blog Neidinger

    Suite 2/2 de l'article 1/2  Blogosphère, porte-avion de la commentosphère

     

     Rappel de l'hébergeur TDG, le blogueur est juridiquement responsable des commentaires qu'il publie.

     Les commentateurs  sont bienvenus. Ils apportent d'autres points de vue.

    Egalement de la matière informationnelle, experte parfois. Ou de simples opinions variées qui enrichissent le débat.

    Certains commentateurs suggèrent même des idées de notes. Possible mais difficile à réaliser. Savoir pourquoi on blogue tel jour sur tel sujet est impossible: improvisation totale, inspiration liée très clairement à l'air du temps.

    Relativiser tout de même, les commentaires non publiables ne sont pas si fréquents !
    Merci à la communauté précieuse des commentateurs. Ils ont pris le temps de lire et de réagir.

    Ils peuvent le faire en permanence et sur d'anciens articles: la politique du blog est de  laisser systématiquement ouverts les commentaires.

    Sont systématiquement refusés du blog Neidinger les commentaires qui:


     -Contiennent des propos illégaux, extrémistes, diffamatoires, confessionnels, injurieux, violents, obscènes, provocateurs, pouvant heurter des consciences, racistes ou  portant atteinte à la dignité humaine.

     -N'ont rien à voir avec le sujet, hors contexte ou inappropriés.

     -Ne correspondent pas au positionnement éditorial du blog (exemple sur une thématique jamais abordée)

     -Sont issus de trolls ou flammeurs systématiques qui polémiquent pour polémiquer.

    -Sont issus de "web-fantômes"(souvent trolls d'ailleurs !) Ces commentateurs masqués, sous pseudos et dont les adresses courriels sont souvent fausses. Virulents. Souvent donneurs de leçons de ...démocratie ! (en plus)

    -Sont rédigés dans des alphabets ou des langues autres que la langue française.

     -Sont incohérents (oui des délires psychiatriques il y en a aussi)

    -Utilisent des gros mots  que ce soit pour insulte ou comme banal mode de s’exprimer.

    -Sont écrits sur un ton agressif, ironique ou condescendant et prennent la blogueuse pour la demeurée de service. Qu’ils dénigrent. La blogueuse n'est pas maso et fait la différence entre commenter en opposition et démolir.

    -Sont rédigés certes sous forme d'humour mais contenant les propos illicites ou des mots inadéquats  tels que cités plus haut.

     -Ont un caractère publicitaire direct ou indirect,  soit dans le contenu soit dans le "nom" de commentateur qu'il se donne. Nota: il y a malheureusement de plus de plus de ce type de commentaires qui tentent ainsi de créer indirectement des liens commerciaux...

     -Contredisent vertement l’article mais sans aucune démonstration logique de leurs arguments.

    -Comportent  un lien web vers un site que la blogueuse ne juge pas utile de promouvoir.

     -Rédigent des  insultes personnelles entre internautes. Le site ne peut en aucun cas être utilisé pour lancer ou échanger des attaques personnelles (dissimulées ou non) contre d’autres internautes. Si un commentaire en ce sens a échappé: le signaler.

    -La blogueuse remercie ceux qui lui signalent une éventuelle faute d'orthographe (cela peut échapper, on écrit vite surtout...)

    -Dans le même registre, le blog laisse passer les commentaires qui comportent des fautes d'orthographe. Certains - que l'on sent par le contenu appartenant à des franges marginalisées - ont un réel besoin d'expression alors qu'ils maîtrisent mal la langue française. Ce blog ne stigmatise pas leur manque de maîtrise de l'orthographe et les accueille bien volontiers.

    -La validation des commentaires ne se fait pas en continu, mais suivant les disponibilités.

     -Une réaction est, en outre, soit publiée dans son intégralité, soit rejetée dans son intégralité. Le modérateur n’interviennent ni sur le fond ni sur la forme d’une réaction (sauf après discussion éventuelle  avec le commentateur suite à  contact courriel et  si la blogueuse a le temps, ce jour là de ce traitement individuel )

     -Un commentaire qui n’entre pas dans cette charte peut avoir échappé à la vigilance de la blogueuse, merci de signaler.

     

                                                       *****

     Le blog est un salon personnel. Celui qui franchit le seuil de cette maison  par le commentaire réactif  tient conversation.  Dans les cas cités plus haut: il ne franchit jamais  la porte.

    Avec cette charte, ce blog opte pour la politique de recevoir éventuellement moins de commentaires (donc moins de clics!) mais mieux ciblés sur les thématiques.

     Si le commentateur refusé n'est pas d'accord, il est inutile qu’il envoie un second commentaire pour le dire. Ce n’est pas la bonne voie.

    Il peut  en revanche me joindre sur dialogueblog@yahoo.com  et on en discute. En face à face !


     En réagissant à un article du blog, vous acceptez de vous conformer aux règles de conduite énoncées dans cette charte.

     

                                                                   Sylvie Neidinger 

     

    Charte intéressante celle du blog Nephrohug

    https://www.nephrohug.ch/actualite/

  • InterroGe.ch fonctionne bien! Testé sur "rue Fort-Barreau"

    Ce blog avait signalé le nouveau service offert par les Bibliothèques genevoises-donc par la Ville de Genève:  répondre aux Interrogations émises par le public, par le biais d'un site numérique : InterroGe.ch

    Le test s'est effectué sur la base d'un commentaire bâtisseur. C'est ainsi que je nomme les commentaires qui apportent de la matière à un article, qui l'enrichissent.

    L'article en question est publié sur ce blog Neidinger le 24 août à propos de Fort-Barraux, place forte  isèroise aux porte de la Savoie. Dont la basique visite touristique en août avait montré combien ce site était lié à la Suisse. Une garnison de Neufchatel  l'ayant  même gardé.ville de genève,gresivaudan,rue fort-barreau,fort-barraux,barraux,isère,interroge.ch,blog neidinger

    Ce fortin est désormais inscrit dans le parcours huguenot composé par l'association surlespasdeshuguenots.

    Cette frontière ultra précise entre France et Savoie est très symbolique pour les protestants. S'ils étaient attrapés par le Duc de Savoie en la franchissant, ils étaient renvoyés côté France à Fort-Barraux justement. D'où ils partaient en exil pour les galères. Une mort assurée.

    A la lecture de cet article sur Fort-Barraux,  Jean d'Hôteaux émet son commentaire avisé:

    "Merci pour ce billet et les liens qui y sont assortis. Le tout fort intéressant !En découvrant Fort-Barraux (Isère) par le biais de votre blog, j'ai immédiatement pensé à la rue du Fort-Barreau à Genève, en me demandant si il pouvait y avoir une relation entre les deux, ceci malgré une orthographe différente ?
    Je me suis parfois demandé d'où cette rue, qui se trouve derrière la Gare Cornavin, tirait son nom. Serait-ce une trace des Huguenots de passage à Genève ? Cordialement !

    Le lien entre le Fort-Barraux lié au protestantisme et une rue de Genève nommée était très judicieux de la part du commentateur. Ce malgré la différence d'orthographe.

    Personne n'ayant pû ensuite donner la moindre information en commentaire, j'ai décidé de tester justement InterrGe sur le sujet.

    Le thème  correspond d'ailleurs parfaitement à la typologie de question à proposer à un service de bibliothèques. On peut comprendre qu'une question trop large du genre  : "pourquoi les oiseaux volent ?" ne conviendrait  pas trop à leur offre de service. Car les réponses dans ce cas partiraient en multiples directions : de histoire des espèces à  la portance de l'air. Soit plusieurs thèses universitaires avec bibliographies fournies...

    Retrouver le lien historique entre  Fort-Barraux et rue Fort-Barreau  est, lui,  à 100 % coeur de cible de cette recherche en ligne sur InterroGE. Car les bibliothèques genevoises possèdent effectivement  à la fois les ouvrages locaux et le savoir-faire des bibliothécaires qui connaissent leur fonds.

    Voici leur réponse :

    "Bonjour, Nous vous remercions d'avoir fait appel au service InterroGE, voici le résultat de nos recherches :

    La rue du Fort-Barreau, située dans le quartier des Grottes à Genève, nous est décrite dans "Le Dictionnaire des rues de Genève" de Jean-Paul Galland,
    http://data.rero.ch/01-1071672, à la page 62 :
    "Une auberge de ce nom était située dans cette rue. Elle existait depuis 1663 et fut démolie en 1900."

    Nous avons également consulté l'ouvrage d'Eugène-Louis Dumont "La Genève des Grottes" où la rue du Fort-Barreau est citée à deux reprises, mais sans plus d'explication, http://data.rero.ch/01-0983942.

    C'est le récit de Jean-Michel Olivier "Notre-Dame du Fort-Barreau" qui nous apprendra toute l'histoire, lisez à la p. 31 :
    http://bit.ly/1edmweN
    "... la rue du Fort-Barreau : Le nom est une réminiscence de l'occupation française : de 1798 à 1813, Genève devient un département de l'Empire napoléonien. Mais alors Fort-Barreau ? C'est le duc de Savoie, Charles Emmanuel 1er, vaincu par Lesdiguières, qui fait construire dès août 1597 un fort à Barraux, petit village de l'Isère sur la route qui mène de Chambéry à Grenoble. (...) Le Fort Barreau (ou Barraux) apparaît aussi dans les fameux "Voyages dans les Alpes" d'Horace-Bénédict de Saussure."

    Il y a donc bien un lien entre cette rue genevoise et le village de Barraux et son fort, situés dans la vallée du Grésivaudan en Isère.

    L'histoire de ce fort peut se découvrir à travers plusieurs sites web : http://www.fort-barraux.fr/ et http://barraux.reseaudescommunes.fr/fr/information/19159/fo
    rt-barraux
    et http://www.isere-annuaire.com/chateau/fort_barraux.htm.


    Nous espérons que ces éléments vous aideront dans votre recherche. N'hésitez pas à nous recontacter pour tout complément d'information ou toute autre question.  Cordialement,

    La Bibliothèque de Genève pour InterroGE

    http://www.ville-ge.ch/bge
    http://www.interroge.ch"

    Cette réponse nous apprend que le nom de la rue Fort-Barreau est lié à une auberge genevoise construite dans cette rue en 1663 et démolie en 1900.

    L'information InterroGe n'est pas complète. Il manque le rapport avec la protestantisme, avec le parcours huguenots, la montée de la Drôme, des Cévennes en direction de la Rome protestante !

    ville de genève,gresivaudan,rue fort-barreau,fort-barraux,barraux,isère,interroge.ch,blog neidingerIl manque la liaison  entre deux histoires transnationales, celle d'un bâtiment en France, gardien de la croisée des vallées dont celle du  Grésivaudan [qui voit la montée des protestants de la Drôme et de plus loin encore en direction de Genève] et celle de cette rue proche de Cornavin en Suisse.

    Les deux sites semblent liés par...la trace du passage des huguenots.

    Info extraordinairement significative:  l'existence d'une AUBERGE dans cette rue  signale justement une problématique de voyage, de déplacements.

    Des huguenots?

    Et cette découverte du lien entre Fort-Barraux et le protestantisme est justement celui décrit  dans  ....l'article du blog Neidinger daté du 24 août.

    La boucle est bouclée: l'info part du blog, se booste par un commentateur actif (merci à lui)   passe par InterroGe et revient au blog pour conclusion provisoire sous réserve de recherches plus approfondies

    La "petite note d'un simple blog" vient d'aider à remettre en actualité numérique Fort-Barraux, perdu dans sa somnolence depuis la magnifique vallée du Grésivaudan qu'il domine.

    Le fortin  que des passionnés essaient de sauver de l'outrage du temps, s'avère être un site majeur dans l'histoire mémorielle  du protestantisme dans sa version douloureuse.

     Dont l'histoire précise  est très certainement à découvrir plus amplement encore.

    Par des recherches aux archives et ... dans les bibliothèques. De France et de Suisse.

    Et par les "Enquêtes-Blog" !

                                                                                                                  Sylvie Neidinger

                                                                                       

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    Rubrique #Protestantisme

     

     

     

  • Peau de mur n°5: la pierre comme vecteur marketing

    La pierre est évoquée cette fois dans la rubrique Peau de Mur.praz sur léman,rubrique peau de mur,blog neidinger

    Habiller un bâtiment de matière lithique n'a rien d'un exploit. Rien de plus banal. Un mur est normalement de pierre.

    On est ici intéressé par  l'originalité du traitement ...marketing des murs, spécifique à ce  centre commercial rénové "Praz du Léman" à Annemasse.

    On ne citera pas  l'enseigne commerciale précise en question.

    La surprise est de découvrir qu'un matériau d'architecture basique a été inséré dans un dispositif marketing, un discours d'image.

     De prime abord est identifiée  une cohérence de proximité régionale. Au  nom de "praz" (le pré, le plat?) mais précisé... sur Léman s'ajoute le choix  des matériaux retenus, pierre à la base et bois au dessus. Exactement comme le code du chalet de montagne!praz sur léman,marketing,centre commercial,architecture,rubrique peau de mur,blog neidinger

    Mais cela ne suffisait pas. Un visuel a été créé.

    Le client est accueilli par une bizarre  profession de foi:

    "Nos murs ont grandi dans la région"

    Murs vivants, mobiles...?

    Le texte proposé à un endroit stratégique, à l'entrée des lieux:

    :"L'architecture et les matériaux. l'Esprit voisin cela consiste d'abord à ne pas aller chercher ailleurs ce que l'on peut trouver ici. Donc pas de matériaux exotiques importés de l'autre bout de la planète. Des matériaux  voisins  vrais, authentiques qui ont grandi ici,  poussé ici. Comme nous. Comme vous"

    La peau de pierre du mur est traitée par  le discours dans la logique du développement durable et l'absence de transport. Elle s'applique normalement  aux achats de produits à consommer renouvelables poussés dans le champs voisin. Des achats éthiques comme pour l'huile de palme à supprimer  pour éviter la déforestation. Idem le bois rouge dans le domaine de l'architecture. 

    Un raisonnement très original quand il est appliqué ...aux pierres !! Pour un résultat cherché de créer un rapport identitaire local, régional dans lequel le client  potentiel va s'identifier.

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    Le site internet du centre décline ensuite toute la logique autour de la notion marketing qu'il fabrique "d'Esprit voisin". Esprit local, économie locale etc..

    On aura compris que le propos est d'installer la notion de commerce de proximité, à taille humaine. 

    On présente une  sorte d'anti-hypermarché (dans lequel le client serait supposé perdu car trop grand)  écolo jusque  dans sa présentation, son contenant: le bâtiment !

    Le lien phatique de voisinage voulu est renforcé par un code terroir qui va jusqu'à la.... géologie d'une structure architecturale: les pierres des murs seraient donc locales.

    Intéressant que cette cohérence complète marketing dans laquelle s'insère un basique élément d'architecture, le cailloux. 

     

    Sylvie Neidinger

    * Les clientèles ciblées sont françaises et suisses.  

     

                                                       #PeaudeMur

  • Shan Sa chez Red Zone

    " Et la lune descend sur le temple qui fut "

    La surprise fut, en poussant la porte de Red Zone  au 40, rshan sa bnbnb.GIFue des Bains  le 12 septembre dernier pour la-dite  Nuit des Bains - et les vernissages- de rencontrer directement, en toute simplicité Shan Sa, l'artiste-peintre  invitée, cette jeune femme chinoise  avenante et  si féminine.

    Dont on a senti immédiatement le caractère bien trempé, la suite dans les idées. Le ton juste. Entre ciel et terre, comme ses végétaux ligneux, elle incarne si bien son nom de plume, au vent de la brise qui caresse la montagne...

    Shan Sa est en fait multi-créatrice: écrivain au départ, poétesse, peintre, musicienne. Tout s'enchaîne. Née à Pékin en Chine, issue d'une famille traditionnelle et lettrée, elle se fait littérairement remarquer dès son plus jeune âge, comme le souligne sa biographie :

    " Elle a commencé à écrire et à publier des poèmes dès l'âge de 7 ans et aussi commencé à étudier la calligraphie chinoise et la peinture traditionnelle chinoise. Son premier recueil de poèmes a été publié à son âge de 10 ans et a été largement salué par des écrivains chinois les plus éminents du 20ème siècle, y compris le poète Ai Qing, le romancier Liu Xinwu, Yan Wenjin, et le critique littéraire Xie Mian. Quand elle avait 14 ans, elle est devenue la plus jeune membre de l'Association des écrivains de Pékin."

    Pas moins....red zone,blog neidinger,chine,pékin,geneve,shan sa,fondation balthus

    Elle vient étudier à Paris mais la Suisse intervient aussi dans son parcours

    "En 1994, elle a rencontré le peintre Balthus et sa femme japonaise Setsuko en Suisse. Shan Sa est devenue leur assistante. Durant ces deux années, Shan Sa écrit son premier roman en français,  observe le travail du dernier grand maître de la peinture figurative du 20ème siècle. Pendant ce temps, elle participé également à l'organisation des expositions rétrospectives de Balthus à Taiwan, Hong Kong et Pékin"

    Poète, musicienne, écrivain, peintre, elle  tire  plusieurs cordes de son arc de vie. Pour chanter son unique musique.

    Perchée sur un socle solide: ce peintre contemporain part d'un savoir chinois traditionnel certain. Petite, elle s'exerçait à illustrer des poèmes chinois anciens classiques.

    Surprise : lorsqu'elle se met à écrire en langue française, c'est tout de suite...bingo.

    Sa Joueuse de go ( Folio) : roman paru en 2003  qui mêle Japon et Chine connait un succès littéraire immédiat (Prix de  lycéen).

    Extrait:" La légende dit que le Japon est une île flottante posée sur e dos d'un poisson-chat dont le mouvement provoque des tremblements de terre"....

    Une chose certaine, Shan Sa, solide comme la montagne, forte et souple comme la branche d'arbre posée entre ciel et terre, est bien une joueuse de go impérialement chinoise.

    Impérieuse aussi  de sa stratégie....artistique personnelle.

    "Sa silhouette s'incruste dans le ciel. Le vent effleure les branches chargées d'oiseaux particulièrement joyeuses..."                                                                

                                                                                   Sylvie Neidinger


    La galerie genevoise Red Zone continue son travail spécialisé de meilleure connaissance des artistes liés à l'Asie. Shan Sa est visible jusqu'au 31 octobre.

    Quartier des Bains, Genève

    Nuit des Bains, Genève.

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